Paronymes

etc., rigide et droite). De même : blues (mot angl. amér., musique de jazz lente) et blouse sont homonymes, tonic (anglic. soda à base d’écorces d’oranges amères et de quinquina) est l’homonyme du mot français tonique, etc. Les paronymes Les paronymes (du grec « para » - à côté et « onoma » - nom) sont des mots de sens différents, mais de formes relativement voisines. À cause de cette ressemblance de forme et de prononciation les gens mal instruits les confondent souvent : avénement

- vénération de leur empereur = armée fanatique de leur « dieu » 3/ Registre pathétique -ironie tragique : « écraser » -juxtaposition de verbes d’actions -entraînement de la chute des hommes et des chevaux -fossé, fosse = jeu sonore = Paronyme -violence de la chute, impossible de l’éviter -chemin creux, ravin, abîme = hyperbole -ligne 39 : parallélisme de construction

des mots et des phrases) Concision Harmonie Représentativité et originalité du titre C) Qualité de la langue (30 %) Syntaxe (ex. : anacoluthe, zeugme) Grammaire (ex. : accord du participe passé, conjugaison) Vocabulaire (ex. : barbarismes, paronymes) Typographie (ex. : espace superflue, coquille, majuscule) Ponctuation (ex. : emploi de la virgule, des guillemets) Longueur du texte Entre 200 et 250 mots (interligne et demi, Times New Roman, 12 points) CRM 104 – Rédaction : style et clarté

propositions. Paronomase (féminin) : Une paronomase consiste à employer côte à côte des mots dont le sens est différent, mais le son à peu près semblable. Exemples : « Qui vivra verra. » ou encore « Tu parles, Charles ! ». La paronomase utilise des paronymes (des mots qui se ressemblent par leurs sons). Personnification (féminin) : La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d’un être animé (homme, animal). Cf. La Fontaine. Polyptote (masculin) : Un polyptote consiste à employer

propositions. Paronomase (féminin) : Une paronomase consiste à employer côte à côte des mots dont le sens est différent, mais le son à peu près semblable. Exemples : « Qui vivra verra. » ou encore « Tu parles, Charles ! ». La paronomase utilise des paronymes (des mots qui se ressemblent par leurs sons). Personnification (féminin) : La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d’un être animé (homme, animal). Cf. La Fontaine. Allégorie (féminin) : Figuration d’une abstraction

pâte –on y met la dernière - on des renseignements de première main. (8e) 2) On le lève – On le donne – On le plie – On en manque – On les baisse – On est le -------------------droit du directeur. (9e) I-A.- ANTONYME – HOMONYME –SYNONYME ET PARONYME. (8e /9e renforcement) Ces trois notions ne doivent pas être confondues I-A-1.- L’ANTONYME OU CONTRAIRE L’antonyme d’un mot est un mot de sens contraire. Le mot ou l’expression antonyme à proposer doit être de même nature grammaticale

qu’une seule définition (bâtiment où on loge le bétail, les bovidés. b. Homonymie et paronymie • Les homonymes sont des mots qui se prononcent de la même façon mais dont le sens est différent : encre (pour écrire) et ancre (des bateaux) • Les paronymes sont des mots qui se prononcent presque de la même façon : mouton / bouton c. Dénotation / connotation • La dénotation d’un mot est une définition admise par tous, un sens objectif. Par exemple, le loup est un mammifère carnivore sauvage. • La connotation

Homonymie :L’homonymie caractérise les mots homonymes. Les homonymes sont : les homographes : ce sont des mots qui s’écrivent de la même manière mais qui ont des sens différents (un livre qui se lit vite / une livre de légumes) ; les homophones ; les paronymes : mots qui présentent des ressemblances phonétiques (lacune / lagune) Métaphore : La métaphore est une figure qui consiste à désigner un objet ou une idée par un mot qui convient pour un autre objet ou une autre idée liés aux précédents par une analogie

ignorant que Rose, il recherche dans les Z. Il pense que ce mot s’écrit « Z’Hébrides ». Il pense tout savoir et remet la faute sur le contenu du dictionnaire dans la réplique : «On ne trouve rien dans ce dictionnaire».Également le fait d’utiliser le paronyme entre Zèbre et Zhebrides implique de comique de mots. Feydeau le ridiculise davantage en le mettant en scène avec le dictionnaire dans ses mains du début à la fin prouvées par les didascalies «se redressant en fermant son dictionnaire sur son index

L’Assonance le retour d’un même phonème (=unité de son) vocalique. Ex : « Les couchants langoureux des pensives Zélandes » (Apollinaire) La Paronomase (ou paronymie) rapproche des mots dont les sonorités sont voisines mais de sens différent = paronymes. Ex : « Toi qui endors les cœurs, toi qui endors les corps ». (Péguy) Anagramme : formation d’un mot avec les lettres d’un autre. Ex : « GENIE : naît de le neige, son nid ». (M. Leiris)