Paratexte Du Horla

singulière! laisse! d’ailleurs! songeur.! Alors,! d’où! nous! vient! ce! classement! générique! intuitif,! qui! nous! fait! affirmer! que! La$ Maison$ du$ chat?qui?pelote! ou! Le$ Chef? d’œuvre$ inconnu! sont! bien! des! romans,! alors! que! «!Le! Horla!»! ou! «!La! Princesse! de! Montpensier!»! sont! bien! des! nouvelles! ?! ! Pour! autant,! cette! impression! n’est! pas! 34 seulement!indexée!sur!le!nombre!de!pages!(bien!que!la!taille!de!l’ouvrage!la!recouvre!en! partie),! comme! on! peut! le

figures de style qui sont utilisées pour faire de l’ironie le conte philosophique 8 — © Cned, Français 4e Séquence 9 SÉQUENCE 9 Séance 1 A. Les sources c c 1- Le document 1 provient d’un dictionnaire, comme le montre le paratexte : « Dictionnaire Hachette 2007. » - Le document 2 provient du Cned : « A.-C. Simon, responsable de formation au Cned ». 3- On peut aussi consulter une encyclopédie, un magazine littéraire, une biographie, sur internet… 4- Ils sont écrits en italique

d’enfance (5 points) 1. a) Quel est le statut du narrateur ? Justifiez votre réponse. b) Quel point de vue adopte-t-il ? Justifiez votre réponse. 2. À quel genre littéraire appartient ce texte ? Justifiez votre réponse en vous aidant du texte et du paratexte. 3. Relevez les verbes conjugués dans le passage qui va de : « Je contractai la rage de lire... » (l. 2) à « ... une torche électrique. » (l. 4). Donnez leurs temps et leurs valeurs. II. La magie des livres (5 points) 1. De quelle « maladie » souffre

cette sensation affreuse d’un danger menaçant, cette appréhension d’un malheur qui vient ou de la mort qui approche, ce pressentiment qui est sans doute l’atteinte d’un mal encore inconnu, germant dans le sang et dans la chair. Guy de Maupassant, Le Horla (1887) 32. Dieu aura de vous merci : Dieu aura pitié de vous. 33. ci : ici 34. quant de : quant à 35. piéça : depuis longtemps 36. De notre mal personne ne s’en rie : Que personne ne se moque de notre malheur ! 37. absoudre : pardonner 60

parler du bonheur éprouvé dans la contemplation d’une scène de la nature ». (Nouvelles histoires extraordinaires. Paris : Gallimard, 1951, p.313). Nous avons encore ce même élan d’optimisme au contact de la nature et d’un soleil protecteur dans « le Horla », texte pour le moins bouleversant : le personnage, alors qu’il tente de trouver une explication au « mystère banal de la démence » (p.452), après l’étrange séance d’hypnose, se sent tout à coup mieux, fût-ce de façon éphémère : « Le soleil couvrait

sensation affreuse d’un danger menaçant, cette appréhension d’un malheur qui vient ou de la mort qui approche, ce pressentiment qui est sans doute l’atteinte d’un mal encore inconnu, germant dans le sang et dans la chair. Guy de Maupassant, Le Horla (1887) 32. Dieu aura de vous merci : Dieu aura pitié de vous. 33. ci : ici 34. quant de : quant à 35. piéça : depuis longtemps 36. De notre mal personne ne s’en rie : Que personne ne se moque de notre malheur ! 37. absoudre : pardonner 30

cette sensation affreuse d’un danger menaçant, cette appréhension d’un malheur qui vient ou de la mort qui approche, ce pressentiment qui est sans doute l’atteinte d’un mal encore inconnu, germant dans le sang et dans la chair. Guy de Maupassant, Le Horla (1887) 32. Dieu aura de vous merci : Dieu aura pitié de vous. 33. ci : ici 34. quant de : quant à 35. piéça : depuis longtemps 36. De notre mal personne ne s’en rie : Que personne ne se moque de notre malheur ! 37. absoudre : pardonner 30

mot identité : état civil (carte d’identité)  ; caractère de deux choses identiques (identité de goûts). Dégager l’essentiel a. L’action se déroule à Rome, dans le palais du duc Di Broglio, au xixe siècle. b. Le narrateur s’appelle William Wilson (paratexte). Il mène le récit à la première personne. c. Le narrateur rencontre son double au cours d’une soirée, au moment où il se fraye un chemin Analyser le texte 1. a. Le narrateur reconnaît son double à sa voix chuchotante (cet inoubliable, ce profond

qui, dans cette édition (Poésie Gallimard), explicite l’arrière-plan et les circonstances de la composition (« Ce poème fut composé pour l’inauguration de la rue Manouchian… »). Il convient néanmoins de veiller à garder un œil critique sur ce paratexte, qui ne doit pas se substituer à une étude précise du texte. Une candidate ayant à étudier l'ariette IV des Romances sans paroles (« Ariettes oubliées ») de Verlaine a ainsi occulté les indices laissant à penser que le « nous » envisagé ici désignait

ainsi être liée à un ou plusieurs extraits. II. Travaux d’écriture Sujet 1 : commentaire de texte ® Comprendre le texte Cet extrait d’Un Roi sans divertissement ne doit pas inquiéter ceux qui n’ont pas lu ce roman de Jean Giono. Le paratexte offre en effet toutes les informations nécessaires en présentant le personnage de Mme Tim. Puisque cette dernière est au centre de l’extrait, elle devra donc être au centre du commentaire... La question du divertissement est ici importante, même