Participation Protestataire

une meilleure '' respiration démocratiques '' / adapter les institutions du 21éme siécle . C'est aussi un moyen de faire coincider le mandat présidentiel et les élections législatives . Depuis les années 80 , on constate une montée du vote protestataire et de l'abstention . Aux élections présidentielles de 2002 , Le Pen obtient 17,7 % des suffrages , un score historique qui lui permet d'accéder au second tour . Déceptions des partis du gouvernement qui n'ont pas pu être à la hauteur , multiplications

les opérations électorales eurent lieu en « assemblée primaire », c'est-à-dire lors de réunions de citoyens où l’on se prononçait à main levée. L’absence de vote secret explique sans doute, compte tenu de la situation de l’époque, la faible participation et le faible nombre de « non ». Enfin, pour beaucoup des assemblées primaires on ne connaît que le résultat final « approbation du projet » sans qu’il y ait un décompte précis des voix. Tous ces éléments laissent à penser que le référendum ne présente

des symptômes de la crise des démocraties représentatives dans le contexte de la mondialisation et de la construction européenne. Il incarne une corruption idéologique de la démocratie, en révèle les dysfonctionnements et exprime une exigence de participation populaire sous le mode fusionnel d'un communautarisme national ou identitaire. Peut-on admettre une unicité de l'attitude populiste ? Taguieff parcourt cette nébuleuse politique pour en constater l'extrême hétérogénéité. Sur un plan méthodologique

ou UPR parti de De Gaulle obtient majorité absolue à l’A.N : partie de France qui ne s’était pas exprimée (Sort vainqueur de la crise, reste au pouvoir -Réformes pr rétablir paix sociale : Autonomie des universités (rôle d’Edgar Faure) E : participation des salariés, recul du patron qui doit tenir compte du personnel. Décentralisation : + de pvr aux régions (Référendum 27 avril 65 : NON 53%) (DEMISSIONNE LE 28 AVRIL 1965 B) La 5ème République sans De Gaulle : continuité ou évolution ? (1969-85)

état unitaire . Ou alors échec, chaque État décide de reprendre leur autonomie. Les états membres ont des organes et peuvent avoir des système juridique différent mais unis au fédérale. Il y deux pp qui gouverne une fédération: -participation -autonomie. -participation. Les États participent à la vie politique fédérale. La seconde chambre représente donc souvent ses États. -autonomie Propre constitution et législation... Il y aura toujours des tentions: domination de l'état fédéré. US bcp

participative, est un terme proche du pléonasme dans la mesure où la démocratie en elle même est déjà à connotation participative. Ce terme traduit bien, le problème de la politique de nos jours car elle se caractérise de plus en plus par un manque de participation citoyenne. En effet, comme le note S. BRATOSIN1, «c'est précisément parce que l'on connait le sens originel du mot démocratie qu'en le confrontant à notre vécu sensible on a besoin de marquer distinctement le caractère participatif de ce type de

des évènements. La façon de nommer les révolutions trahissent une centralité de valeurs, on parle de révolutions « modernes », « démocratiques », « post-modernes ».3 L’approche culturelle et diffusionniste met en avant le fait que les nouveaux protestataires seraient porteurs d’une révolution culturelle et intellectuelle et d’une nouvelle relation avec l’autorité politique et religieuse qu’on pourrait qualifier de « démocratisation » des esprits. De plus, la jeunesse est d’une certaine manière instrumentalisée

afin d’aboutir les résultats souhaités. Pour bien penser et organiser ainsi définir une stratégie de mobilisation, je bénéficierais des riches et nombreuses expériences sur la question de mobilisation et de sensibilisation afin d’accroitre la participation visant la réussite du développement communautaire. Toutefois, la situation de chaque communauté est relativement différente de celle de l’autre ; encore moins entre les experts et les agents de développement communautaire. Un élément déterminant

la situation n’apparaît pas comme idéale, à tel point qu’il devient légitime de se demander si la démocratie parlementaire n’est pas un modèle historique en fin de parcours. Elle doit en tout cas tracer son chemin entre la volonté des uns d’une participation plus directe des citoyens, et celle d’autres prônant un modèle de gouvernance plus oligarchique. Les difficultés pour le Parlement à trouver sa bonne place, entre « l’hyperprésidentialisation » impulsée par M. Sarkozy, et un certain attentisme

république, en réalité dès la 2nd république il y a eu un développement de réseau de sociabilité (développement des transports), donc une politisation c’est organisé. Et à l’inverse le sens politique n’a pas était si fort dans les milieux urbains. La participation électorale n’était pas si supérieur dans les villes par rapport aux campagnes. De plus il y a de grande différence géographique notamment dans le sud est de la FR 1 électeur sur 3 se déplace pour voter. Cette apprentissage est très différencier