Parti du peuple algérien

décolonisation A. L’affaiblissement des métropoles 1) Le choc des deux guerres mondiales sur les puissances coloniales La 2nde Guerre Mondiale a élargi les fissures dans les colonies. En Asie, le Japon a présenté son occupation comme une revanche des peuples de couleurs sur les Blancs. Les grandes puissances coloniales européennes (France, Royaume-Uni, Pays-Bas, Belgique) ne sont sorties de la guerre du côté des vainqueurs que grâce aux Etats-Unis ou l’URSS. Et pendant la guerre, le Royaume-Uni et la

Polisario, au nom du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Dix ans après l’instauration du cessez-le-feu, l’ONU, en raison du manque de volonté manifeste des deux parties à coopé- (*) Frank Neisse est actuellement au Kosovo après avoir été au Sahara occidental, et chargé de mission à la Délégation aux Affaires stratégiques du ministère de la Défense. Les vues exprimées ici n’engagent que leur auteur. (1) La Résolution 1514 (XV) déclare que « la sujétion des peuples à une subjugation, à une domination

Le Mouvement Algérien des Officiers Libres www.anp.org LES GENERAUX ET LE GIA Avant-propos Officier supérieur des services secrets de l'Armée nationale populaire algérienne (ANP), j'ai participé en janvier 1992 au coup d'État qui a destitué le président Chadli Bendjedid. Tout au long du début des années 1990, j'ai pris part à la lutte contre les réseaux du terrorisme intégriste, parce que j'estimais qu'il était de mon devoir de contribuer à sauver le pays. La suite des événements m'a permis

déclarations de foi, ni les quelques textes sur les droits de l’homme signés dans l’urgence par les autorités algériennes pour juguler une contestation, qui permettront l’intégration politique de ceux qu’on appelle avec dérision les «minoritaires». La construction de mythes fondateurs, à contre-courant de l’histoire, visant à construire un imaginaire «sur-mesure» et à fabriquer un peuple nouveau, ne fait qu’exacerber une tension déjà très grande, creusant ainsi un peu plus le fossé qui sépare les

limitée au Nord par la Mer Méditerranée, à l’Est par la Tunisie et la Lybie, au Sud par le Niger, le Mali et la Mauritanie, à l’Ouest par le Maroc. Les distances nord- sud sont considérables : 2000 km séparent Alger de Tamanrasset. Au nord le relief algérien est limité par la chaîne de l’Atlas, parallèle à la mer. On distingue l’Atlas tellien, continuation du Rif marocain de l’Atlas saharien qui est le prolongement du Haut Atlas marocain et qui culmine par le Djebel Aurés (2328 m.) L’Atlas saharien

début du XX siècle. En effet, à partir de 1945, les auteurs maghrébins entreprennent une production littéraire riche et profonde notamment avec des nouvelles ou des romans. Ces livres étaient autobiographiques et posent les questions inévitables de l'identité maghrébine et de l'assimilation. Diverses brochures et journaux apparaissent et militent pour des revendications nationalistes plus exactement les années cinquante, importantes pour la littérature algérienne d'expression française, qui représentait

remake ? Sommes-nous en présence d’un mouvement spontané, produit d’un ras-le-bol social, ou organisé et programmé par un clan du pouvoir en vue d’une succession qui s’annonce rude ? Ici quelques éléments de réponse puisés dans la vie politique algérienne post-indépendance, les maux qui rongent notre pays ayant des origines lointaines. La démocratie, revendication substantielle, y apparaît comme une denrée rare, sinon résiduelle. Au-delà de nos doléances légitimes (cherté de la vie, mal-vie, chômage

nationale elle s’émiette au profit de mémoires locales et communautaires. La mémoire de la colonisation en fait partie et les débats actuels à son sujet sont particulièrement virulents. Le projet de loi du 23 février 2005 sur « le rôle positif de la colonisation française » n’a fait qu’exacerber les positions des uns et des autres sur la question. Dans cet ouvrage, loin de prendre partie en faveur de la colonisation, Daniel Lefeuvre dénonce avec les outils de l’historien les contrevérités que développent

1948 & 1958 & la crise algérienne du 13 mai 1958. L'essentiel du pouvoir se retrouvé entre les mains du parlement, il était composé de deux chambres, de l'assemblé national & d'autre part du conseil de la république. L'exécutif réait le conseil des ministres qui avait à sa tête un président du conseil, il devait avoir la confiance du parlement, c'est pour cela que l'on parle de régime parlementaire. Il y avait un président de la république mais il n'était pas élu par le peuple mais par les deux chambres

vrai dire une situation de fait ancrée dans les mœurs de l’ancienne société quelles que soient la race ou l’origine des peuples. Chez les indous, elle prédomina longtemps, de même chez les anciens babyloniens, assyriens et persan, et il n’existait aucune restriction quand au nombre de femme qu’un homme pouvait épouser. Les grecques et les romains sont à peu près les seuls peuples anciens chez lesquels on ne retrouve aucune, ou alors très peu de traces de polygamie. La société arabe préislamique