Partage Salaire Profit

A)La répartition primaire des revenus et son évolution 1) Les différents revenus primaires a)Définition b)les types de revenus primaires 2) La répartition de la valeur ajoutée a) Exercice b) Schéma de synthèse 3)Analyse de l’évolution du partage de la valeur ajoutée (T-D) B)La répartition secondaire des revenus : la redistribution 1) Le mécanisme de la redistribution 2) Du revenu primaire au revenu disponible T-D : Les résultats de la redistribution (lecture des déciles ou quintiles

et les activités exportatrices en faisant en sorte qu'il y ait selon la formule Mercantiliste « abondance d'homme et de d'argent » (forte quantité de travail et forte production). Exige des taux de salaires faibles: faiblesse du cout du travail rend les produits plus compétitifs et permet des profits plus élevés. b. l'Etat doit prendre des mesures pour rendre excédentaire la balance extérieure → aider les exportations grâce aux subventions versées aux entreprises exportatrices et des privilèges

DOSSIER 4 LES GRANDES QUESTIONS QUE SE POSENT L'ECONOMISTE Comment répartir les revenus et la richesse ? Les revenus naissent de la production. Les salaires, les bénéfices ou les intérêts rémunèrent l'apport en travail et en capital des agents économiques ayant contribué à l'effort de production : Ce sont les revenus primaires. Par ailleurs, dans de nombreux pays, des revenus sociaux sont versés aux ménages grâce à la redistribution. I La répartition primaire des revenus 1/ Les revenus primaires

(augmentation du stock ou du potentiel de production, ie travail et moyens de production, de période en période) : c’est ce problème qui constitue le cadre de l’analyse des prix et de la répartition et c’est la raison pour laquelle l’analyse du taux de profit est l’un des objectifs majeurs de cette théorie ; ce qui explique également les raisons pour lesquelles les conditions de la production y joue un rôle important. Cela est particulièrement vrai pour l’analyse de Ricardo. Ricardo reprend la distinction

décisions (embauche, question d'investissement, ...) sont décidées par les USA. Les profits réalisés peuvent être transférés aux USA ou sur un autre territoire. Supposons que toute l'industrie française soit sous contrôle de sociétés chinoises en Chine. Les entreprises deviennent toutes alors des quasi-sociétés. Est-ce que cela change quelque chose au PIB? NON ! Cependant, cela peut changer la dose des profits rapatriés en France ce qui influera sur le revenu national brut. L'économie nationale

l'importance fondamentale du partage de la valeur entre les profits, les salaires et s'il y a lieu, la rente. En effet, tout ces économistes classiques (selon la définition de Marx) partagent la société en trois différents groupes: les salariés (qui offrent leur force de travail contre un salaire) les entrepreneurs capitalistes (qui avancent le capital nécessaire à la mise en œuvre du processus productif, en échange d'une part du produit de la vente de la production: le profit) et les propriétaires fonciers

économique L’activité économique est réalisée par des agents économiques qui sont appelés « unités institutionnelles ». Elles ont une unicité de décision et une autonomie de décision. 1. La logique de circuit Interdépendance => Travail contre salaire. Un flux monétaire est un flux qui exprimé monétairement. Un flux réel illustre l’échange concret qui se réalise entre deux agents. La CN s’intéresse aux flux monétaires.

d'obtenir un partage de la valeur ajoutée beaucoup plus favorable. Pour d'autres, cette réduction du coût de travail ne ferait qu'aggraver le problème et pourrait même entrainer la France dans un cercle vicieux, celui de la récession et de la déflation.   En effet, cette flexibilité interne quantitative pourrait permettre aux entreprises de dégager des profits nécessaires pour embaucher par la suite. Lorsque le coût d'un facteur de production diminue, l'entreprise peut dégager des profits. Ainsi, si

pour lesquelles le partage de la valeur ajoutée se fait à partir des années 80 en faveur des entreprises A- L’état des lieux - Un partage favorable aux salariés - Une spirale inflationniste - Les entreprises n’investissent pas - Un commerce extérieur qui se dégrade du fait de l’inflation et de la faible compétitivité des entreprises (baisse des exportations et augmentation des importations) L’état des lieux n’étant pas favorable à l’économie, un nouveau partage de la valeur ajoutée

qui se diffuse aux salariés sous forme de hausse de salaires nominaux et/ou de baisse des prix de vente des produits, qui élève leur pouvoir d'achat. • De plus, les gains de productivité, à travers leurs effets sur les revenus et les prix, dynamisent la production. La baisse des prix réels des biens et des services stimule la consommation des ménages. Les entreprises peuvent conserver une partie des gains de productivité sous forme de profits facilitant l'autofinancement desinvestissements. • Par