Parataxe

varié: Le rythme du texte est tres varié, on a une succession de phrases courtes lignes 1 a 9 pour la mise en place de la situation et la description, et des phrases plus longues a partir de la ligne 9 lorsque le jeu commence. On a la présence de parataxes; les phrases s’enchainent sans un rapport syntaxique de subordination. Le mot «tomba» L15 casse le rythme rapide de l’action des phrases précedentes. II- Le regard adulte sur son enfance: 1) Intrusion du narrateur: A travers ce souvenir

Cid de Corneille) 4. Les figures de construction 4. 1. L’anacoluthe L’anacoluthe est une rupture de construction. Ex. : « Vous voulez que ce Dieu vous comble de bienfaits / Et ne l’aimer jamais ? » (Racine, Athalie) 4. 2. L’asyndète (ou parataxe) Une asyndète consiste à supprimer des particules de coordination (juxtaposition, donc). Ex. : « […] Ménalque se jette hors de la portière, traverse la cour, monte l’escalier, parcourt l’antichambre, la chambre, le cabinet ; tout lui est familier

transition entre la situation initiale et l’élément perturbateur qui montre la défaite de l’un et la victoire de l’autre, sanctionner par le deuxième hémistiche). La rapidité de l’action est accentuée par la pauvreté des phrases et de l’effet de la parataxe. Les propositions grammaticales sont pratiquement toute reliées par des points virgules ou des deux point au lieu d’être coordonné. A la fin du combat l’engendrement du vers 9 à 10 est précipité, il y a une accélération de l’action. Ce rythme contraste

l’intérieur d’une même phrase. Ex : il a rétabli son honneur grâce à l’infamie, le déshonneur. Dans le cas de deux thermes contraires consécutifs on ne parle plus d’un paradoxe mais d’un oxymore. Ex : une obscure clarté ; une vieille jeunesse Une parataxe : c’est une juxtaposition de deux propositions souvent séparés par une virgule Le paratexte : c’est l’ensemble des informations autour du texte qui doivent être réutilisées dans un commentaire. La paronomase : c’est un rapprochement à l’intérieur

deux portraits, deux personnages qui s’opposent : un joyeux, un aigri. B- Récit Varié On a un long discours direct pour mieux caractérisé les personnages. (dialogue v…). On a un discours indirect libre qui vient rythmer la narration. Les parataxes (v37-46) sert à accélérer le rythme de la narration.  Tout ces éléments permettent à La Fontaine de garder éveillé le lecteur. C- Un récit enlevé La fontaine développe un véritable schéma narratif : - Situation initiale (v1-29), - L’élément

parois de la porcelaine''. - particularité, Charles est témoin oculaire, Emma coupe toute communication avec lui, elle le réduit au rôle de spectateur : ''Il la questionna ; elle ne répondit pas''. Ce passage est une figure de style c'est de la parataxe. Cette interruption par le point-virgule a pour but d'illustrer l'absence de communication entre Charles et Emma. - Il ne comprend pas ce qui est inconnu, il ne connaît pas les symptômes, il est totalement tétanisé, il est statique, par son inquiétude

d’état, de mouvement et leurs effets de sens (une étude éventuelle des adverbes), valeurs des temps verbaux. Les choix syntaxiques du narrateur : modalité phrastique, enchaînement des phrases ou groupes nominaux (juxtaposition/coordination, hypotaxe/parataxe, cadence majeur/mineure…) b. L’opération de mise en relation La mise en relation vise à préciser le lien de l’objet décrit avec les autres objets du monde. Pour se faire elle recourt à la situation (place de l’objet dans l’espace et le temps)

au passé composé avec un aspect accompli ( valeur du passé composé) , qui produit un effet de continuité dans l’action de manger.  · Notons l’absence de connecteurs logiques dans l’ensemble du fragment : présence de parataxe avec juxtaposition des phrases = c’est au lecteur d’établir les liens logiques. La syntaxe est volontairement uniforme ( figures d’analogie, énumération, répétition et anaphore) pour souligner le caractère obsessionnel du personnage. L’ironie du

fille s'entend plus loin que le rugissement d'un lion. (Proverbe arabe) Parallélisme : Disposition symétrique de 2 énoncés. Il n'avait pas de fange dans l'eau de son moulin, Il n'avait pas d'enfer dans le feu de sa forge. (V. Hugo) Parataxe (f) : Construction caractérisée par l'accumulation de phrases juxtaposées. Je suis là, je la suis, Je n'ose rien pour elle... (J. Brel) Paronomase (f) : Rapprochement de mots paronymes (très proches par le son mais de sens

une peine lourde à porter : « peine », « lasse », « violente ». 3/ Le poète dans le présent La difficulté de cette situation vient du fait que le poète, lui, vit bel et bien dans le présent, malgré l’obsession du passé. L’utilisation d’une parataxe (juxtaposition des phrases, sans mot de liaison) lors du refrain « Les jours s'en vont je demeure », renforce ce sentiment. La ressemblance établie entre le poète et l’image du pont symbolise l’immobilité et la permanence. Ainsi, le fleuve parisien