Partage Salaire Profit

Introduction : Amorce = Le coût du travail, qui comprend le salaire net versé au salarié, les cotisations sociales versées aux organismes de protection sociale et les coûts d’embauche et de licenciement, est considéré comme le déterminant principal du volume de l’emploi et du chômage par les économistes libéraux. Ainsi, le taux de chômage élevé des jeunes et des salariés peu qualifiés s’expliquerait par leur coût trop élevé au regard de leur apport à la production. Problématique = Peut-on

entreprise, on calcule le taux de rentabilité en comparant l’EBE (qui mesure approximativement les profits) au capital engagé (c’est-à-dire, schématiquement, les capitaux engagés pour financer l’activité productive). Taux de rentabilité économique = (EBE / K) x 100 Oralement : en utilisant les agrégats de la comptabilité nationale, on prend l’excédent brut d’exploitation (EBE) pour mesurer les profits et le capital fixe (K) pour mesurer le stock de capital nécessaire. 2) De quoi dépend la

affectés à des tâches de conception (les "manipulateurs de symboles" pour prendre la terminologie reichienne) et les détenteurs de postes d’exécution, contraints de se reconvertir en acceptant des postes à faible niveau de qualification et à bas salaires dans le secteur des services. Première pièce à verser au dossier des relations entre mondialisation et inégalités : la disparition des postes d’exécution au Nord. Et c’est tout ? Non ! Au Sud aussi, le processus de mondialisation attise les inégalités

solidaire. - ils peuvent choisir de mettre en commun certain bien de la vie commune. Ils priviligieront un régime de type communautaire qui se caractérise pa rl’existence d’une masse commune qui comporte un actif et un passif laquelle est déstiné à être partagé par moitié à la dissolution du régime. Ile sont gouverné par des règles spécifique par les règles de l’indivision. L’association peut être universelle. Cette communauté maximale va avoir pour corolaire toutes les dettes des époux mais le plus souvent

marchands évalués à partir des coûts de production des administrations publiques. PIB =  VA + TVA + droits de douane Il existe 3 approches pour calculer le PIB : 1. Production =  VA + impôts + TVA – subventions. 2. Revenus = revenus primaires (salaires, EBE…) + impôts sur la production et importations – subventions. 3. Demande = consommation finale + investissement (FBCF) + variation de stock + solde extérieur (X-M). - Le PNB est un agrégat regroupant l’ensemble des VA rajoutées par les secteurs

50% entre 1964 et 1977) ; - mais des catégories intermédiaires hétérogènes ( différence de statut privé/public...) 2. une hausse du pouvoir d'achat pour accéder à une consommation de masse. - réduction des inégalités de revenu ;1' écart de salaire entre les ouvriers et les cadres de 1955 à 1980 a baissé de 25% ( doct 4) ; le temps de rattrapage en années baisse de 30% entre les 2 catégories (1960-1975). - la hausse du niveau de vie se traduit par une consommation de masse et une nouvelle

l’on ne devait pas retenir le régime de participation aux acquêts comme régime légal. Ce régime de participation aux acquêts nous vient d’Allemagne : séparation de biens pendant le mariage et devient un régime de communauté à l’issue du mariage (on partage en valeur, la somme des acquis pendant le mariage à titre onéreux). Le législateur a décidé que ce régime de participation aux acquêts ne devait pas être le régime légal car ce régime était trop complexe et obligeait à tenir un cahier des comptes

deux types de capital : le fixe (avec l’amortissement annuel) et le circulant (qui disparaît dans le processus de production). Il y a également une distinction entre travailleurs productifs (qui ajoutent de la valeur au produit) et improductifs (salaires payés sur des revenus externes). La richesse des nations dépend de l’accroissement du nombre de travailleurs productifs (Smith). Il y a également une distinction entre valeurs d’usage et d’échange. La première représente l’utilité objective du bien

Financiarisation de l’économie : Partage de la valeur ajoutée ou partage du risque ? 1 David THESMAR , Mathias THOENIG 2 Depuis quelques années, les profits spectaculaires engendrés par les entreprises du CAC40, leur expansion rapide à l’étranger et leur propension à restructurer en France, ont ressuscité le débat public sur la financiarisation excessive de l’économie. Pour certains commentateurs et économistes, le développement, la sophistication et l’internationalisation de la sphère

| |Problématique : Les finalités de l’entreprise conditionnent les objectifs qu’elle se fixe et les actions qu’elle engage. dans une | |économie moderne et solidaire, ces finalités ne peuvent se réduire à la recherche du profit maximum. L’entreprise doit chercher à | |satisfaire l’ensemble de ses partenaires : propriétaires mais aussi salariés, clients et société civile. | |Objectifs :