Parataxe

mauvais) Métalepse → figure qui évoque l’antécédence ou la conséquence d’un fait plutôt que de parler du fait lui-même, pour atténuer l’expression. (Ex : hélas, nous le pleurerons !) Palindrome → mot qui peut se lire dans les deux sens Parataxe → juxtaposition de phrases sans coordonnants alors qu’il devrait en avoir (ex : il n’est pas venu, je le regrette) Périssologie → pléonasme involontaire qui résulte de la négligence ou de l’irréflexion. (ex : monter en haut, sortir dehors…)

Age. La tonalité Fantastique: * Exprime la peur que provoque l'intrusion inattendue d'un phénomène inquiétant, irrationnel, surnaturel, inexplicable - et présence d'objets animés. * Procédés: champ lexical de la peur et de l'incertitude, parataxe, gradation, exclamation, thèmes et images de la nuit, la mort et l'au-delà, verbes de perception. * Exemple: Chateaubriand, "La grive de Montboisier" Mémoires d'Outre-Tombe   La tonalité Ironique: * Faire entendre autre chose que ce qu'on

rimes équivoquées, images presque déjà surréalistes, systèmes d'échos. Juxtaposition discontinue des évocations : pied de nez à la rhétorique traditionnelle. Musique : allure de chanson populaire : répétitions, vocabulaire simple, la parataxe. Transmutation de la déchirure intime et parole poétique inoubliable Construction savante et originale : dans le poème Marie, Apollinaire multiplie les angles de vision sur les objets et les personnes en faisant éclater les volumes

les figures de styles sont présentes dés le début du 1er vers et développées tout au long du poème. * L’antithèse : jeu sur les écarts de sens avec économie des vers → hémistiche (moitié de vers ou 6 pieds pour alexandrin). Ex : v.1 * la parataxe (=juxtaposition) et parallélisme redoublent l’antithèse. * les 2 premiers quatrains sont construits sur le parallélisme et l’antithèse. Ils décrivent l’état physique et l’état mental. * les sensations de chaleur ou de froid marquent la présence

: hyperbole « à toute heure » « universel abattis », « sans observer ni lune, ni saisons » : LF laisse entendre qu’il n’a pas compris le rythme de la nature. Il reste inculte mais ce croit assez savant pour diriger les autres (v. 23) Usage de la parataxe (propositions simplement juxtaposées ou coordonnées ) : absence de subordination= absence de réflexion du personnage, il agit avant de penser, sans discernement. Gradation dans les verbes « coupe », « taille » « ôte » « tronque », jusqu’à l’idée

clé -les figures de styles sont présentes dés le début du 1er vers et développées tout au long du poème. -L’antithèse : jeu sur les écarts de sens avec économie des vers → hémistiche (moitié de vers ou 6 pieds pour alexandrin). Ex : v.1 -la parataxe (=juxtaposition) et parallélisme redoublent l’antithèse. -les 2 premiers quatrains sont construits sur le parallélisme et l’antithèse. Ils décrivent l’état physique et l’état mental. -les sensations de chaleur ou de froid marquent la présence

verbes modalisateurs au présent d’énonciation. > Des connecteurs logiques sont présents : « parce que », « mais », « donc »,.. Þ Texte démonstratif, explicatif. Même dans les passages dépourvus de ces connecteurs, on « entend » un « donc ». + Parataxes (rapport de conséquences ?) > MAIS Sartre interprète le comportement de C. selon SA vision existentialiste. « Il m’a aimé parce qu’il … » ® Le pacte autobiographie est détruit : C. n’était sûrement pas aussi calculateur. Þ L’analyse de Sartre

aventure , cette tragédie, émut plus facilement le lecteur, ensuite le fait qu’il échoue a nous montrer ses douleurs et même a la dépassé. On remarque aussi par la construction du texte que le narrateur refuse tout lyrisme,grâce aux constructions en parataxe ; et l’emploi de la négation «  je ne pouvais » souligne la séparation définitive entre Manon son amour et lui son amant . Conclusion :

- Subordonnée circonstancielle de temps indiquant la simultanéité · Champ lexical de la rapidité du temps · Parataxe, phrases brèves Cette affirmation, aux allures de slogan ou de tweet, résume la pensée de Kiko. Mais la vitesse est moins une valeur morale qu’une poreuse technique. Kiko se prend pour Dieu puisqu’im pense avoir le « don » de « l’ubiquité ».Bilan :

nécessaires au sens grammatical de la phrase. Asyndète (féminin) Une asyndète est une figure de construction qui consiste à supprimer les mots coordonnants entre les syntagmes ou entre les propositions. Antonyme : polysyndète. Lire également : parataxe. Paronyme n. m. Mot qui présente avec un autre une ressemblance phonétique. Bailler et Bâiller, Chasse et Châsse sont des paronymes. Le parallélisme n. m. consiste à faire se succéder des groupes de mots construits sur le même modèle syntaxique