Pathos Et Discours

et personnage principal. Exemple de la première phrase. * Composition littéraire : le « je » narrant, ici, est très présent et majoritairement en ce qui concerne la composition littéraire (illustration) Autrement dit, ce « je » réfléchit sur le discours même. On peut parler de métadiscours. Il a une idée certaine de l’écriture. On l’a dit précédemment, le « je » pense son écriture. Il souhaite ni faire un poème épique, ni une fable, etc. mais plutôt une écriture vraie. - Intertextualité : le

chevalier DG tente de persuader son père d'empêcher la déportation de Manon pour l'Amérique.Problématique: Comment cette confrontation entre père et fils signe-t-elle le début d’une tragédie ?Mouvements: 1 à 16 - tentative de persuasion pleine de pathos 17 à 25 - inflexibilité du père26 à fin - malédictions tragiques 1.enchaînement/énumération de négations lexicales “non,non” + préposition “sans” dans rythme ternaire montre sévérité/autorité du père + refus = infantilise DG - valeurs que DG n’a pas

quatre décembre 1851, l’histoire de la grand-mère et son enfant mort. Nous étudierons ce poème en attachant l’importance à la poésie réaliste qui nous donne la force d’un témoignage et l’effet d’un reportage et à la façon dont Victor Hugo exprimer son pathos poétique omniprésent dans le poème par la simplicité réaliste et le langage plat et neutre , ainsi qu’une fureur et une protestation vengeresses et un mépris sans bornes à travers tout le poème. 1ère partie : Pourquoi disons-nous que c’est un poème

destinataire : le rire, la pitié, l'admiration, l'amusement... On relève des registres sérieux, des registres plaisants et des registres qui jouent sur la notion de réalisme. Le registre pathétique, du grec pathos (la passion), cherche à émouvoir le lecteur ou le spectateur par des situations ou des discours marqués par la souffrance ou l'affliction. Procédés : Le lexique de l'émotion (terreur, douleur, pitié), les rythmes brisés, les interjections... Le registre tragique traduit le sentiment de l'homme

LES DISCOURS REVOLUTIONNAIRES. → Les discours révolutionnaires. Ils sont prononcés de 1789 à 1794. Mirabeau (mort en 1791) donne son discours en mai 1789, devant les Etats Généraux → l'Assemblée Constituante. Barnave prononce son discours en juillet 1791 devant l'Assemblée Constituante. Danton (ennemi, adversaire de Robespierre) prononce son discours en septembre 1792, c'est le début de la Convention. Robespierre prononce son discours en février 1794, c'est la Convention Montagnarde. Ces

gradation qui soulignent l'ironie). Absence de pathos (sorte de fermeté). Dissociation d'Arlequin avec Iphicrate Le mot "voilà" indique une mise en valeur de son intuit° propre auquel il mêle de l'ironie. "Notre histoire" → comme si l'histoire était déjà finie. Renvoie à une mort commune (le flegme du valet s'oppose à l'inquiétude du maître). "Voilà" indique qu'il ne s'étend pas, forme d'insouciance. Début d'un mélange maïtre/valet Poursuite du pathos chez Iphi. (il s'associe à Arl. avec "nous" →

différence de la première rencontre (TEXTE 1), c’est Manon qui prend l’initiative du dialogue (antithèse « mon silence » / « elle me dit »), à travers une tirade argumentative. Il s’agit d’un véritable plaidoyer qui prétend justifier son retour. - Son discours est rapporté au style indirect en une seule phrase complexe déployant une série de subordonnées coordonnées => précipitation de la parole et accumulation des arguments qui visent tous deux à emporter la conviction de des Grieux. - Le complément

sectaire, intolérant et même fanatique parce qu’il semble souhaiter la mort de quiconque ne partage pas sa foi. « Je me sentais une horreur inexprimable pour ce Joad », écrivit-il, après avoir assisté à une représentation de la pièce. Il tint le discours du pontife tout au long de l’œuvre comme mensonger, violent et indigne d’un religieux. Cette condamnation a pour corollaire la défense d’Athalie pour laquelle Voltaire éprouve de la pitié. Racine a d’ailleurs anticipé ces critiques et se justifie

contribue à la création de « pathos » qui va permettre le renforcement de la force polémique. Nous pouvons observer que « Limbé » est un chant de deuil grâce à l'impératif répétitif qui rend le poème plus triste et comme une lamentation: « Rendez-les moi mes poupées noires » est répété quatre fois à travers le poème. De plus, nous pouvons imaginer la répétition de plusieurs mots comme « hier/ sans complexité/ hier » ou « noires/ noires » permet de rendre la poésie comme un discours ou même une sorte de lamentation

expliquent se qu'il attend. Il défini les états de l'homme et s'attarde sur l'enfance. On peut voir une question rhétorique destinée a attirer l'attention du lecteur sur l'enfance dont il va parler. Le registre émotif est présent ici, on fait appel au pathos du lecteur par une suite très rapide de questions (5). Les synonymes de l'enfance sont « age de rire », « âme en paix », « innocence », toute périphrase faisant appel aux sentiments, ce qui est un procédé romantique. L'enfance est donc dépeinte comme