Paronymie

Le dernier vers montre que malgré le vol il reste une part d’humanité. C’est le montant le plus élevé. V 47 à v 51 : JEUX DE MOTS renforce le coté tragique : « café crème »  « café crime arrosé de sang ». Il annonce le crime. Allitération en [c] Paronymie = Il veut MONTRER que la faim, l’absence de nourriture, amène au crime.« Crème » et « crime » sont des paronymes (= des mots qui se ressemblent), donc il considère qu’ils sont liés. « Ça ne peut pas durer
ça dure
trois jours
trois nuits
sans manger

(On attendrait : on l’apprend). Parataxe: La parataxe est l’absence de subordination entre les propositions. Exemple : « Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu. » César Paronomase : Jeu sur la paronymie. Exemple : Qui se ressemble, s’assemble. Pléonasme / Redondance : Utilisation de deux termes dont l’un est superflu. Exemple : Descendre en bas (pléonasme)

contre maître se montre très « déférant» à l'égard de l'ingénieur en chef «Expédiant» cette affaire, il peut partir plus tôt en vacances Cette entreprise en difficulté a eu recours à des « expédients» pour assurer l'échéance mensuelle La paronymie : La phonie et la graphie sont très proche mais ce n'est pas la même ce qui entraîne une confusion et le sens est différent. Identifier le sens de chacun de ces termes : Conjoncture/ Conjecture : circonstance : situations, état/ supposition

aussi revêtir une fonction prédicative par l’inscription du futur de l’action dans la description réaliste. Tout d’abord, l’appréhension visionnaire fonctionne essentiellement par l’intermédiaire de l’implicite et notamment l’utilisation de la paronymie. Dans Le Colonel Chabert, Balzac joue sur la proximité des images sonores de « l’étude » de Maître Derville et une étuve à cause du « poêle chauffé sans mesure ». Il a recours également à la forme pronominale dans « se cuisinaient » afin de faire

plates et embrassées successivement. L’alternance des rythmes masculines et féminines est respecté, et les rimes sont généralement riches comme en attestent les expressions : « végètent » / « jettent » v.21, 23. Certaines fonctionnent même sur une paronymie : « scandales » / « sandales » v.5, 6. L’évocation du monde est omniprésente et celle-ci est géographique comme le montre les expressions : « le désert » v.4, « les forêts » v.40, « les flots » v.40, « la cité » v.10, ces énumérations permettent

plus hardie, la plus ouvrée, la plus menuisée, la plus déchiquetée, qui ait jamais laissé voir le ciel à travers son cône dentelle » — Victor Hugo, Notre-Dame de Paris Proximité des sons la paronomase jeu sur la proximité des sons (paronymie) « Et l’on peut me réduire à vivre sans bonheur, Mais non pas me résoudre à vivre sans honneur. » — Corneille, Le Cid, acte II scène 2 « Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente » — Guillaume Apollinaire, Alcools, Le Pont Mirabeau

l’ensemble des mots de différentes natures se rapportant à un même thème. L’anaphore : est la répétition d’un même mot en tête de phrase. L’homonymie : est l’ensemble des mots qui présentent des sons identiques tels que : vert, vers, verre, … La paronymie : est l’ensemble des mots qui sont presque homonymes : exemple : dénouement /dénuement Les registres de langue peuvent être : vulgaire, familier, soutenu, courant. 8. quels sont les procédés grammaticaux ? Il faut étudier : • • • •

d'autres pistes (qu'il faut bien travailler également si toute fois le jury nous questionne desus !) INTRO : présentation de l'oeuvre , thème, auteur.. PREMIERE PARTIE : La poésie un genre littéraire, explication sur les jeux de langage (homonymie, paronymie..ou autres ..) DEUXIEME PARTIE : Les pistes pédagogiques TROISIEME PARTIE : Les reseaux. CONCLUSION Quelles sont les caractéristiques de la poésie ? Art d’évoquer des sensations, des impressions, des émotions par un emploi particulier de la

sexe avait de l’importance » (70) - Clov affirme, en parlant du chien en peluche, « le sexe se met en dernier » (56). - Le jeu de mots, grossier, de Hamm, associe le sexe à du désagrément (49), puisqu’après avoir joué sur la paronymie de « coït » (acte sexuel) et « coite » (de « se tenir coite », c’est-à-dire se tenir tranquille et silencieux), il joue sur le double sens de « nous serions baisés » qui signifie aussi « nous nous serions fait avoir » ð Remarque : ce jeu de

parodie etc... -réfléchir sur la cruauté au bout du compte de certaines situations comiques.II -Travailler sur la langue du XVIème siècle et les archaïsmes. -Travail sur l’homophonie, la paronymie et l’étymologie réelle ou fantaisiste. -le présent de narration et les temps du récit. TEXTES ETUDIES : -La vieille qui graissa la patte du chevalier : un fabliau du Moyen-Age . -Le Roman de Renart : La pêche d’Ysengrin