Partage Salaire Profit

VALEUR AJOUTEE 2- Comment évolue le partage de la valeur ajoutée entre 2006 et 2009 ? De 2006 à 2009, la part des salaires dans la valeur ajoutée augmente de 0,4 points de pourcentage, la part des impôts sur la production (déduction faite des subventions d'exploitation) augmente elle aussi de 0,3 points de pourcentage. En revanche, la part des profits dans la valeur ajoutée (mesurée par l'E.B.E.) baissede 0,7 points de pourcentage. 3- Pourquoi le partage de la valeur ajoutée peut-il être une

pays. Pour rappel, la valeur ajoutée est l’ensemble des richesses crées par chaque agent économique. Ainsi son partage entre les différentes catégories agissant dans l’économie est plutôt important. Au cours de ces vingt dernières années, le partage de la valeur ajoutée entre les salaires et le profit est resté quasi-stable dans la plupart des pays développés. Mais cette stabilité du partage de la valeur ajoutée s’est soldée par un creusement des inégalités entre les différentes catégories de la population

Des loyers dits fictifs (ou imputés), qui sont évalués en référence à ce qui se pratique sur le marché, sont définis dans le but de rendre la valeur de la prod indépendante du statut juridique de l’occupant du logement. La PEFP englobe aussi les salaires de domestiques et l’autoconsommation. d) 3ème composante : les autres productions non marchandes Cette partie comptait pour 12% de la prod totale en 2010. Cela caractérise la prod qui est fournie soit gratuitement, soit à un prix économiquement

divergents qui peuvent conduire à des conflits au sein de l’organisation. Partage du profit entre associés et dirigeants : - Dirigeants veulent développer l’entreprise (autofinancement) >< associés et actionnaires réclament des dividendes élevées ; Partage « salaire-profit » : - Salariés veulent des hausses de salaires >< associés et actionnaires recherchent le profit maximum (incitent dirigeant à limiter les hausses de salaires en les menaçant de les licencier, délocaliser) C/ Des contradictions

divergents qui peuvent conduire à des conflits au sein de l’organisation. Partage du profit entre associés et dirigeants : - Dirigeants veulent développer l’entreprise (autofinancement) >< associés et actionnaires réclament des dividendes élevées ; Partage « salaire-profit » : - Salariés veulent des hausses de salaires >< associés et actionnaires recherchent le profit maximum (incitent dirigeant à limiter les hausses de salaires en les menaçant de les licencier, délocaliser) C/ Des contradictions

production. Elle sert à payer les salaires, à verser des impôts sur la production à l’Etat, ainsi le reste contribue à la rémunération de l’entreprise, c’est ce que l’on appelle son profit brut. A quoi sert le profit brut ? Le profit brut dégagé par l’entreprise permet de payer les intérêts de ses emprunts, de rémunérer les actionnaires qui ont investi dans l’entreprise et ainsi financer les investissements de l’entreprise, ou d’injecter la somme du profit sur le compte en banque de l’entreprise

travail est supérieure au salaire payé d’ou le fait que le capitaliste exploite la force de travail car il ne la paie pas à sa juste valeur II. Théorie marxiste de l’exploitation Force de travail = capacité physique et intellectuelle (c/ travail) Prix force de W = salaire Qté de W = renouvellement force de W + Pl La plus-value résulte que force de W crée plus de valeur que l’achat de cette force de W (salaire) III Le partage entre plus-value et salaires taux d’exploitation Tx

familial et non sur le travail salarié. Le produit global n’est pas distribué sous la forme de salaires et de profits mais sous la forme de parts revenant à chaque membre de la famille (= « bol de riz »). – Par opposition le secteur moderne décrit une organisation capitalistique de la production qui repose sur l’utilisation du travail salarié par les capitalistes qui la mettent en oeuvre pour obtenir un profit. • L’hypothèse de surplus de main d’oeuvre L’idée principale de Lewis est qu’il existe un

Sujet : Vous montrerez que le choix du partage de la VA a une influence déterminante sur la croissance . La valeur ajoutée correspond à la valeur de la production, diminuée de la consommation intermédiaire. Sa répartition primaire se définit comme étant la distribution de richesses aux agents économiques ayant contribué à leur création.C'est à dire elle est partagée entre les entreprises , l'Etat , les salariés , les banques et les actionnaires . Pendant les Trente Glorieuses, la part salariale

travailler davantage et a être plus productif pour gagner un revenu équivalent a celui que serait son revenu sans impôts. Donc sa Théorie Générale, il évoque que cela stimule la demande et donc la croissance. Une répartition de la VA favorable au salaire permet de stimuler la demande et donc dans une optique keynésienne de relancer ou d’accroitre la croissance : hausse des importations ou de l’épargne. Cependant il y a des couches de la population qui n’ont qu’une faible propension à épargner (les