Pascal Pensées Temps

comme des créatures inhabituelles. II Pascal, Pensées, fr. 230 « Disproportion de l’homme » Blaise Pascal, né le 19 juin 1623 à Clairmont (aujourd'hui Clermont-Ferrand) en Auvergne et mort à 39 ans le 19 août 1662 à Paris, est un mathématicien, physicien, inventeur, philosophe, moraliste et théologien français. Il appartient à l’époque classique, (2nde moitié du XVII siècle) sous le règne de Louis XIV. Les Pensées sont une œuvre posthume de Blaise Pascal, issue de plusieurs papiers retrouvés

dans une société, c’est l’acte par lequel la société enlève aux individus le droit et le pouvoir de se faire justice à eux-mêmes. » (Le Juste, Paris, Esprit, 1995, p.190). Vous commenterez et discuterez cette affirmation à la lumière des œuvres de Pascal, Eschyle et Steinbeck qui figurent au programme. Introduction →Pour amener le sujet, partir d’une référence littéraire ou philosophique, ou d’un concept précis dans le domaine de la justice. [1. Amener, contextualiser le sujet] En 1893, Frederick

sembler peu palpitante. De plus, les sujets traités par la littérature argumentative sont parfois effectivement déprimants. Ils questionnent sur la mort, les passions humaines, la souffrance, la vanité, le comportement des hommes…Par exemple, Pascal dans les Pensées (1670) interroge « d’où vient que ..maintenant ». Les auteurs moralistes veulent mettre en garde les lecteurs contre les forces et les passions. Par ailleurs, pour exprimer leurs thèses, les auteurs utilisent des sujets qui sont issus de

métaphysiques, d’une façon qui est plus évidente des démonstrations métaphysiques. Dans la troisième méditations, Descartes remarque que nous avons tous dans notre esprit l’idée de Dieu. Une idée c’est un mode de penser qui représente quelque chose, mode de pense représentatif. L’idée de Dieu a pour qualité d’être parfaite car elle enveloppe et contient tous ce qui est. L’idée de Dieu pour Descartes représente une substance infinie, éternel, toute connaissance de toute puissance (l’idée de parfait). D’où peut

Sermon Pascal de Maître Eckhart Maître Eckhart, de son vrai nom Johan Eckhart, né en 1260 et mort en 1328, est le fondateur du courant spirituel que l'on appelle la Mystique rhénane. Il est un théologien, philosophe et spirituel dominicain qui a occupé des rôles importants dans la vallée du Rhin: il est par exemple vicaire général auprès du maître de l'ordre de 1313 à 1323. Par ailleurs il a enseigné à Paris à deux périodes, de 1302 à 1303 et de 1311 à 13131. On peut noter que maître Eckhart

 Ce corpus, composé des trois textes « Médée » rédigé par Seneque, de « pensée » de Pascal et de « Voici le temps du monde finit » de Albert Jacquard, est la clef de la question « l'homme, « faible roseau » ou maître de l'Univers ? » car dans un premier temps ces textes nous montre la grandeur et la connaissance de l'homme face à la nature. Mais ces textes nous donne aussi un regard sur la finitude et la petitesse de l'Homme face à ce « tout » immense... Certes, ces trois textes évoque

le fils souffrait de son indignité, souffrait de la reconnaître, souffrait qu’on ne se souciât aucunement (et bien au contraire) de la lui adoucir »10. 10 « Comme tous les écrivains de grande race, il est beaucoup plus à rechercher dans ses pensées négatives, qui trahissent un trouble de l’âme, que dans ses affirmations, où il n’y a rien d’autre à entendre que ce qui est dit »13. « à travers les récits qu’il lui fit de l’épidémie, Luc de Clapiers, futur marquis de Vauvenargues, prit très

LA « PLAISANTE JUSTICE » DES HOMMES La première étape de la réflexion de Pascal consiste à observer la place et le rôle de la justice dans la cité terrestre. Mais nous l'avons dit, cette enquête est interprétée à la lumière de la vérité de la révélation chrétienne. Pascal sait en effet déjà ce qu'il cherche dans l'examen de l'État et de ses lois : une preuve du désordre que produit l'homme abandonné de Dieu. Pour ce faire, il soulève la question de la valeur et de la légitimité des lois. La notion

vérité-cohérence 2 1. Exposition 2 2. Difficulté 2 II. Vérité et vie 3 A. La pensée est un phénomène de la vie 3 1. La vérité comme propriété d’un être vivant 3 2. Dispositions d’un organisme et relations à son milieu 3 B. Projection et perspective 3 1. Toute vérité est perspective (Pascal, Nietzsche) 3 2. Toute ouverture au monde est affectée (Heidegger) 4 3. La vérité se fonde sur l’action et la projection 5 4. Être et temps 5 C. La valeur de la vérité 6 1. Remettre en question la valeur de la vérité

critique. II - La vérité adéquation A - La vérité est conforme au réel  Il est une façon simple de concevoir la vérité : c’est d’en faire le reflet ou la copie, en notre esprit, d’une réalité extérieure : «La vérité c’est la conformité de notre pensée aux choses », disaient les scolastiques. Plus cette copie ou ce reflet seront fidèles, conformes à l’original plus nous serons proches de la vérité.  Lorsque nous disons : un tableau est vert, cette proposition est vraie. Nous savons que c'est