Pardon Justice Vengeance

Le devoir de mémoire et le droit à l'oubliCRIME, MEMOIRE, NATION ET PARDON SommaireI. Nécessité d'un devoir de mémoire 1/ Le respect des victimes 2/ Eviter de reproduire les erreurs du passé 3/ Un outil de cohésion et d'identité des peuples II. Le combat du devoir de mémoire 1/ La falsification de l'histoire 2/ Eviter de reproduire les erreurs du passé III. Les risques liés au mauvais usage du devoir de mémoire 1/ Raviver le passé pour atténuer le présent 2/ De l’institutionnalisation

prends y garde") qui menace son maître et l'avertit, il guette son interlocuteur (101). - La violence du maître, qui a un ton passionné, il en veut à Arlequin, il ne se méprise pas. - Le pardon d'Arlequin, qui montre que c'est un esclave qui se maîtrise (1 94 : "mais va je te le pardonne"). Il lui pardonne car selon lui les Hommes ne valent rien. En effet, l'esclave se place au-dessus du maître, mais aussi au-dessus des Hommes (jugement sur l'humanité en général). Cet homme-là ne vaut pas plus

l'oblige à se venger, son amour lui impose de pardonner. Rodrigue réapparaît et s'offre à la vengeance de Chimène. Elle refuse de lui donner la mort : "Va, je ne te hais point.». Les Maures sont sur le point d'envahir la ville. Elvire rapporte à Chimène que tout le monde parle du héros Rodrigue et raconte ses exploits dans la bataille contre les Maures. L'Infante déconseille à Chimène de poursuivre son vœu de vengeance. Chimène vient demander justice au roi. Le roi fait sortir Rodrigue et fait ensuite

Philosophie: A-t-on le droit de se faire justice soi-même? Introduction : Si un père se venge du meurtre de ses enfants avant que le meurtrier n’ait le temps d’être jugé, son acte est-il condamnable ? Sa justice a-t-elle moins de valeur que celle proclamée par une loi établie ? A-t-on le droit de se faire justice soi-même ? Le droit est « l'ensemble des règles imposées aux membres d'une société pour que leurs rapports sociaux échappent à l'arbitraire et à la violence des individus et soient

de Séquence : LA VENGEANCE Problématique : Une action juste l’est-elle pour tout le monde ? [pic] LA VENGEANCE Une séquence mineure qui s’inscrit dans l’objet d’étude : Les philosophes des Lumières et leur combat contre l’injustice Durée : 6 heures Cette séquence mineure, peut être placée en première partie de l’objet d’étude sur le combat contre l’injustice au siècle des Lumières , elle doit permettre de sensibiliser les élèves aux notions de justice et d’injustice en

l'époque). Don Diègue, trop vieux pour se venger par lui-même, remet sa vengeance entre les mains de son fils Rodrigue qui, déchiré entre son amour et son devoir, finit par écouter la voix du sang et tue le père de Chimène en duel. Chimène essaie de renier son amour et le cache au roi, à qui elle demande la tête de Rodrigue. Mais l’attaque du royaume par les Maures donne à Rodrigue l’occasion de prouver sa valeur et d’obtenir le pardon du roi. Plus que jamais amoureuse de Rodrigue devenu un héros national

pas" (scène 3). Don Diègue est hors de lui, il doit se venger (scène 4). Il demande à son fils Rodrigue de le venger en combattant le père de Chimène (scène 5). Le dilemme cornélien apparaît avec la conclusion suivante de Rodrigue : "Courons à la vengeance" (scène 6). ACTE II Le comte ne regrette pas son geste et ne craint pas la colère du roi (scène 1). Rodrigue retrouve l'offenseur de son père et réussit à le convaincre de se battre avec lui (scène 2). Chimène, en visite chez l'Infante, craint

------------------------------------------------- PEUT-ON SE FAIRE JUSTICE SOI MEME ? Le sentiment de vengeance est présent chez de nombreux êtres humains. Cette vengeance nous amène à nous demander : Peut-on se faire justice soi-même ? La vengeance permet-elle de se sentir mieux ? Se faire justice est une action réfléchie, après un certain délai, on choisit de se venger. Celui qui veut se venger veut rétablir la Justice, l’égalité par lui-même. Ainsi, sommes-nous capables de nous venger

parent souhaite la mort de l’assassin de son enfant. Mais la justice n’est pas la vengeance. Pour être juste, la justice ne peut être rendue par les victimes. L’exécution d’un criminel ne rend pas la vie à l’être aimé. Nombreux sont les parents de victimes qui ont témoigné du caractère destructeur du sentiment de vengeance et du fait que la mort du criminel ne les avaient pas apaisés. À l’inverse d’autres n’ont trouvé la paix que dans le pardon. Difficile d’invoquer la douleur des familles des victimes

six hommes blancs injustement. Dans le passage présenté de l’ouvrage, l’auteur illustre l’impact de l'incident où Minji-Mendam se retrouve dans une situation qui nécessite de faire un choix entre deux solutions contradictoires. Il a le choix de pardonner les hommes qui lui ont fait mal ou de se venger. En premier lieu, le nom, Minji Mendam signifie "celui qui se souvient". Cette signification nous permet de faire un lien avec son histoire. Après avoir été agresser par les blancs, il se cacha