Pascal La Raison De L Homme Et L Instinct Animal

Est-il raisonnable d'aimer ?Tout semble opposer l’amour à la raison : son caractère spontané, irréfléchi, souvent excessif, sans motif universel alors que la raison suppose la réflexion, la justification, la modération et la prudence. Aimer, du grec agape, qui signifie avoir pour quelqu'un, quelque chose de l'affection, de la tendresse, de l'amitié ou de la passion, est un sentiment qui adopte diverses formes. Soit l’opposé de la raison, du latin ratio qui signifie

humaines. L’intelligence, quant à elle, peut avoir deux significations. D’une part, on peut l’opposer à l’instinct. « L’homme, disait Aristote, est un animal raisonnable ». En ce sens donc, tous les hommes sont doués d’intelligence dans la mesure où ils pensent leurs actions avant de les accomplir ; le comportement animal, au contraire, obéit à des instincts, c’est-à-dire à des schémas définis qui ne font pas intervenir la volonté consciente. D’autre part, l’intelligence peut être opposée à la bêtise

de terre ; mais c'est aussi un espace que l'homme doit partager avec l'herbe, les arbres, les animaux. C'est un monde visible , sensible fait de matière et d'êtres vivants : tout ce que l'homme n'a pas produit par son travail et qu’il trouve « naturellement » . Dans cet espace , l'homme regarde la nature, mais il est aussi la nature, toutefois il se distingue des autres car il est un être de raison. La nature est donc le milieu de l'homme, il la pense, la connait, la transforme. Et c'est au

à avoir un raisonnement, une logique, qui va séparer l'Homme de l'animal. Grâce cette pensée, l'Homme va acquérir, au fil de son évolution, ce que nous appellons la culture. Nietzsche fait la distinction entre un instinct de vie, en fait nos facultés innées, naturelles, animales pour ainsi dire, et l'ensemble des productions humaines, qu'il appelle le grand art, et qui englobe tout ce qui s'aquiert au cours de notre vie, comme par exemple l'art ou les sciences. Or, pour acquérir cette pensée

de parcourir ces lignes. ) LE TRAVAIL : Marx : le travail est exclusif à l'homme, car ce dernier fait préexister un projet par sa conscience avant de travailler. Dans son exemple, il diffère "l'abeille" qui certes travaille, mais qui le fait par instinct.  Il dénonce l'aliénation du travail avec notamment le travail à la chaîne. Michel Serres : selon le principe d'entropie, la nature tente de s'organiser afin de survivre. Ainsi tout être vivant, conscient ou pas, travaille par "le tri" Platon : nous

CONSCIENCE 1. La cs est d’abord psychologique. Le 1er degré de la cs se rencontre chez les animaux : c’est la sensibilité au plaisir, à la douleur et aux impressions produites par tout l’environnement extérieur. Mais seul l’homme possède une cs réfléchie, càd la faculté de se représenter lui-même ses propres états mentaux ou psychiques. 2. CS= Instance importante en nous-mêmes qui nous raccorde a la réalité et qui a un pouvoir sur nos pensées et nos actes. C’est le recul que

des définitions de l’inconscience, ce qu’est un être humain sans conscience : un animal. En effet, ce qui définit l’Homme, ce qui fait sa grandeur comme dit Pascal  « c’est sa pensée » et ce qui lui permet de penser, d’avoir du recul, de pouvoir prendre une décision c’est sa conscience. Ainsi sans conscience, l’Homme ne pourrait pas connaître le monde qui l’entoure et lui-même. L’Homme sans conscience est donc un animal. Mais alors pourquoi vouloir se soustraire à ce qui est, pour la plupart du temps

général libératrice. Mais l’est-elle réellement ? Lorsque nous utilisons le terme de prise de conscience, il ne s’agit certainement pas de la conscience générale. Mais rappelons que la conscience c’est avoir un recul, à faire une introspection. Chaque homme est doté d’une conscience réfléchie. Cette conscience a un étroit lien avec la liberté. En effet elle consiste à se libérer. Si la conscience est libératrice, l’est-elle complètement ? Puis, se libérer ne serait-il pas une manière de créer de nouvelles

pouvoir élève l’homme infiniment au dessus de tous les êtres vivants sur la terre.» Pascal – Pensées : «L’homme est grand en ce qu’il se connait misérable.» Cse de soi connaissance de soi. Cse → rupture entre le moi et le reste du M. Tâche de l’h : communiquer pour briser sa solitude. Pascal – Préface au traité du vide : «Toute la suite des hommes pendant le cours de tous les siècles doit être considéré comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement.» Effort de l’hummanité pour

pas le privilège de certains hommes, puisque la conscience selon Rousseau est universelle. Les différences de moralité entre les hommes ne dépendent alors que de leur décision d’écouter ou non cette voix. La conscience morale est pour l’auteur un instinct. Il est alors inutile pour Rousseau de chercher sa nature et son origine puisque il faudrait la discerner par soi-même. Ce qui voudrait dire qu’elle serait instinctive et naturelle. L’extrait étudié d’Emile ce compose de deux moments. Dans ce premier