Pater patriae

Arvale, augure, fécial etc. qui de fait concentraient tous les pouvoirs entre ses mains. Sa titulature nous en rappelle l'essentiel : IMPERATOR CÆSAR DIVI FILIVS AVGVSTVS, PONTIFEX MAXIMVS, CONSVL XIII, IMPERATOR XXI, TRIBVNICIÆ POTESTATIS XXXVII, PATER PATRIÆ. Assurément, l'héritier de Jules César nourrissait des prétentions dynastiques : en -43, il épousa Claudia (CLICK et CLICK) (non consommé), Scribonia en -40 (une fille, Julia) et Livia Drusilla en -38 (un enfant mort-né), mais toute l'histoire

propos sont à même de soutenir l'idée d'une politique ambitieuse d'Auguste, qui souhaite par ailleurs donner l'image de prospérité à la Rome impériale, ce à la suite des guerres civiles, en se positionnant comme un bienfaiteur de l'empire, comme Pater Patria. Cette politique, organisée autour de valeurs et d'idéaux va se manifester à travers les nombreuses formes artistiques en usages à cette époque : architecture, sculpture, littérature, arts décoratifs. Nous nous intéresserons ici à deux objets de

Pélagie Valion Note de synthèse Jean-Jacques Rousseau disait : « Le lien conjugal n’est-il pas le plus libre ainsi que le plus sacré des engagements ? ». En effet, dans son ouvrage Julie ou la nouvelle Héloïse publié en 1761, l’auteur insiste sur l’importance du libre consentement des époux au mariage et de l’épanouissement personnel avec l’effacement de toute tutelle parentale, une vision également portée par l’Église catholique. Le mariage

des Romains avant que l'Étrurie ne devienne province romaine. Les Romaines étaient juridiquement assimilées à d'éternelles mineures et soumises toute leur vie durant à l'autorité d'un tuteur, leur père puis leur mari. La patria potesta qui donne droit de vie ou de mort au pater familias sur tous les membres de sa famille fut réduite au IIe siècle av. J.-C. puis supprimée au IIe siècle après J.-C. Les Romaines jouirent d'un statut moins draconien que les Grecques. Elles avaient par exemple libre accès

fille avec un plébéien, le cas échéant. Cet situation n'est abolie qu'après le IIe siècle. Le rite du mariage[modifier] Jusqu'à la fin de la république est instaurée une sorte de "servitude légale" pour les femmes qui passaient de l'autorité du pater à manus. Seul l'époux tient la dot. Nouveau mariage "sine manu" sous couvert de l'autorité du père. Sous Auguste les femmes doivent donner leur consentement. Le divorce[modifier] Pendant la République le mari a le droit de répudier sa femme si elle

l’avis de Jules César, qui a proposé la prison à vie. Catilina est tué peu après avec ses partisans dans une vaine bataille à Pistoia. Dès lors, Cicéron s’efforce de se présenter comme le sauveur de la patrie (il fut d’ailleurs qualifié de Pater patriae, «Père de la patrie», par Caton) et non sans vanité fait en sorte que personne n’oublie cette glorieuse année 63. Vicissitudes dans une République à la dérive Après le coup d’éclat de l’affaire Catilina, la carrière politique de Cicéron se

supérieur de l’empereur défunt. Tibère ponctue cela par un rappelle des titres, honneurs et fonctions attribués à Auguste. Il fait indirectement référence à la titulature impériale de son predecesseur en parlant de père de la patrie « pater patriae » l22. Et en rappelant son titre d’Auguste obtenu en 27 aux l23-24 « vous etes allés jusqu'à le proclamer héros, jusqu'à le delcarer immortel ». A travers cela, Tibère cherche a rappeler les qualités essentielles du princeps que sont la virtus

d’un orateur latin sous la crise de la république calqué sur celui d’Obama : retracer l’histoire de la virtus romaine sous la République et ponctuer le discours de « Nos possumus. » LA MORT DE CICÉRON 1 « Moriar, inquit, in patria (1) saepe servata ». Satis constat servos (2) fortiter fideliterque 2 paratos (3) fuisse ad dimi​candum, ipsum deponi lecticam (4) et quietos pati quod

impose au féminin le monopole de son activité sexuelle afin de s’assurer de la légalité de la paternité de ses enfants. Chez les NA ne se fonde pas ce lieux de famille où les enfants et couple de parents vivent ensembles, la notion de pater familias et de patria potestas est inexistante. Personne n’a donc de droit de vie ou de mort envers la femme NA, ni de puissance viagère contre elle. Le féminin NA est donc un féminin entièrement libre de touts droits, tandis que le masculin est cantonné, à

concentrés entre les mains d’une part du « pater familias » et d’autre part du « pater gentis ». L’organisation interne des communautés villageoises présentes sur le cite romain fonctionnent sur une institution appelée la « gens » : groupe de famille lié les unes aux autres par la croyance mythique en un ancêtre commun. Organisation sociale récurrente dans un grand nombre d’espace, mais à Rome elle s’organise de façon particulière : Au centre : un homme : le « pater familias » :  Exerce le pouvoir