Partage De La Valeur Ajoutée Source De Conflits

18 2eme Partie – Les syndicats : conditions pour rester un acteur majeur des relations sociales. 20 3eme Partie : Le cas de la SNCF. 21 Conclusion : 23 Annexes : 24 Bibliographie : 26 Table des matières 27 Mots-Clés : Groupe, Conflits, Négociation, Dialogue Social Introduction En premier lieu, il est indispensable de définir ce qu’est exactement un syndicat. Un syndicat est une organisation professionnelle qui ne dépend en aucun cas de l’Etat mais qui est reconnu par

macroéconomique et institutionnels (mesures protectionnistes, politique de réindustrialisation, dé-financiarisation partielle de l’économie française, mise en place d’un contrôle sur les revenus et les prix visant à orienter l’évolution du partage de la valeur ajoutée) si l’on veut qu’elle donne tous les effets attendus. Cette notion d’insertion est très souvent omise quand on pense à une « sortie » de l’Euro, alors que c’est elle qui donne sa possibilité et donc sa crédibilité à une telle option.

| Sommaire Introduction 4 A/ La création de valeur économique 5 1) Le pilotage de la masse salariale 5 2) La politique de rémunération 5 3) Le système d’information des RH 7 B/ Création de valeur sociale 9 1) Le professionnel RH, garant de la responsabilité sociale de l'entreprise 9 2) Le professionnel RH, garant de l'image de l'entreprise 10 3) Le professionnel RH, spécialiste de la gestion du changement 11 C/ La satisfaction des clients 13 1)

dialogue et le respect de la diversité culturelle, une diversité qui se veut une passerelle incontournable pour une coexistence pacifique entre les hommes et un avenir commun empreint de quiétude et de sérénité. 3- Toutes les civilisations ont en partage des valeurs aussi nobles que la fraternité, la justice et la tolérance. Pièces maîtresses d’un héritage culturel universel qui doit servir de catalyseur à l’ouverture d’un dialogue réel entre les cultures et les civilisations, elles ont besoin d’un ancrage

réellement besoin.Avec la mise en place dans l’entreprise d’un SIRH cela aurait pour bénéfice : une réelle simplification des tâches réservées à la fonction RH, un gain de temps. L’équipe RH pourra se consacrer aux tâches les plus complexes, à forte valeur ajoutée et profitables à tous.Cette modification devrait également se faire ressentir du côté des salariés. En effet, le workflow permettra de responsabiliser davantage chaque collaborateur. Ce mode de fonctionnement est une garantie de fiabilité des

Gestion stratégique des ressources humaines et dynamiques organisationnelles . Aujourd’hui, la valeur ajoutée pour une organisation n’est plus seulement le bien ou le service. Le capital intellectuel se profile comme un déterminant majeur de la différentiation d’une entreprise d’avec ses concurrents. En effet, la place des salariés dans l’évolution de l’organisation et leurs capacités d’actions sur l’organisation deviennent croissantes. De plus en plus de gestionnaires voient le service des ressources

l’ouvrier tout au long de sa vie pour permettre un travail plus efficace. Communauté d’intérêt des patrons et des ouvriers  Il note de la même façon que Marx, qu’il existe une guerre de classe entre les patrons et les ouvriers concernant la valeur ajoutée. Cette guerre est très nuisible pour Taylor car elle va augmenter le gaspillage des ressources. La plus grande prospérité intervient quand le travail exigera la dépense minimale d’effort humain. Le but essentiel vers lequel doivent tendre les

restitutions d’informations divergentes entre différents services et donc apaiser les conflits qui en résultaient. * Une meilleure maîtrise des stocks : Un ERP permet de maîtriser les stocks, élément important pour la plupart des entreprises car les stocks coûtent chers. * Création d’un environnement de travail standardisé, identique pour tous. * Communication interne et externe facilitée par le partage du même système d’information * Meilleure coordination des services et clarification

principales caractéristiques du Leader « The real leader has no need to lead. He is content to point the way  ». Henry Miller •Il est au centre du groupe qui lui reconnait une autorité informelle •Il propose, influence, est un moteur au sein de son groupe, source de motvaton et d’initatve •Il a une vision et cherche à la réaliser •Mots clefs du leader : •Communicaton •Motvaton •Confiance •Adhésion •Vision •Ecoute •Originalité II. LES DIFFÉRENTS STYLES de LEADERSHIP Kurt Lewin psychologue spécialisé dans

d'amélioration du climat social. Dès les années 50, Maslow (1908-1970) mène une étude sur la psychologie des individus, et ce faisant, sur les facteurs de leur motivation au travail (courant de la motivation). Ces travaux aboutissent à une hiérarchie des sources de motivation dans sa célèbre pyramide, au sommet de laquelle figure les besoins physiologiques lesquels sont suivis par les besoins de sécurité et de reconnaissance. D'autres chercheurs, estimant qu'une telle hiérarchie entre les besoins des salariés