Parataxe

par le récit. Utilisation d'impératifs pour donner des conseils. Valeur universelle. b) Un rythme qui tient le lecteur en éveil vers de différents mètres : pstation en alexandrins puis octosyllabes nbx ejambements utilisation de la parataxe = absence de lien logique entre les phrases différents types de discours : direct ( V28/29 ) qui rend le discours plus vivant , discours narrativisé ( V30 , c'est bref) et le discours indirect libre ( V23/24) c) Un univers plaisant et original

prince »( métonymie + référence à Caligula ( On voie comment la cour est organisée aux vers 3 -4-6-7-9-10 ( Élément déclencheur : Le Louvre apparaît comme un charnier L’histoire V.15 ( V.32 L’Ours ( symbole de la force ( V.16-17-18-19 : parataxe : les mots ou expressions s’enchaînent sans mots de liaisons ( L’ours se bouche le nez : geste vaut parole ( « faire cette mine » « grimace » « dégoûté » ( « Le Monarque irrité l'envoya chez Pluton faire le dégoûté. » l’ours se fait tuer Le

pouvons le remarquer par sa rigidité et sa froideur à la ligne 16-17 : « cela était froid et cela perçait ». Cette anaphore insiste sur le regard de Javert, qui est monstrueux. Nous voyons également qu’il est inflexible tout au long du texte grâce à la parataxe : « il avait introduit […] ses fonctions » l.17-18. Il n’y a pas de nuances, cela traduit à quel point il n’a aucune pitié et compassion. Javert est effectivement un monstre

maîtresse (L135 : hyperboles) : énoncé de plus en plus bref. L'absence de didascalies : on imagine les gestes et les attitudes de Cléanthis par la variété de son intonation. Rapidité avec laquelle elle mène le récit : vivacité renforcée par la parataxe (L136-137) ou style coupé. Double destination du théâtre : l'acteur s'adresse non seulement aux personnages sur la scène, mais aussi aux spectateurs. On a donc une vrai mise en abyme : miroir de la pièce à l'intérieur d'un passage précis. III

classes sociales identifiables grâce aux moyens de locomotion, animaux, … b) Champ lexical de la foule, pluriel, effet sonore et visuel, verbe de mouvement, présent de narration, indications de lieu et de temps, figures de style : assonance en [an], parataxe (v35-38), enjambements, répétitions, insistance sur le bruit, … Transition : Le lecteur pris au cœur du poème de Boileau peut réellement avoir l'impression de vivre cette scène. Ainsi il sera plus sensible encore à la dimension satyrique et parodique

subjonctif = doute, mode du sentiment ou de la pensée, temps : présent de narration, de vérité générale, imparfait de durée ou de répétition passé simple d’action soudaine qui ne se répète pas ; choix du style direct, indirect, indirect libre… Hypotaxe ou parataxe… ) 3èmeLecture : Procéder à une analyse des procédés en déterminant leurs connotations et les (analyse effets de signification qui caractérisent les enjeux du texte et le but final de pertinente) l'auteur englobant ainsi

plan, une conclu, savoir si c'est circulaire ou ou évolutif, parler des dialogues, de la description, des champs lexicaux, des figures de styles, du registre de langue, si c'est de la raison ou de l'inconscient, parler des longueurs des phrases, du parataxe, de la subordinations des phrases, le phrastique etc. Sujet de dissertation : Contre les lecteurs « sérieux » qui réclamaient avec impatience des « faits » et du « vrai romanesque », NABOKOV définissait pour sa part le génie Gogolien comme une

l’authenticité de l’évocation : Reprises pronominales incorrectes : « Privé…, tu… », « mon cœur, ça n’allait pas très fort » (langage parlé) Locutions familières : « ça bat de travers », « eh bien ! » Syntaxe oralisée, en parataxe : « ça hésite, ça repart. Je ne bouge plus. » Parataxe + rythme saccadé et aposiopèses marquant l’essoufflement d’un Guillaumet épuisé II. UNE DICHOTOMIE : LE CORPS ET LA CONSCIENCE L’homme est un corps et une conscience, ce qui le différencie de l’animal : « jamais aucune

de parler réputée féminine : tiédeur et douceur. Ligne 3  Dés le départ, Virginie Despentes assume son propos et rejette par les différentes négations employées tout doutes du lecteur, emploi de proposition courte, de la parataxe qui renforce l’impression de détermination : « je ne m’excuse de rien, je ne viens pas

dépréciatif : « difficile » et « salit » et dont l’assonance en [i] accentue le mépris de la part des hommes. Enfin, le poète précise la personnification de la « boue », déjà perçue par sa pronominalisation (elle), dans la parataxe qui suit : « : voilà ce qu’on ne lui pardonne pas. » (l.3) afin que le lecteur se mette à la place de la « boue » ce qui rend comique le constat fait par celui-ci. · C’est pourquoi il rappelle que le