Parodie Tartuffe

caractérise le plus souvent par une critique du pouvoir en place. Le caractère explosif du pamphlet tient du fait que son auteur à l’impression de détenir à lui seul la vérité. Il jette un regard indigné sur le monde. 3) L’épigramme 4) La parodie 5) Il existe d’autre moyen moins littéraire pour critiquer par le rire comme les film. Tout le monde connait la célèbre série des Simpson. L’objectif premier de cette série semblerait bien être de faire rire mais elle caricature par la même occasion

* Cunégonde surprend Pangloss avec Pâquette dans leurs ébats amoureux (parodie de la littérature érotique) – le ridicule des effets de la scène sur Cunégonde qui [a] ...beaucoup de dispositions pour les sciences..., ...observ[e] et song[e] qu’elle pourrait bien être la raison suffisante du jeune Candide. * Cunégonde et Candide surpris par le baron derrière le paravent : le coup de pied dans le derrière de Candide, parodie de la farce populaire. * Candide est fessé en cadence au cours de l’Auto-da-fé

n’avaient pas de carte » et qu’on « envoie crever » à sa place. Le chef de guerre tyrannique, voici l’une des dénonciations opérées par Céline dans cet extrait. Ces tyrans qui peuvent devenir bourreaux, meurtriers de leurs propres congénères . 3° Des parodies d’ hommes. Cet extrait nous montre que la guerre transforme l’homme. Le guerrier devient une bête de somme, transportant son barda « tout en brinquebalant, garni, croulant sous les armures, accessoire figurant dans cette incroyable affaire internationale

Candide ou la candeur: LA PARODIE DANS CANDIDE Définition : La parodie détourne un texte (d’un genre ou d’une œuvre) de manière à le ridiculiser. On choisit un texte célèbre que l’on tourne en dérision dans le but de faire rire le lecteur… aux dépens bien sûr de l’auteur parodié. Il faut donc que le lecteur reconnaisse l’œuvre parodiée et mesure l’écart entre le modèle et le détournement. Quels sont les principaux procédés de la parodie ? • Amplifier les tics d’un écrivain

comique Le comique nait de la situation du trompeur trompé. L'un croit abuser l'autre mais est en réalité aussi abusé. On retrouve souvent cette situation dans la farce. On retrouve la situation traditionnelle de l'aveu amoureux. C'est une parodie comique des maitres, c'est à dire Dorante et Silvia, pour lesquels la révélation aura lieu à la scène 8 de l'acte III. Les valets, encore masqués, tentent d'imiter leur maître, par leur comportement, leur manière de s'exprimer, apportant ainsi un

se manifeste dans le rapprochement parodique que le lecteur est amené faire entre la conquête de Tourvel par Valmont et celle de Prévan par Merteuil.   Sur le plan du libertinage (Merteuil vise Valmont) | Sur le plan du sexe féminin (Merteuil parodie Tourvel) | Libertin et prude vs libertin et libertinLenteur vs rapiditéEchec vs réussiteEspionnage vs transparence | Tourvel prévenue du danger // Merteuil prévenue du dangerTourvel effarouchée // Merteuil jouant l’effarouchéeTourvel résistant

- le comique de caractère : L'auteur se moque d'un trait de caractère (la jalousie, l'avarice) ou d'une profession (les médecins). Le comique a différentes natures : * la satire (critique d'un vice ou d'un ridicule) * la parodie (imitation exagérée et caricaturale d'un style) * le burlesque (fait de pousser une situation jusqu'à l'extravagance) * l'absurde (fait de présenter une situation étrange ou incompréhensible) * l'ironie (moquerie qui consiste à faire comprendre

de se venger de ces deux « précieuses »en faisant passer leurs valets pour des aristocrates. Ces deux valets sont tournés au ridicules que ça soit par leurs entrer en chaise porter ou leurs tenues exagérés ou par leurs gestes démesurés. Molière parodie la discussion entre ces précieuses et ces « aristocrates » qui est très hautaine remplit de périphrase et de métaphore ce qui rend comique cette scène, Molière se moque aussi de la manifestation des politesses excessives La fin de cette comédie

nuances du comique Le burlesque : extravagance des situations. La farce : petite pièce dite « bouffonne ». L’ironie : moquerie consistant à faire entendre le contraire de ce que l’on dit. La satire : critique qui fait tourner en ridicule. La parodie : imitation exagérée, moqueuse.

(79). Il s'agit d'un moment drôle, porté par ce portrait caricatural, et puisque nous sommes au théâtre, il faut penser au ton et aux mimiques de Cléanthis, surtout quand elle imite sa maîtresse. Le comique tient au fait que c'est la servante qui parodie sa maîtresse. II) La comédie de caractères : la critique des mœurs A- Le pouvoir de Cléanthis Cléanthis est visiblement grisée par le nouveau pouvoir qui lui est donné. Après une entrée en matière un peu confuse (« je n'en sais rien,