Participation électorale

Chapitre 1 : L’avènement de la démocratie contemporaine | SECTION 1 : L’AVÈNEMENT DU SUFFRAGE UNIVERSEL EN EUROPE OCCIDENTALE Élargissement du corps électoral qui a connu un processus relativement chaotique. §1 – Élargissement du corps électoral Processus d’élargissement est continu et semble quasi-inéluctable. A – Modalités du processus Relativement progressive. Universalisation s’est faite par étape. En premier lieu au XIXe siècle, on peut dire qu’une première caractéristique apparait :

strictement numériques. Par extension, on appelle chambre basse toute chambre élue sur de tels critères ( → En France : Assemblée Nationale ) Chambre Haute : dite aussi « des États », cette chambre vise à assurer, dans les États fédéraux, la participation des États fédérés à la législation commune ( → Sénat aux USA, Bundesrat en Allemagne). En France, le Sénat est parfois aussi qualifié de « chambre haute » en raison de son élection au suffrage indirect. Confédération : c'est une association contractuelle

politiques , on a donné naissance aux partis politiques. Leur première fonction est celle de concourir à l'expression des suffrages , c-a-d aider les citoyens à y voir clair , à faire un choix et à exprimer ce choix. C'est un encadrement des voix électorales. Il peut aller jusqu'à l'emprisonnement de la liberté de penser. Les partis ont également une fonction d'encadrement des élus . Ils sont nés aussi de la nécessité d'encadrer les élus. Ils servent aussi à la formation du personnel politique parce

Les élections en France I- Qui peut voter en France ? La constitution de 1958 établi les règles électorales en France. Tous les citoyens et citoyennes majeur(e)s inscrit(e)s sur les listes électorales et disposant de leurs droits civiques peuvent voter. Le vote en France est secret. II- Les élections en France Election Elus Durée Territoire concerné Mode de scrutin Municipales Conseil municipal 6 ans Commune Scrutin de liste à 2 tours Cantonales Conseil général 6 ans Département Scrutin

de l’élection et les modalités du suffrage puis nous verrons que malgré les tâtonnements elle fut une immense réussite. I. Mise en place de la démocratie 1. Abolition du régime monarchique -Suppression du régime censitaire : le corps électoral passe subitement de 246 000 électeurs à plus de neuf millions. -Suppression du système parlementaire : le vote se fait au scrutin de liste départemental afin d’éviter l’influence des notables locaux : on vote pour une liste et non plus pour un homme :

élites par les élites pour les élites »… Peut-on parler de peuple ??? Alors que ce sont les électeurs qui votent. Le problème de l’influence du peuple est du en grande partie au niveau de participation, en effet dans les pays comme aux USA le niveau de participation est entre 45 et 55%. En Europe le taux de participation est un peu plus élevé. Le problème est que lorsqu’un président est élu avec 50% des voies, ces voies représentent ¼ des électeurs. Il y a donc un problème de légitimité. Autre problème

révolutionnaires de février 1848 renversèrent le roi Louis- Philippe ; un gouvernement provisoire à la tête d’une République elle aussi provisoire dut alors organiser l’élection d’une Assemblée constituante. Chargés de la rédaction d’une nouvelle loi électorale, les juristes Cormenin et Isambert rendaient leur copie dès le 2 mars à un gouvernement pressé par l’urgence. La discussion fut ajournée, mais le suffrage universel immédiatement proclamé. Il fallait en effet calmer des insurgés menaçants et contrebalancer

20 et 27 mars 2011 En application des dispositions de l’article L. 192 du code électoral, de l’article 3 de la loi n° 2005-1563 du 15 décembre 2005 prorogeant la durée du mandat des conseillers municipaux et des conseillers généraux renouvelables en 2007 et de la loi n° 2010-145 du 16 février 2010 organisant la concomitance des renouvellement des conseils généraux et des conseils régionaux, le renouvellement de la série des conseillers généraux élus en 2004 aura lieu les 20 et 27 mars 2011. En

démocratiques et les régimes autoritaires. Les autorités politiques sont issues d’élections normales (dans un régime démocratique). Dans les régimes autoritaires, les autorités politiques ne sont pas élues, mais soit elles sont cooptées, soit un système électoral biaisé les désigne. L’accès au pouvoir renvoie à un problème complexe : la légitimité des autorités politiques. b-      L’exercice du pouvoir Renvoie au mécanisme constitutionnel : quelles relations entre les différents pouvoirs ? Les régimes

référendum constitutionnel et de la mauvaise et partiale gestion des opérations électorales par le Bureau de la Cei et le Bureau National des Opérations (Bno). Elles demandent à la population congolaise de s’impliquer d’avantage dans le processus électoral en vue de son appropriation au travers des actions de sensibilisation et d’organisation des comités de base pour l’observation et la surveillance de toutes les opérations électorales. Ci-dessous, le texte intégral de leur déclaration. DROITS DE L’HOMME ET