Partage Salaire Profit

administratif qui occasionnent différentes situations problématiques au sein de l’entreprise ce qui se traduit par une réduction importante des profits. Voici trois situations problématiques majeures qui renferment différents problèmes : Augmentation des coûts de production Le coût de plus en plus élevé des matières premières, la hausse des salaires ainsi qu’une baisse de productivité sont tous des problèmes contribuant à l’augmentation des coûts de production. Voici un extrait tiré du cas

d'endettement : -Taux d'autofinancement -Partage valeur ajouté profitable aux salariés grâce aux syndicats -Taux d'intérêt influencé par la banque centrale française (taux bas) -Banques nationalisés -Inflation forte à cause de la hausse des salaires et demande>offre Effets pervers de l'inflation : -Perturbe le calcul économique et difficultés a anticiper les profits futurs -Hausse des prix -Baisse du pouvoir d'achat (si 0 hausse du salaire) -Ruine les épargnants -Perte de compétitivité

valeur ajoutée issu des gains de productivité peut être partagé entre les salariés (sous forme d’une augmentation des salaires) et les patrons (sous forme d’une augmentation de des profits – EBE). Dans le second cas, ceux sont les investissements qui risquent de progresser. En effet, des profits élevés sont synonymes d’une bonne rentabilité des investissements et une rentabilité élevée incite plus à investir qu’à placer. Ensuite, des profits importants permettent aux entreprises de pouvoir financer

renchérit le coût de financement de l'investissement et diminue donc les profits que peut espérer l'entreprise. Un taux d'intérêt élevé a donc tendance à décourager les investissements. On définit la profitabilité de la manière suivante : Profitabilité = taux de profit anticipé - taux d'intérêt réel Quand la profitabilité est négative, l'entreprise doit " normalement ", c'est-à -dire dans une logique de maximisation du profit immédiat, renoncer à investir. Cependant, dans la réalité, l'entreprise

de long terme pour dégager « des profits immédiats»). Le marché permet de financer des projets qui ne seront profitables que dans des décennies. Dans un second chapitre, les auteurs nous parlent des offres publiques d'achat (OPA) en montrant qu’elles ne sont pas de la « barbarie financière en action» et qu'elles ne sont donc pas les responsables de la destruction d'emploi. Pour eux, les OPA ne vont pas entraîner des licenciements ou des pressions sur les salaires seulement au niveau des cadres dirigeants

salaire 3,65 fois > à celui des 10% les plus pauvres) contre 3,2 en 1997. Cette période est caractérisée par le fait que les salaires de D1 ont plus augmenté que les salaires de D9, si bien que le fossé entre ces deux déciles s’est réduit. Cette élévation des niveaux de vie s’est usse des taux d’équipements en électroménagers pour les classes populaires (télévision, réfrigérateur…), accès à l’automobile, accès aux loisirs (grâce notamment aux congés payés) jusque là réservés aux classes aisées

ou un service que des individus peuvent désirer, n’est pas dispo actuellement, ces individus vont être près à payer pour ce bien ou service. Des entrepreneurs à la recherche de profits peuvent vouloir production ce bien. Si les consommateurs sont près à payer plus que le cout de production, il y a une possibilité de profit et l’entrepreneur mettra en œuvre la production du bien. Et s’il existe une façon plus efficace de production un bien, un entrepreneur à intérêt à la mettre en œuvre pour gagner

les principaux courants de pensées 1. le courant de pensée libérale classique et néo-classique A. Smith : Le courant de pensé est né a la fin du 18e siècle lors de la première révolution industrielle, tout les économistes de ce courant partage l’idée selon laquelle l’initiative individuelle est la plus a même de permettre la réalisation de l’intérêt générale. A. Smith est le père fondateur de ce courant et qu’il existe d’autres auteurs de ce courant : Malthus, Ricardo, Say. Les principaux

cela augmentera forcément la productivité puisque cela voudrai dire qu’il n’y aurait aucune cessation d’activité hebdomadaire et que le travail serait effectué en continue. Pour l’économie cela sera profitable pas seulement pour l’augmentation des profits, mais également pour la création d’emploi que cela pourrait engendrer, en effet si il n’y a pas de volontaire il faudra alors trouver des salariés acceptant le travaille le weekend. Pour certaines entreprises le travail du dimanche est vitale et cette

accompagnée d’une élévation des niveaux de vie moyens et ainsi d’une réduction des inégalités. Doc 3 : le rapport inter décile des salaires en 1970 était de 3,65 (les 10% les plus riches avaient un salaire 3,65 fois > à celui des 10% les plus pauvres) contre 3,2 en 1997. Cette période est caractérisée par le fait que les salaires de D1 ont plus augmenté que les salaires de D9, si bien que le fossé entre ces deux déciles s’est réduit. Cette élévation des niveaux de vie s’est traduite par une amélioration