Pareto Dans Le Cas De La Maintenance

et est une perspective d’avenir intéressant. A terme, l’utilisation des énergies renouvelables est incontournable. Mais en attendant, le remaniement du système existant ainsi que l’utilisation de nouvelles infrastructures serait idéale pour notre cas. Ceux-ci dans le but de protéger notre environnement en réduisant le rejet de CO2 et assurer l’approvisionnement en énergie du pays GLOSSAIRE LISTE DES ACRONYMES GES | gaz à effet de serre | LISTE DES TABLEAUX Tableau 1: Besoins énergétiques

L’ajustement peut s effectuer par d autres modèles : - Le modèle Exponentiel : y = b.aE(x) ce qui équivaut à : Log y = Log b + x.log a. Grace à un changement de variable, les coordonnées logarithmiques sont ajustées par une droite, ce qui ramène au cas précédent. - Le modèle puissance : y = b.x (exp)a, ce qui équivaut à Log y = Log b + aLog x Y = b +a.x On calcule a et b à l aide des formules précédentes en travaillant sur les logarithmes de xi et de yi. Ainsi la méthode des moindres carrés

distribution Sa localisation repose avant tout sur un choix stratégique du groupe. Il est situé près d’un port franc (zone d’importation et d’exportation de containers), offrant des avantages certains comme des simplifications pour les réexpéditions en cas de litige mais aussi des facilités administratives. Son rôle principal après la réception de l’ensemble des sources d’approvisionnements, consiste à stocker celles-ci. Sa capacité de stockage totale actuelle, offre une possibilité intéressante à hauteur

5.15. E - EXEMPLES D’INDICATEURS PAR FONCTION 158 ANNEXE 5.15. F - EXEMPLES DE TABLEAUX DE BORD 167 ANNEXE 5.22.A – EXEMPLE DE CONTROLE DE FIABILITE DU COÛT DES VENTES – ENTREPRISE DE NEGOCE 171 ANNEXE 5.23.A – ANALYSE DE L’ECART SUR MARGE BRUTE / CAS POCKET ELECTRONIC 172 ANNEXE 5.24.A – COÛT D’UN VENDEUR 173 ANNEXE 5.26.A – EXEMPLE DE TABLEAU D’EVALUATION DE RISQUE SUR STOCK 174 ANNEXE 5.27.A – EXEMPLE DE BALANCE ÂGEE (en Euros) 175 ANNEXE 5.27.B – EXEMPLE DE BALANCE ECHEANCEE (en Euros) 176 ANNEXE

personnel, les fournisseurs, les actionnaires et la collectivité. La qualité ISO Mot-clé des normes défini par le comité technique de l'ISO en 1979, le terme « Qualité » fait également partie du langage courant mais n'a pas le même sens dans les deux cas. Lorsque les enquêtes du Ministère de l'Industrie annoncent que le coût de la non-qualité peut atteindre 10% du chiffre d'affaire d'une entreprise et jusqu'à 20% du montant de la valeur ajoutée, elles se réfèrent bien sûr à la définition normalisée

Conditionnements, Ø Fournitures consommables (fournitures de bureau et d'atelier, produits d'entretien...) Ø Achats d'informatique, Ø Achats de sous-traitance, Ø Achats de services peu élaborés (retraitement des déchets, nettoyage des locaux) Ø Frais de maintenance, Ø Frais d'assurance, Ø Frais de transport, Ø Frais d'intérim, Ø Frais de publicité, Ø Frais postaux et de télécommunications, Ø Frais d'énergie... La fonction Achats se voit confirmée dans son rôle de « moteur à économies » avec une légitimité

. 158 Un cas classique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 158 Une cartographie avec un processus de coordination . . . . . . 161 Cartographier un produit « propriété du client » . . . . . . . . . . 163 La création d’un service « achats » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 165 Distinguer processus « commercial » et « administration des ventes » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 166 Un cas de communication

généralités. Le deuxième chapitre sera consacré à la localisation et l’implantation de l’entrepôt, ainsi aux méthodes d’entreposage. Dans le but d’enrichir ce projet et de coordonner le cadre théorique avec la pratique, on a procédé à une étude de cas sur terrain dans l’entrepôt-réserve de la société « MARJANE HOLDING ». Donc nous allons en premier lieu présenter la société et son entrepôt, en suite, nous allons étudier les méthodes de gestion des stocks et leur optimisation ainsi, que la performance

. . . . . . . . . . . . . . . 2.2.1 Les dimensions de la stratégie . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.2 Situation actuelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.3 Cas Delhaize . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.4 Les niveaux de la stratégie . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.5 Le cas Yahoo ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.6 Les prismes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.6.1 Le prisme de la méthode . . . . . . .

l’espérance de rendement du prêteur. Il en est de même du risque d’exploitation de l’entreprise qui emprunte. Celle-ci connaît relativement mieux que le prêteur son métier, son marché ainsi que la conjoncture dans laquelle elle évolue. Dans ces deux cas, l’asymétrie d’information s’observe entre l’emprunteur et le prêteur, au détriment de ce dernier (Soulama, 2002). Conscient de ce que la transaction risque d’avoir lieu dans les conditions désavantageuses pour lui, le prêteur peut être amené à rationner