Pascal Pensées 101

l'entrepreneur. C'est le professeur Pascal Salin de l'Université de Paris-Dauphine, qui est notamment actuellement le Président de la Société du Mont Pèlerin, qui regroupe les principaux intellectuels libéraux, qui a accepté de participer et d'animer cette demi-journée. L'entrepreneur est au coeur de la vie économique, comme l'a si bien montré Israël Kirzner, et donc l'éthique de l'entrepreneur est tout naturellement au coeur de l'éthique économique. Aux côtés de Pascal Salin, nous retrouverons avec plaisir

survie de l’humain dans l’homme. La psychanalyse est une science humaine, science de la réalité psychique et du sens. On entend par réalité psychique – opposée à réalité matérielle – ce qui concerne le désir, l’affect, le fantasme, l’imaginaire, la pensée. Son objet d’étude est le fonctionnement psychique, principalement mais non exclusivement, dans ses aspects les moins conscients. Elle s’intéresse aux effets de l’inconscient dans la vie quotidienne comme dans les maladies mentales, dans les symptômes

voués à l'impuissance et à la désolation. « Pour moi ce que je m'efforce d'explorer, c'est toute cette zone de l'être qui a toujours été négligé par les artistes, comme quelque chose d'inutilisable et par définition d'incompatible avec l'art. Je pense qu'aujourd'hui, toute personne qui prête la plus légère attention à sa propre expérience se rend compte que c'est l'expérience de quelqu'un qui ne sait pas, de quelqu'un qui ne peut pas. » Beckett C'est une démarche volontariste du créateur, l'idée

ici une réflexion générale sur la nature humaine ; par son style sentencieux (voyez la pointe rhétorique avec laquelle il trousse sa tirade : l. 92-93) et le regard pessimiste qu’il porte sur l’homme, il prend la pose d’un La Rochefoucauld ou d’un Pascal. Scène 2. Les amours de Cléante et de Mariane On soulignera la coïncidence surprenante qui ouvre la scène (l. 105-111) : Cléante fait à sa sœur le type de confidence qu’elle était chargée par Valère de lui faire. L’intérêt du procédé est triple

| |Maurice Ronai |EHESS |Chef de travaux | |Pascal Jacques Gustave |Intelco-Cogepag | | |Patrick Bord |EGIS

Concile de Trente de l’Eglise romaine (1545-1553) qui réaffirme les principes catholiques Lutte contre le protestantisme. La France n’adopte pas les canons du concile de Trente. Les réformes sont misent en place sous Louis XIV. Spiritualité vive (Pascal) Humanisme dévot, importance des congrégations Education : jésuite (collège de Clermont) Pieux laïques : congrégation du saint sacrement 1643 : protestantisme toléré (1598 : édit de Nantes) 600 000 protestants ceintures le Massif Central par le sud

d’une élaboration du comment gouverner ou des stratégies techniques et légales pour lutter contre la pauvreté. La théorie standard de la « bonne » gouvernance introduit dans le débat politique les non –dits du juridisme classique et les apories de la pensée économique néo - libérale « La notion de gouvernance est souvent associée à une vision étroitement juridique du légalisme et de la démocratie. Dans le cadre de l’entreprise, conçue comme une société politique en réduction, la « bonne » gouvernance

chocolat noir. Depuis 20 ans, chaque matin, JeanPaul Hevin a une nouvelle idée. Et, à chaque fois, c’est délicieux. Pensant toujours à demain, il respire l’air du temps et des horizons lointains. Célèbre en France, il est, au Japon, un « Dieu vivant ». PASCAL CAFFET* 40 rue Jacob 75006 Paris 01 40 20 90 47 www.pascal-caffet.com Spécialité : Le Rectangle : ganache pur Madagascar à l’infusion de poivre de Séchan. Ce chocolatier de Troyes rêvait de travailler à Paris. Il a énormément travaillé, et il y est

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ces romans en 1891. Il avoue : J’admire Dostoïevski plus que je ne croyais qu’on pût admirer2. Il retrouve chez lui ses propres pensées, même celles informulées, inavouées : Ai-je été influencé par Dostoïevski ? C’est possible, cela n’est pas certain. Le vrai, c’est que lorsque je l’ai lu, j’ai senti en plus de mon admiration, d’extraordinaires AFFINITÉS entre mes pensées et les siennes3. Il s’agit d’une identification, du phénomène par lequel Gide comprend qu’il n’est pas le seul à penser d’une façon