Pari de Pascal

constantes ? Le philosophe français Pascal dans ses Pensées, considère qu’il n’existe pas de vérité ou constante ou satisfaisante. Selon lui, tout change selon le temps et l’espace, rien n’est donc universel. Aucune valeur, aucune culture ne serait plus légitime qu’une autre. L’Homme de par sa position dans l’univers (un point, quelque chose de petit, d’insignifiant) ne serait pas un être nécessaire. Ce courant de pensée considère que l’Homme devrait faire le pari de Dieu, car il ne peut trouver une

Dieu (Descartes). | Les pratiques religieuses très nombreuses :TotémismeHindouismeBouddhismeAnimisme | La critique de Kant qui admet uniquement dernière preuve de Descartes. | Pratiques rituelles : Vaudou, magie blanche/noire. | Blaise Pascal : argument du pari pascalien. (croire en Dieu en vaut la chandelle.) | Différentes formes de religion : polythéisme et monothéisme. | Agnostique (a privatif / gros savoir/Je ne sais pas si Dieu existe ou pas.) différence de l’Athée. | Christianisme = message

jouent un rôle important (ironie, moquerie et étymologie) Les gens se donnent un genre qu’ils n’ont pas : le baron se prend pour un roi car son château possède une porte et une fenêtre, l’aumônier se fait appeler grand inquisiteur. Martin réagit comme Pascal et suit son raisonnement, il relativise et est pessimiste quant à l’existence de Dieu car il croit que celui-ci abandonne les hommes à leurs passions. On remarque que chaque fois que Candide veut vendre des diamants il appelle un Juif. Voltaire se

d'autre, même si on est tous aussi incertain de la présence d’une vie après la mort. En effet personne ne nous a jamais dit exactement ce qui nous attend après la mort. De plus même si cela était faux, qu'avons-nous à perdre ? On retrouve ici le pari de Pascal : « je gagne la vie éternelle si je me comporte bien, j'aurais mené ma vie vertueusement. Si je me comporte mal et je ne crois pas en Dieu alors j’aurais une vie de débauche. De plus la religion n’est pas réservée qu’aux intellectuels, ou aux

Peu de disciplines occupent, comme la découverte du monde, une telle position d’interface, qui permet de faire des ponts entre le concret et l’abstrait, le réel et le symbolique… …Quelles que soient les vertus intrinsèques d’une méthode, mieux vaut parier sur la variété. Certains ont besoin d’écrire, d’autres d’entendre, d’autres de dessiner. Martine Gardini-Perraud Jean Pierre Astolfi Deux types de séance 1. La démarche de type scientifique Une phase d’appropriation (oral) Après un éventuel

convient-il de faire de la part de ceux qui sont la tête de la communauté politique ? Comment diriger une communauté politique ? Ce sont des questions qui ne sont pas pertinentes pour Pascal. Ce n’est pas la décision politique comme telle qui constitue l’intérêt q Pascal attache… La question politique décisive pour Pascal est la question décisoire. … A qui revient-il d’être à la tête de la communauté politique ? Qui est habilité à détenir l’autorité politique ? Seulement, nous pourrions dire que la réponse

d’étude d’objet se réduit aux sens varier en inverse = deux grandeurs/dimensions. Plus la compréhension sera précise, plus la classe d’objet sera réduite.   Connaissance précise + compréhension précise = Faible extension |                 6.  PASCAL >Le cœur est une faculté de pensée Ce qui s’oppose, c’est la Raison et le Cœur ( facultés fondamentales ). La question du cœur a des limites mais détermine la vérité que la Raison ne peut savoir (impuissante).   Le cœur au XVIIIe siècle

malheur. Précarité, pauvreté. La précarité c'est la pensée permanente de la certitude de la mort ► confrontation à la finitude de l'homme. L'univers n'a pas besoin de bcp de forces pour le tuer. Sellier: 197-198 Démarche d'orgueil visées par Pascal. Allégorie de la caverne plus tragique: tous condamnés à la mort, voir sa condition dans ses semblables. Humiliation de la superbe de l'homme en lui rappellant la finitude de sa condition, confrontation à la mort. Pourquoi utiliser le symbole

qui pose problème, mais son non-sens, véritable « malédiction qui a jusqu'à présent pesé sur l'humanité.» (Généalogie de la morale). L'idéal ascétique peut certes parier sur une certaine légitimité de l'expiation par toutes sortes de maux et définir un bon usage des maladies, comme on le voit chez les Stoïciens, mais aussi chez Pascal et même Montaigne. Les théologiens (saint Augustin, saint Thomas d'Aquin) et les philosophes (Spinoza) ont déployé toutes les ressources de leur dialectique et de leur

urbains et les tares physiques et psychiques. 2) Les Rougons-Macquart d’Emile Zola. Le titre générique Les "Rougon-Macquart" regroupe un ensemble de vingt romans (qui s’ouvre avec La Fortune des Rougon en 1871 et s’achève avec Le Docteur Pascal en 1893) écrits par Émile Zola entre 1871 et 1893. Il porte comme sous-titre Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire, comme le prouve cette phrase de Zola: "Les Rougon-Macquart personnifieront l’époque, l’Empire lui-même