Partie prenante

premières parties prenantes sont les deux entreprises qui ont fusionné le 22 juillet 2008, qui sont Gaz de France et Suez. Ils se sont associés dans leur intérêt pour rapprocher le leader français de la distribution de gaz avec l’un des leaders mondiaux dans les domaines de l’énergie et de l’environnement. Grâce à ce mix énergétique, il y a convergence entre le gaz et l’électricité et ils pourront développer ensemble un autre axe fondé sur de nouvelles capacités de production. La troisième partie prenante

Etre le premier fournisseur mondial de Normes internationales de haute qualité, pertinentes sur le plan mondial, au travers de ses membres et de ses parties prenantes. Avant-propos Si l’ISO, avec le soutien de Les membres des pays en membres des pays en dévelop- développement jouent un rôle pement à tirer le meilleur parti majeur en orientant l’ensemble de leur adhésion à l’ISO, les du processus d’assistance objectifs du présent Plan technique de l’ISO. Les outils

Tertiaire : Service Forme Juridique Entreprise industrielles : Pers Physique Société : EURL, SARL, SNC Secteur privé / Public Entreprise privé : dont le capital est détenu par pers privé physique ou moral Entreprise public /semi-public : dont une partie du capital est détenu par l’état II. Comment l’entreprise réalise t’elle un profit ? A. Production de bien et de service Une entreprise c’est une organisation qui propose des biens et des services afin de satisfaire les besoin des clients

INTRODUCTION La responsabilité sociale des entreprises (RSE) est un concept qui désigne l’intégration volontaire, par les entreprises, de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec leurs parties prenantes1. Les entreprises ont un comportement socialement responsable lorsqu’elles vont au-delà des exigences légales minimales et des obligations imposées par les conventions collectives pour répondre à des besoins sociétaux. La RSE permet aux

EADS est une société spécialisée dans l’aéronautique. Elle a été dirigée par Philippe Camus et Thomas Enders. Cependant, cette grande entreprise rencontre des difficultés cela jusqu’au délit d’initié, les parties prenantes avaient vendus des actions au bon moment alors que les informations n’ont pas été connues du grand public. Cela a été constaté par l’AMF (autorité des marchés financiers). 1) La logique d’Airbus, leur chaîne de décisions en passant par leurs difficultés. Airbus est une filiale

(1989), on peut répertorier les parties prenantes en deux catégories : Les parties prenantes « primaires » : cette catégorie désigne les personnes internes ou externes à l’entreprise mais liées contractuellement avec cette dernière. Il s’agit de tous les acteurs en relations avec l’entreprise et qui sont impliquées directement dans le processus économique. On distingue alors différents types d’acteurs dans cette même catégorie : les actionnaires, les parties prenantes internes telles que les salariés

de l’ensemble des parties prenantes de l’entreprise (salariés, clients, actionnaires, dirigeants…). Dans ce modèle, les marchés financiers sont peu développés et le capital des firmes est souvent contrôlé par des actionnaires puissants qui en détiennent une part significative, seuls ou à plusieurs à travers des blocs de contrôle. Ce sont des actionnaires puissants qui protègent les équipes dirigeantes des menaces de prises de contrôle hostiles. Mais d’autres parties prenantes exercent également

administration et son contrôle. Elle consiste en un ensemble de dispositions pratiques traitant en particulier : de la définition des droits et des devoirs des parties prenantes internes et externes; du partage des prérogatives et responsabilités qui en résultent; des relations qui se tissent à cette occasion entre ces parties prenantes. La gouvernance d’entreprise ne se substitue pas aux dispositions règlementaires et statutaires qui traitent de la même matière, mais indique comment les respecter

intègrent-elles à leurs objectifs économiques, des objectifs environnementaux et sociaux ?  Dans cette nouvelle édition, les auteurs présentent l'évolution des différentes approches du concept de RSE ; ils analysent la pression des parties prenantes, les discours, les pratiques et mettent en lumière les dilemmes et les limites de la RSE par rapport aux enjeux du développement durable. En proposant une nouvelle lecture des rapports entre les activités économiques et la société

simple effet de mode. Selon la Commission Européenne, la RSE peut être définie comme « l'intégration dans l'entreprise des préoccupations sociales, environnementales, et économiques dans leurs activités et dans leurs interactions avec leurs parties prenantes sur une base volontaire ». La RSE est donc un concept qui à terme, à pour vocation de créer de la richesse et d’améliorer les capacités de l’entreprise. Nous allons voir en quoi la RSE peut-elle être génératrice de richesse à moyens et long