Passif

un cadre en vue de sauver les entreprises en difficulté et protéger les tiers. C’est dans cet esprit qu’en zone OHADA, est établi un acte uniforme relatif aux procédures collectives d’apurement du passif. Aussi, l’intérêt de notre travail est de réviser les procédures collectives d’apurement du passif, de connaître leur application au Gabon, et d’énoncer les causes des difficultés rencontrées par les entreprises. Ainsi, nous pouvons retenir la problématique suivante : comment se déroulent les procédures

Chapitre II : La Gestion Actif – Passif ou Asset Liability Management Dr Babacar Sene FASEG UCAD LOGO Plan 1 – La démarche ALM 2 - La maîtrise du risque de taux 3 - La maîtrise des durées ( gestion des impasses ) 4 - L’évaluation de la banque Dr Babacar Sene FASEG UCAD LOGO Introduction  Dans ce chapitre, l’ALM ( Asset and Liability Management ) ou gestion de l’actif-passif du bilan de la banque est défini comme visant trois objectifs :  La gestion des positions de taux ( maîtrise du risque

Gestion Actif / Passif par une projection stochastique bayésienne Mémoire de fin d’étude Edern Sévellec Promotion 2010 Version Septembre 2010 Gestion Actif / Passif par une projection stochastique bayésienne Résumé Une gestion Actif-Passif repose sur une modélisation efficace du marché, permettant ainsi de projeter les flux de l’Actif et du Passif de façon fiable. La crise financière de 2008 a remis en cause la qualité des modèles de gestion des risques et de manière plus globale, l’ensemble

......................................................................... 29 a. Typologies des risques liés à l’activité bancaire .................................................................................. 29 b. La fonction gestion actif-passif ............................................................................................................ 31 2. REFORME DE BALE II ...............................................................................................................

des techniques de la gestion Actif-Passif (ALM). Ces deux parties seront précédées par un chapitre préliminaire qui présentera certaines notions fondamentales, à savoir : la liquidité, le risque de liquidité et la gestion Actif-Passif (ALM). Mémoire de fin d’études Chapitre préliminaire : notions fondamentales CHAPITRE PRELIMINAIRE NOTIONS FONDAMENTALES Section 1 : la liquidité Section 2 : le risque de liquidité Section 3 : la gestion Actif-Passif Mémoire de fin d’études Chapitre préliminaire

comme l'un des principaux risques bancaire. De ce fait, nous nous proposons, dans ce mémoire d'étudier le risque de crédit qui est à l'origine de crise des subprimes. D'après Joel Bessis (1995) dans son ouvrage « gestion de risque et gestion actif-passif des banques », le risque de crédit est : «  le risque de perte consécutive au défaut d'un emprunteur face à ces obligations ». D'où, le risque de crédit constitue le risque fondamental de toutes activités bancaires. Il est le premier risque auquel

chapitre 9 Gestion actif-passif et généralisation des techniques d'immunisation : LES MODÈLES D'OPTIMISATION La gestion du bilan (de l'actif et du passif) d'une institution contre le risque des taux d'intérêt s'effectue dans un contexte déterministe ou dans un contexte aléatoire. La gestion dans un contexte déterministe suppose que les flux monétaires des engagements sont connus avec certitude et que les flux monétaires des avoirs sont indépendants du niveau général de l'économie. Dans un contexte

complexe des risques de la banque est surtout maîtrisée par ceux qui prennent directement les risques, à savoir les opérationnels (« front office »). De ce point de vue, il n’est pas interdit de penser que le développement des comités de gestion actif-passif a en grande partie répondu au souci des dirigeants de banque de mettre en place, entre eux et les opérationnels, un relais porteur d’informations. Ainsi, le développement du contrôle interne s’explique à la fois par la nécessité pour les banques de

Identification des risques. 2. Les risques à l’actif. a. Le risque de taux. b. Le risque de liquidité. c. Le risque de contrepartie. 3. Les risques au passif. 4. Le risque de rachat. 16 16 16 17 18 18 19 C. L’APPROCHE ALM DE LA GESTION DU RISQUE. 1. Présentation de l’ALM. a. Historique et définition b. Les différents modèles de gestion actif - passif. 2. Le logiciel GAP. 21 21 21 22 25 2 Application de la Value at Risk pour le calcul des fonds propres en assurance-vie. a. Création d’un

dans le non-adossement des actifs et des passifs. Le banquier pratique quotidiennement exactement l’inverse : il finance des actifs de moyen-long terme, les créances, par du passif de très court terme puisqu’il est exigible immédiatement : les dépôts à vue de la clientèle. D'une façon plus générale, la banque génère un bénéfice en travaillant sur le différentiel de taux entre les éléments d'actif (créances, instruments financiers) et les éléments de passif (dépôts, emprunts) Le trésorier de la banque