Parataxe

etre considere comme la reunion de plusiers phrases simples. Cela se concretise ordinairement par la presence de plusiers verbes a un mode personnel. Subordination- hypotaxe subordonnante- conjonction,pronom adverbe, adjectif- subordonnants La parataxe es le procédé syntaxique qui consiste à juxtaposer des propositions dans une suite, l'une à coté de l'autre sans intervention d'une conjonction de coordination ou subordination. Hypotexte(coordination et subordination)-les relatons syntaxiques établies

subjonctif = doute, mode du sentiment ou de la pensée, temps : présent de narration, de vérité générale, imparfait de durée ou de répétition passé simple d’action soudaine qui ne se répète pas; choix du style direct, indirect, indirect libre… Hypotaxe ou parataxe… 3e lecture : étude des images Étude des comparaisons explicites, des métaphores, métonymies et synecdoques, hyperboles, litotes… Quels sont les effets qu’a voulu produire l’auteur en employant telle ou telle figure de rhétorique ? 4e lecture

lieu au pathétique. 2) La sobriété s’accorde a) La syntaxe : phrases courtes qui correspondent au rythme de l’Alexandrin ce qui rend la poésie proche de prose de plus Hugo juxtapose les phrases sans mot de liaison => enjambement , parataxe. Le rythme est toujours le même, le texte a un ton de constat objectif. Hugo là en tant que témoin. b) Le lexique : simple, écriture sans recherche avec des mots ordinaires = un rapprochement avec la réalité et une adaptation au milieu

Modalisateurs Références absolues Références relatives Subjonctif Conditionnel Impératif Présent de vérité générale Futur Passé simple Imparfait Phrase Phrase simple Phrase complexe Exclamative Négation Négation restrictive Asyndète / parataxe Polysyndète / hypotaxe Phrase déstructurée Lexique Champ lexical Connotation Niveau de langue Polysémie Vocabulaire abstrait / concret Vocabulaire neutre Figure de style Parallélisme Anaphore Enumération Hyperbole Euphémisme

confidences et les stratagèmes mis en placeIII L 17 à la fin Un valet qui tire les rênes 1. Un valet sûr de lui interjection et exclamative qui marque l’indignation du valet ce qui est peu courantLe futur de l’indicatif et la parataxe (juxtaposition de propositions sans mot de liaison) témoignent de la certitude du valet L’anaphore de ‘je » montre que ce personnage est central, il est celui qui décide du destin des personnages 2. Il essaie de provoquer

vînt à l'idée » (l.60-62-63) qui incarne l'ironie macabre ; « cela serait drôle » (l.63) et ses | | |attitudes : « J'ai des envies de danser […] sur toutes ces poutres » (l.71-74). Il n y'a pas de liaison entre les paragraphes = parataxe, ce qui | | |donne une impression de décousu. | | |Il est aussi gai et surexcité d'où l'incohérence

cette étape des « scénarios développés », l’écriture explore de vastes étendues de texte à venir en ordonnant les grandes lignes de la diégèse et en perfectionnant les articulations du récit. Le style est encore infra rédactionnel, mélangeant la parataxe et des tentatives informelles de mises en phrases. Certains détails (noms de personnages, de lieux, etc.) sont traités comme des inconnues (x, y, z. Lorsque l’ensemble est bien balisé, l’écrivain passe à l’étape du développement au brouillon : le

elle l’a condamné. Tragique. III - Les caractéristiques du récit.  A) La tension dramatique 1) Un récit qui donne à voir Le mendiant ne s’y trompe pas : il dit "voici" = "vois ceci" 2) Les variations du rythme Brièveté des phrases, parataxe -> précipitation, imminence du moment tragique. Puis le rythme se ralentit, coordination, subordination car la fin est connue, elle ne fait aucun doute B) Un présent passé 1) Un usage paradoxal des temps verbaux Giraudoux Utilise passé simple

qu’y a-t-il de commun entre vous et moi » pour montre les inégalités entre les ♂ et les ♀ et critiqué au passage la religion chrétienne Longue Qs rhétorique période : phrase avec, et : c’est une parataxe, point culminant après : Longtemps accroché aux branches métaphores animalières = pas laissés partir=pas capables de s’adapter. Métaphores : qui n’est plus de saison = qui n’a plus lieux d’être Après les : renforce l’idée qu’ils ne veulent pas

amant », la périphrase « dieu de mon cœur » - le rôle des apostrophes lamentatoires ou laudatives : « ah », « ô » - les antithèses et rapprochements paronomastiques : « ces paroles tendres et terribles » : « l'effroi et l'attendrissement » - la parataxe, l'accumulation énumérative des compléments du verbe : « chaque mot fit frémir d'étonnement, de douleur et de pitié »  - le jeu des regards, les gestes d'affection et de tendresse (enlacements, embrassements) : une atmosphère pesante, oppressante