Pascal Pensée Les Deux Infinis

dans ce passé des données temporelles : Le passé a un caractère positif : tout ce qui est de l'ordre des sentiments, vocabulaire de l'action et de l'énergie (époque, « lutte », « ardeur » où il y a une vitalité, un dynamisme, même si l'écrivain pense que c'est révolu : il y a une satisfaction d'en parler). Le présent : connotation négative, pas de compensation, on ne peut que constater, champ lexical de la perte, image d'échec, de défaite. [u] : douleur acuité, aigu, continuelle. → à la vie

 Cette conscience lui permet de s'interroger sur lui et sur le monde.  Dès lors il est capable de réfléchir sur lui et sur son identité en se prenant  lui­même objet de pensée.  Il est conscient des différences entre hommes et  animaux et à la capacité de penser. D'après Descartes c'est le fait de savoir qu'on  pense qui prouve l'existence de l'homme,« je pense donc je suis ».L'homme  existe en tant que « substance pensante » et peut alors dire « je suis quelqu'un  parmi d'autre »,«je suis un être » .  La conna

alors il n’aime personne. L’amour qui porte sur autrui tend à porter sur le premier venu.L’autre est un être opaque que l’on ne peut cerner : impossible de viser autrui en tant qu’objet de nos sentiments. LEVINAS, Totalité et infini  l’autre est ce que l’on ne peut pas circonscrire. En cela, le visage concrétise notre impuissance face à l’autre : il est « l’autre en tant qu’il excède l’idée de l’autre en moi ». Or il paraît impossible d’aimer ce que l’on ne peut

nécessaire entre des propositions. 1/ À partir de quoi peut-on démontrer ? Argument de la régression à l'infini : il faut un point de départ à une démonstration. 2/ Démontrer, c'est donc expliciter le lien logique qui relie entre elles deux propositions. Deux propositions s'impliquent mutuellement si elles sont toujours solidairement vraies ou fausses. III : … et cette démonstration repose nécessairement sur de l’indémontrable A/ On ne peut démontrer qu'en partant d'hypothèses elles-mêmes

personnages les plus considérables de la chrétienté, saint JÉRÔME (347-420). Dans l'iconographie médiévale, il est habituellement présenté comme un maigre vieillard vêtu d'un manteau rouge et accompagné d'un lion. GHIRLANDAIO a plutôt choisi de retenir deux accessoires : les lunettes et le Livre pour rappeler que JÉRÔME fut un grand lettré, l'un des derniers formés aux trois cultures : latine, grecque et hébraïque, avant la dissociation de l'Occident et de l'Orient. Il est resté dans l'histoire comme

haine, plaisir, douleur. Je ne peux me saisir moi-même sans une perception. Nous sommes un faisceau de perceptions différentes qui se succèdent; pensées, sens, facultés changent constamment : " L'esprit est une sorte de théâtre, où des perceptions diverses font successivement leur entrée, passent, repassent, s'esquivent et se mêlent en une variété infinie de positions et de situations " (op.cit., p 344). Il n'y a pas dans notre esprit d'identité. II – En quoi le moi est-il une fiction? La croyance

selon son bon vouloir jusqu’à la détruire ou l’aliéner. C’est avoir des droits sur elle. Ce qu’on entend dans le langage courant par maîtrise de soi-même évoque plutôt l’équilibre et la modération, la fuite des excès. Ce qu’il y a de commun dans les deux sens c’est qu’on ne maîtrise bien que ce que l’on connaît et il faut donc supposer pour se maîtriser, quelque soit le but, une connaissance de l’objet, et donc ici, une connaissance de soi. On aurait cependant tort de penser qu’être un maître, c’est

conscience lui permet de s'interroger sur lui et sur le monde. Dès lors il est capable de réfléchir sur lui et sur son identité en se prenant lui-même objet de pensée. Il est conscient des différences entre hommes et animaux et à la capacité de penser. D'après Descartes c'est le fait de savoir qu'on pense qui prouve l'existence de l'homme,« je pense donc je suis ».L'homme existe en tant que « substance pensante » et peut alors dire « je suis quelqu'un parmi d'autre »,«je suis un être » . La connaissance

 Cette conscience lui permet de s'interroger sur lui et sur le monde.  Dès lors il est capable de réfléchir sur lui et sur son identité en se prenant  lui­même objet de pensée.  Il est conscient des différences entre hommes et  animaux et à la capacité de penser. D'après Descartes c'est le fait de savoir qu'on  pense qui prouve l'existence de l'homme,« je pense donc je suis ».L'homme  existe en tant que « substance pensante » et peut alors dire « je suis quelqu'un  parmi d'autre »,«je suis un être » .  La conna

religion, ils n’eurent jamais de rapports charnels. Ils ont vécu séparés de corps, se voyant très peu. Il ne reste que des traces de leurs lettres amoureuses. Amour exclusif. 3) Enfin l’amour au sens philosophique : c’est pour des idées, pour des pensées, pour des concepts, pour des raisonnements que les philosophes éprouvent de l’amour. II- De quelle sagesse ? Que veut dire le mot sage ? un « ancien » une personne érudite, instruite, cale, qui ne prend pas de risques une personne qui conseille/