Participation Du Citoyen A La Vie Politique

Préparé sous la direction de Monique Chemillier-Gendreau, professeur de droit et de science politique Présenté et soutenu publiquement par Hervé Andrès Session de juin 2000 Mémoire de recherche Le droit de vote des étrangers Présenté pour l’obtention du DEA de sociologie du pouvoir Préparé sous la direction de Monique Chemillier-Gendreau, professeur de droit et de science politique Présenté et soutenu publiquement par Hervé Andrès Session de juin 2000 Avertissement

« Il y a deux vérités qu'il ne faut jamais séparer en ce monde: la première est que la souveraineté réside dans le peuple, la seconde est que le peuple ne doit jamais l'exercer.» de Rivarol. La souveraineté est le principe de l'autorité suprême, elle est le droit absolu d'exercer une autorité législative, exécutive ou judiciaire sur une région, un pays ou sur un peuple. La souveraineté se définit comme "la puissance d'un être qui n'est soumis à aucun autre" elle

Démocratie : « le gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple » de Lincoln discourt du 19 novembre 1863. Le peuple est a la fois a la source et a la fin du pouvoir, ce qui suppose une identité entre celui qui détient le pouvoir et celui qui l'exerce → démocratie direct qui entre dans la souveraineté populaire. Système représentatif → délégation des pouvoir, c'est le gouvernement de la nation par ses élus. On parle aussi de démocratie indirecte. Il s'agit ici de la souveraineté nationale

que la sociologie politique ? Bibliographie : Jean Philippe Lecomte, Sociologie politique, 2005. Manuel de Jacques Lagroye, Sociologie politique, 2006. La sociologie est une vieille discipline universitaire née à la fin du 18ème, tradition académique bien ancrée. Science politique beaucoup plus jeune, reconnue aujourd’hui à part entière. La science politique à ses propres revues scientifiques, elle a ses propres maîtres de conférences, littérature. La science politique est devenue autonome

a) La citoyenneté à Athènes Division de la société [doc. 6 p.19] : Pour être citoyen à Athènes, il faut avoir plus de 18 ans, être né de père et de mère de familles citoyennes. C’est donc le droit du sang qui détermine al citoyenneté à Athènes. Ne sont pas citoyen les femmes et les enfants athéniens, les méthèques (étrangers libres) et les esclaves (étrangers non-libres). Il y a 11% de citoyens et 89% de non-citoyens. Formation du citoyen [doc. 3 p.20] : L’éphébie est une sorte d’entrainement

classique qui correspond à la majeure partie des Ve et IVe  siècles av. J.-C., c'est-à-dire depuis la victoire spartiate de Salamine contre les Perses en 480 av. J.-C. jusqu'à la mort d' Alexandre le Grand en 323 av. J.-C. En Grèce classique les femmes n’étaient pas considéré comme un citoyens statut qui n’était réservé

  Selon,   Jean   Pierre   Duprat   professeur   de   droit   à   l’université   Bordeaux   Montesquieu,       «  la  loi  organique  du  1er  août  2003,  sur  le  référendum  local  décisionnel,  s’inscrit  dans  une   lente   démarche   destinée   à   renforcer   la   démocratie   participative   à   l’échelon   local.   Elle   représente   une   amélioration

GABENSLolaCIVLIB 201TD N°1/2Commentaire à préparer par écrit : Vous commenterez l’extrait «  De la liberté des anciens comparée à celle des modernes  » de CONSTANT (Document 2). « Sitôt que quelqu’un dit des affaires de l’État. Que m’importe ? On doit compter que l’État est perdu. L’attiédissement de l’amour de la patrie, l’activité de l’intérêt privé, l’immensité des États, les conquêtes, l’abus

La Loi au Vème siècle avant notre ère à Athènes  « La participation commune à un système de gouvernement » : Telle est la pensée politique grecque qui manifeste un intérêt particulier sur la réflexion des systèmes politiques. De cette réflexion naît la notion de « Constitution » sous le terme de « Politéia ». On assiste à la classification de tous les types politiques ; parmi eux la démocratie se distingue, qualifiée de « Gouvernement du peuple par

Commentaires Les politiques, Aristote, livre 3 chapitre 1 et livre 4 Introduction : Les grecs considéraient les Macédoniens comme des barbares, car ils n’étaient pas organisés en cités mais en royaume. Pour eux, la meilleure forme de vivre ensemble était la cité. On peut alors se demander tout simplement qu’est-ce que la cité antique. Ici, je commenterai le livre 3, chapitre 1 et le livre 4 de l’ouvrage les Politiques d’Aristote. En quoi ces textes sont-ils intéressant dans l’étude de la cité