Paronymie

Bribes et brides : paronymie. Demain je mourirai. Demain je mourrai. Voici la bonne conjugaison du verbe « mourir » au futur, qui s’affaiblit comme le verbe « courrir » par ex : demain je courrai. Démystifier un héros. Démythifier un héros. Ici, le sens est que l’on enlève le mythe à ce héros. Démystifier signifierait que l’on enlève le mystère. Il y a donc là un souci de vocabulaire. Elision : Troquer une partie du mot « l’ » ou « t’ ». Attention : Un paronyme/ Une paronymie. Des chef d’œuvres

sardines… métaphore Ces sardines sont inaccessibles. On exagère la protection qui est accordée à une boîte de sardines. II 2 oeuf dur café-crème café arrosé rhum café-crème café-crème café-crime arrosé sang !… Allitération en [c] Paronymie Il veut montrer que la faim, l’absence de nourriture, amène au crime. « Crème » et « crime » sont des paronymes (= des mots qui se ressemblent), donc il considère qu’ils sont liés. I 3 Ça ne peut pas durer ça dure trois jours trois

de ce poèmeApollinaire demande aussi au lecteur de renoncer aux schémas établis : non, le temps qui file à toute allure n’est pas forcément du temps bâclé. Ainsi, une lecture rapide sera-t-elle plus à même de se laisser tenter par la fructueuse paronymie sur paître/passer (v.2) : l’approximation peut, une fois n’est pas coutume, s’avérer fertile3e strophe :Annonce d’un depart lent(mort)Le poème va en se réduisant, passant d’un septain à un quintil à un tercet. Apollinaire a choisi, pour constituer

proximité avec le lecteur, celui-ci partage son intimité. Grâce à la présence de la deuxième et première personne, le lecteur semble participer à leur conversation Des figures de styles renvoient à un passé révolu auquel il goûta grâce à Maria. La paronymie réalisée grâce aux termes : « vie » et « ville » ou encore, « aurore » et « mort » donnent un aspect lyrique dans l’opposition de la vie et de la mort de Nush. L’auteur se sert aussi des figures d’analogie et de rapprochement, comme la comparaison

la comédie qui se joue sous nos yeux révèle bien l’insensé qui nous guide. La comédie de la vie Le langage se joue des mots. Dans tous ces extraits, le comique des mots et des gestes est omniprésent. En effet que ce soit le jeu sur la paronymie avec « coït et coïte », mais aussi le comique de geste avec le morpion et la poudre (p.48/49) et les mots grossiers du type « nous serions baisés » et le sexe n’est abordé que sur un mode grivois (= grossier) et on ne peut en attendre que du désagrément

signification peut produire plusieurs sens. Homonymie : Deux signifiants distinct se prononce pareil, et s'écrivent pareil => Ex: Avocat le métier et avocat le fruit. Homophones : Mêmes prononciations, mais pas la même écriture, ex: Père/paire. Paronymie : C'est une sorte d'homonymie approximative ( Mot qui se ressemble mais qui ne s'écrivent pas tout à fait pareil) Ex : Enduire/induire. C'est tout simplement un mot presque identique à un autre. Une langue seconde : C'est la langue que l'on parle

Les Fleurs du Mal (3) - Baudelaire « L’albatros »Introduction : Baudelaire, poète de la modernité, héritier du romantisme, un temps Parnassien, instigateur du symbolisme, publie Les Fleurs du Mal en 1857. Il y remet au goût du jour la forme du sonnet, tandis qu'il popularise le poème en prose dans Le Spleen de Paris . Le poème « L'Albatros » suit le prologue « Au lecteur » et le poème liminaire « Bénédiction » qui introduit la section

dégage un contre-rejet, quant à « tous les jours », hyperbolique, rime avec « amour » et assone avec « jalouse ». « Faire le coquet » (humour, diminutif du coq) ramène cette ambition amoureuse à un simple amour propre sans aucune élévation. La paronymie avec « caquet » est un quasi jeu de mot qui transforme le rival, prêt à l’épopée et à la revanche, en beau parleur, capable seulement de débiter des galanteries. • L’ironie du sort La morale donne à réfléchir moins sur l’infortune des faibles

"vice", au vers 25. 3. La complaisance * Alceste dénonce aussi tous ceux qui ont la faiblesse de ne pas condamner les méchants et les hypocrites. * On remarque les deux termes "malfaisants" et "complaisants" qui sont à la limite de la paronymie et qui sont mis en valeur par la similitude de leur place dans le vers. * Pour Alceste, être complaisant (vers 4) c'est ne pas réagir violemment au vice comme lui, c'est une passivité qui favorise le développement du vice. * La critique la

« f » Paragraphe 5 - S’ouvre par une personnification de la chevelure qui « caresse » ( double sens de la proposition) : : : B inversion des rôles par rapport à la première strophe - »les langueurs des longues heures » l. 13 : : : B rime interne , paronymie et paronomase (= rapprochement de mots de sens difféérent mais sonorités voisines) = musicalité -Retour en lieu clos dont on s’échappe en une seule phrase B "divan", "chambre", "navire", "port" -Allitération en « p » et « l »pour reproduire