Paratexte Antigone

associé ? ____________________________________________ C) Qu’est-ce qui caractérise l’œuvre de cet auteur ? _____________________________________ 2 1.2.2 Le survol stratégique du texte (Guide, pp. 10 à 12) Les éléments à observer dans le paratexte (Vous pouvez laisser de côté cette sous-étape.) Les éléments à observer dans le texte (Guide, p. 12) 9. L’aspect général de ce texte semble-t-il particulier quant à sa disposition graphique, son découpage ou sa longueur ? ___________________

CHAPITRE II LE PARATEXTE: ESCORTE ET SIGNIFIANCE « Le paratexte est donc pour nous ce par quoi un texte se fait livre et se propose comme tel à ses lecteurs, et plus généralement au public. Plus que d’une limite ou d’une frontière, il s’agit ici d’un seuil ou […] d’un « vestibule » qui offre à tout un chacun la possibilité d’entrer ou de rebrousser chemin ». GENETTE, Gérard. Seuils. Edition Seuil, Paris, 1987, p.7. Chapitre II : Le paratexte : escorte et signifiance Introduction Le roman de

qui sont les titres, sous-titres, intertitres, les préfaces, les postfaces, les avertissements, les avant-propos, les notes marginales, infrapaginales, terminales, les épigraphes, les illustrations, les tables des matières, etc. Pour Genette, le paratexte est un des lieux privilégiés de la dimension pragmatique de l’œuvre littéraire, lieu particulier du contrat ou pacte générique avec le lecteur. Tous ces éléments hétéroclites ont, selon Sofia Dima2, un statut à la fois matériel et indiciel. Ils ont

relation, manifeste ou secrète, avec d'autres textes »). Il détermine 5 types de relation transtextuelle : l'intertextualité (« relation de coprésence entre deux ou plusieurs textes», la paratextualité (« la relation que le texte entretient, avec son paratexte : titre, sous-titre, intertitres; préfaces, postfaces, avertissements, avant-propos, etc), la métatextualité( « la relation, dite “de commentaire”, qui unit un texte à un autre texte dont il parle, sans nécessairement le citer. » ), l'architextualité

 Analyse du paratexte (1ère et 4ème de couverture) : les invariants des couvertures dans la littérature pour la jeunesse. Objectif général de la séquence Objectifs documentaires Nommer les éléments de description de l’objet livre (1ère et 4ème de couverture, dos…). Repérer les éléments d’identification du livre (auteur, titre, éditeur, collection…) à partir d’une sélection de romans. Objectifs disciplinaires Définir la littérature jeunesse dans l’histoire littéraire.

enjeux ou la problématique du texte. 2° Mettre en valeur les procédés qu’il utilise pour parvenir à ce but. 3° Faire ressortir les réactions et les sensations que ces intentions provoquent chez le lecteur B) Mise en pratique I) OBSERVER [paratexte /1° lecture]  Situer le texte dans son contexte (historique, culturel, littéraire)  Identifier le genre littéraire (genre à dominante narrative, théâtrale, poétique,argumentative, fonctionnelle , oratoire)  Identifier le type

Synthèse théorique : Manipuler l’objet –livre Sur la première de couverture : le titre (1) le nom de l’auteur (2) l’illustration (3) le logo de la collection (4) l’édition (5) Sur la quatrième de couverture : le titre (5) le nom de l’auteur (6) le résumé-apéritif (7) le nom de l’illustrateur (8) le code barre (9) l’ISBN * (10) Sur le dos du livre : le titre (11) le nom de l’auteur (12) le numéro de la collection (pas toujours) (13) l’édition (14) L’illustration de couverture :

Seuils où Genette s’attache exclusivement à démontrer que tout texte s’accompagne nécessairement d’un certains nombres de production (les titres, les préfaces, les dédicaces…) qu’il convient d’appeler seuils du texte littéraire ou paratexte. L’étude du concept paratexte telle qu’il apparait dans l’ouvrage s’articule autour de deux notions clés : péritextes (intérieurs et extérieurs) ; épitexte (public et privé) La notion de péritexte Parmi les péritextes

qu’une alternative : soit il propose une riposte véritablement dramatique et l’inscrit ludiquement dans le cadre même de l’œuvre (La Critique de l’École des femmes en est l’exemple canonique) ; soit il décide de travailler le méta-texte proche (paratexte) ou plus lointain (péritexte). La riposte se détache alors peu ou prou de l’œuvre elle-même et devient généralement moins ludique et plus polémique, moins littéraire et plus argumentative. La distinction entre texte et hors-texte, entre répartie

n°1 est un poème « La chasse à l’enfant » de Jacques Prévert, 1934. Le document est composé du poème ainsi que de plusieurs informations importantes permettant de situer et de comprendre le contexte, c’est ce qu’on appelle le paratexte. On peut classer les éléments du paratexte en distinguant les renseignements qui concernent la provenance ou l’auteur et ceux qui concernent le contenu. Avant le poème se succèdent trois paragraphes de présentation. Le premier narre en quelques lignes la révolte d’une