Paresse

Bibi-La-Grillade et Bec-Salé. Gervaise organise un grand repas , dont le met principal est une oie rôtie. C’est lors de ce repas que Lantier resurgit. Il devient l’ami du couple. Lantier vit dans la boutique et refait la cour à Gervaise. Coupeau sombre dans la paresse, et Gervaise, elle aussi , travaille de moins en moins. Elle perd ainsi de l’argent et ternit sa réputation. Le couple est obligé de déménager. Pendant ce temps Nana grandit. Gervaise devint alcoolique, tout comme Coupeau. Nana, devenue fleuriste

personne n'eût trop d'ennuis » (chapitre IX) ; au fil du roman, Gervaise est entraînée vers la paresse, la gourmandise et l'alcoolisme.  Coupeau : ouvrier zingueur, honnête et travailleur au début du roman ; jusqu'à sa chute d'un toit, il reste sobre en souvenir de son père, alcoolique ; sa rancœur envers le travail et la peur de remonter sur les toits le font sombrer dans l'ivrognerie et la paresse ; il devient la proie d'affreuses crises de delirium tremens ; il est interné sept fois à l'hôpital

rapports à l’argent (spéculation, pots de vin, avarice, capitalisme) C’est évidemment le gouvernement du Front populaire qui est dénoncé. Les « rouges », au pouvoir, ont accordé des congés payés, et la semaine de 40 heures, encouragement à la paresse. Vichy présente les dernières années de la III° République comme ayant conduit la France à la ruine. Le projet vichyste apparait en regard comme celui d’une France ordonnée, reposant sur des valeurs « éternelles » et sur des corps sociaux non corrompus

qui rachètent ses défauts : il sait agir, se dresser et combattre quand son abbaye est injustement attaquée. Ainsi, les faiblesses paillardes des moines apparaissent secondaires au regard du grand défaut que frère Jean n’a pas : l’inutilité et la paresse des moines qui s’en tiennent à un rituel verbal. L’anaphore de « bien » puis de « beau » accroît l’insistance, la modalité élogieuse et donc l’humour de la narration. Le narrateur par la modalité appréciative semble donner raison à frère Jean :

courage et de volonté? Que penser librement nécessite de surmonter son inclination naturelle à la paresse et à la lâcheté, telle est l’idée que défend aussi Kant dans Qu’est-ce que les lumières? Il est plus facile de se laisser diriger par des tuteurs, c’est-à-dire par une minorité pensante, comme un troupeau par son berger, que de se lancer dans l’inconnu de sa propre pensée. Dominer notre paresse, c’est refuser qu’un autre pense pour nous, et ceci suppose un véritable investissement, d’autant

et non désiré, il est seulement le moyen de satisfaction ses besoins. Rousseau décrit la paresse comme étant la normalité de l'homme, qui n'est pas fait pour travailler. Or d'après Hegel, l'homme travaille car il a été réduit en esclave. Néanmoins, l'esclave, en modifiant la nature par son travail devient maître tandis que la maître initial devient oisif en refusant le travail. Pour un homme la paresse est sa préférence, puisqu'il préfère se divertir que d'être soumis aux efforts du travail. Cependant

qu'au contraire c'est sous ce procédé que Jean Dézert sera présenté. Nous pouvons observer qu'un champ lexical du caractère complétant le portait moral est présent tout au long de cet extrait : « est résigné » (l37) «  n'est pas ambitieux » (l34) « paresse triste » (l7-8) ou encore « il sait attendre » (26). Cette description n'est ni caractéristique de l'éloge ni du blâme. Cela donne une certaine neutralité au personnage. Il est comme absent. De plus les traits de caractères propres à la résignation

c’est pourquoi on préfère parfois garder ses opinions pour soi. b. L’homme est capable de choisir par lui-mêmeNous pouvons aussi affirmer que l’homme est totalement capable de choisir par lui-même et que s’il ne le fait pas cela relèverait plus de la paresse que de véritables limites. Les limites à la liberté d’opinion appartiennent alors à lui-même (ce ne sont donc pas vrmt des limites) Ex : L’homme peut parfois se laisser porter dans une manifestation ou dans engagement parce que cela fait « bien »

sous-groupe Travail en binôme, trinôme, quadri nôme, quanti nome Groupe libre Respecter les choix des élèves La dynamique de groupe en EPS La paresse sociale La facilitation sociale Le concept de facilitation sociale écrit une amélioration des performances de l’individu lorsqu’il travaille au sein d’un groupe. Didier Delignières La paresse sociale renvoie à l’inverse à une diminution de l’engagement de l’individu lorsqu’il est au sein d’un groupe. (Ringelmann, 1913). 4 22/02/2013

qu'elle peut eclaircir cette contradiction significative. C'est le peche, qui a devie la nature de Rutebeuf, qui l'a fait rude. La rudesse-voici l'effet du peche qui n'a pas disparu au moment de sa conversion. Cette rudesse est etroitement liee a la paresse(un des peches capiteaux!) ce qui permet de constater, qu'il travaille rudement parce qu'il travaille peu et sans s'empresser[^27]. Tout cela confirme la these, qu'il n'est pas rude a cause d'une nature octroyee a priori, mais a cause du peche.