Parti socialiste européen

chaotique en portant au pouvoir pour la deuxième fois F. Mitterrand. La seconde Cohabitation : 1993-1995 (Mitterrand - Balladur) Aux législatives de 1993, le parti socialiste étant divisé par la querelle des héritiers (Congrès de Rennes) et déconsidéré par des affaires qui choquent l’opinion : financements douteux des partis, affaire du sang contaminé par le virus du SIDA… La seconde période de cohabitation de l’histoire de la Vème République s’est ouverte, avec la nomination d’E. Balladur

mise en danger, elles auraient accumulé le système des quotas européens en plus de la taxe carbone. DD: l’application de la taxe carbone, présentait de nombreuses difficultés dans l’application. Greg: La taxe aurait conduit à ce que 93% des émissions d’origine industrielle hors carburant, soient exonérées de contribution carbone. C’est pourquoi selon Jean François Copé, il est nécessaire d’instaurer une taxe carbone au niveau européen. DD : Qu’en est il Elise du point de vue des écologistes ?

cours sur le comportement de participation politique ! Qu’est-ce que la participation politique ? Comment la définir ? Réalité, limites, analyse, représentation de la crise de participation politique en France et en Europe. Examen écrit : 2h. A partir d’un dossier documentaire, une interprétation et une analyse de notre part sur la base de l’ensemble des infos, enseignements et cours qui nous auront été proposés. Cours 1 : L’analyse de la crise de la représentation politique (P. Perrineau)

d'économie, à l'Institut d'études politiques de Paris, en 3ème année, de 1988 à 1991. Actuellement, il est magistrat de la Cour des comptes. Ceci lui permet d'exercer le métier d'avocat. En ce qui concerne son parcours politique, il a adhéré au parti socialiste en 1979 car il identifie ce dernier comme le camp de la justice, du progrès, de la liberté et de l'innovation. En 1981, il a échoué face à Jacques Chirac en Corrèze, aux législatives. Dans la même année, il a rejoint l'Elysée. Puis en 1983, il

avec les années 80. On peut même la dater de 1986. Pour la première fois, les femmes votent à gauche autant que les hommes. En 1988, lors de la présidentielle, elles votent à gauche et même plus que les hommes. Une tendance confirmée aux élections européennes de 1999 : 46% des femmes, contre 42% des hommes, se sont prononcées en faveur des listes vertes et de gauche (TNS Sofres). Autre point notable : les femmes sont beaucoup moins nombreuses que les hommes à voter pour Jean-Marie Le Pen. Cela s’explique

adoptent une attitude parlementariste. Sous la IVème République, le multipartisme fait que le clivage droite/gauche varie selon les coalitions. Au début de la V° République, le général De Gaulle souhaitait mettre fin au « système des partis », c'est-à-dire à la mainmise des partis sur l'appareil étatique, cause de l'instabilité institutionnelle de la IV° République. De plus, sous la Vème République, on assiste à l'apparition du fait majoritaire, dessinant plus nettement le clivage droite/gauche. Bipolarisation

mois, certains événements politiques, certaines informations et une situation sociale de plus en plus difficile pour des millions de Français nous force à nous poser cette question, même si elle peut paraître saugrenue. Ainsi, les révoltes en partie abouties en Tunisie et en Egypte, le succès du petit livre de Stéphane Hessel, le développement en France du mouvement Uncut, le record d’abstention aux élections cantonales et certains sondages récents ne peuvent-ils pas être vus comme les signes

Général De Gaulle qui déclare en 1965 que la Constitution de 1958 a été faite dans l’intention de mettre un terme au régime des partis. Ainsi, le nouveau régime bâti par le Général De Gaulle tente de réduire les partis au seul rôle de représentants d’intérêts particuliers. Pourtant, la Constitution de 1958 est aussi celle qui reconnaît pour la première fois le rôle des partis dans les institutions même si elle les cantonne à « l’expression du suffrage » (art 4) 10 Un bouleversement majeur va avoir

GRUNBERG, est directeur de recherche au CNRS et au Centre d'études européennes de Sciences Po. Spécialiste en sociologie politique et électorale, il se concentre ici sur le système des partis politiques en France. Publié en 2008 dans Le vote de rupture, l’auteur évoque le bipartisme. En traitant les aspects institutionnels, les aspects électoraux et la présidentialisation, il propose une réflexion sur l’enracinement de deux partis dominants en France. Depuis 1962 et encore plus depuis 2002 et 2007

l’Etat) -2 l’impot reste limité par le bouclier fiscal (50%) - moteur de l’économie active, - pousse a la consommation immédiate (félix) - partis politique favorables : Sarkozy avec aménagement, UDF avec aménagement, Parti radical de gauche + Parti communiste français + Ligue communiste révolutionnaire pour une augmentation PS : Le Parti Socialiste, en surface, semble souhaiter supprimer l’ISF et toutes les niches et protections dans l’optique de réformer la fiscalité. Cependant, en profondeur