Paronymie

du récepteur. Différents types de jeux de mots : - les jeux de mots phoniques : sur la base de rimes " RTL, y'a rien de tel ", " Kenzo ça sent beau ", à partir d'allitérations " Gervais, j'en veux ", " Dubo, Dubon, Dubonnet ", en suivant des paronymies " Quand Francine ouvre son bec, ce n'est pas pour dire des grumeaux ", " Il faut bien que minute m'aide (minute Maid) ", en s'appuyant sur des homonymies " Dim, ça fait très mâle " " En vert et contre toux (pastille Valda)… - les jeux de mots

art poétique « En train d'éructer » ? la seule chose qui est en train d'éructer, c'est Ponge. Car « éructer » n'existe pas dans le Littré – seulement « éructation », et qui n'est pas « éruption », qui est le mot avec lequel joue « éructer » par paronymie. Et comme « Pour nous » (à notre place / à notre intention) ? pour le lecteur, on peut et doit considérer ce paragraphe comme un paragraphe de poétique : et puisque les métaphores sont piégées et qu'on ne peut les suivre ou les croire, il faut considérer

syllabes dans une phrase. Exemple : Jean-Sol Partre (Jean-Paul Sartre) – portecuir en feuilles de Russie – vergé Saintorix - Les à-peu-près : suppôt de Satin (suppôt de Satan = agent diabolique) - Calembour : jeu de mots fondé sur l’homophonie, paronymie ou polysémie Exemple : me retirer dans un coing- chaussures de serpent teint – base-bol 2.3.2. Les registres utilisés - Grossier/familier : ca gaze ? / conneries/ foutre/engueuler - Soutenu : incoercible / que je l’examinasse - Vocables rares

| |— Victor Hugo, Notre-Dame de Paris | |Proximité des |la paranomase |jeu sur la proximité des sons (paronymie) |« Et l’on peut me réduire à vivre sans bonheur, | |sons | | |Mais

plates et embrassées successivement. L’alternance des rythmes masculines et féminines est respecté, et les rimes sont généralement riches comme en attestent les expressions : « végètent » / « jettent » v.21, 23. Certaines fonctionnent même sur une paronymie : « scandales » / « sandales » v.5, 6. L’évocation du monde est omniprésente et celle-ci est géographique comme le montre les expressions : « le désert » v.4, « les forêts » v.40, « les flots » v.40, « la cité » v.10, ces énumérations permettent

prendre → encore en décalage par rapport au topos amoureux où la séduction se fait naturellement - il fallait : obligation, protocole → rien de naturel et spontané car pas d’amour - paronymie entre " embrasser " qui est l'attendu du lecteur ds le topos RV amoureux et " embarrassé " = réalité de la situation de J : renforce le décalage, détournement du thème romantique

l’innocence » et « le monde entier dépend de tes yeux purs » vers13 et 14 défient la logique.  On peut avoir l’impression que les mots se succèdent en partie à cause d’associations sonores :  Au vers 6 et 7 : rosée ⇢ roseaux : association par paronymie. (cf. : associations libres des surréalistes.)  De même : « danse > douceur ; jour > mousse ; Les mots semblent ainsi s’appeler, glisser à la suite les uns des autres en reprenant les mêmes sonorités. On retrouve donc ici le goût des surréalistes

de « faire l'éloge » et d'autre part le faire de prendre ou donner en location) autrement dit, deux mots se prononcent ou s'écrivent de la même façon mais n'ont pas le même sens dénoté. Il ne faut pas confondre l'homonymie avec la polysémie. La paronymie, qui est la ressemblance approximative de signifiant distincts, et qui induit parfois le rapprochement des signifiés, voire une confusion entre les signifiants (conjoncture et conjecture n'ont pas du tout le même sens, mais se ressemble, si bien

nouveaux romanciers, il faudrait citer : la mise en abîme qui contredit le fonctionnement global du texte qui la contient, qui dédouble l’unité du texte ; la répétition (d’un même mot, d’une séquence, l’obsession d’une couleur) ; la polysémie, la paronymie, etc. Dans le Nouveau Roman «mille agressions par similitude perturbent incessamment la métonymie du récit» (Jean Ricardou : Le Nouveau Roman, Seuil, 1990, p. 100). Pour Romul Munteanu, auteur de Noul roman francez (Univers, București, 1973), le

plus hardie,la plus ouvrée,la plus menuisée,la plus déchiquetée,qui ait jamais laissé voir le cielà travers son cône dentelle » — Victor Hugo, Notre-Dame de Paris | Proximité des sons | la paronomase | jeu sur la proximité des sons (paronymie) | « Et l’on peut me réduire à vivre sans bonheur,Mais non pas me résoudre à vivre sans honneur. » — Corneille, Le Cid, acte II scène 2 « Comme la vie est lenteEt comme l'Espérance est violente » — Guillaume Apollinaire, Alcools, Le Pont Mirabeau