Pathos

campagne de la Fondation de l’Abbé Pierre vous parait-elle traiter « enfin de ce qui est, de ce que nous sommes » ? La campagne montre la réalité de la misère ordinaire dans une approche quasi documentaire (« ce qui est »). Usage minimaliste du pathos. L’effet d’identification (regards frontaux, première personne, jeu sur l’abribus provoquant une proximité de fait) crée une communauté de l’humain qui invite à la solidarité (« ce que nous sommes »).

champ lexical de la nature comme élément participant à la beauté des choses → Manouchian fait éloge de la vie, ce pourquoi il s’est battu. Confiance en la justice qui rétablie la vérité. b) Hommage aux résistants →simplicité d’une mort sans pathos : énumération des termes au vers 1 et 2 →Héroïsme de ces hommes : ils ont donné leur vie pour notre pays →hommage final et insistant avec la métaphore et l’anaphore qui caractérisent les qualités des combattants. Qui sont courageux, épris de liberté

de motards, en arrivant chez ses parents, dans un H.L.M. Ils la renferment dans une cave froide et humide, sordide. Et, ils la violent chacun leur tour. «Si tu parles, on te tue.» Notons que l'accouchement et le viol collectif sont décrits sans pathos, avec justesse et délicatesse. Des scènes qui vous toucheront... et vous émouvront plus, sans doute, que vous ne le croyez. Je pourrais passer en revue tous les autres récits: chacun recèle les mêmes qualités humaines qu'on peut résumer en un seul

intellectualisation croissante. Aussi, c'est une époque d'affirmation du pluralisme des valeurs, où les formes de pensée et de d'opinions nottamment religieux, politiques et de modes de comportement se mettent en place, à cause de la disparition du pathos unitaire de l'éthique chrétienne (c'est à dire un engouement, une passion plus réduite chrétienne), ce qui aura, pour conséquence, une sorte de morcellement du christianisme et un accroissement des philosophies. Cette époque de progrès, appelée

d’éléments) Faible  Moyen  Bon  T. bon  3 Richesse des 3-4 axes mis en évidence Faible  Moyen  Bon  T. bon  Commentaire global Analyse rhétorique Exploitation / valeur 1 Pertinence identification Ethos/Logos/Pathos Faible  Moyen  Bon  T. bon  2 Qualité de l’argumentation (faisceau d’éléments) Faible  Moyen  Bon  T. bon  3 Qualité de l’analyse de la dimension rhétorique Faible  Moyen  Bon  T. bon  Commentaire

conte philosophique, utopie, voyage imaginaire) • Argumenter dans le roman et dans le théâtre La rhétorique : l’art d’argumenter Les trois genres : judiciaire, épidictique (démonstratif), délibératif Les trois qualités de l’orateur : ethos, logos, pathos Structure d’un discours oratoire : exorde, Les registres : Pathétique, tragique Lyrique Polémique Didactique Comique : ironie, humour, satire, parodie etc Epique (moins utilisé dans l’argumentation) Eloge et blâme Histoire littéraire : une séquence

Z-score = 0,79 ( patho = < - 1,65) Rappel total 1 = 16 C >50 ( patho= C5 ) Rappel libre 2 = 11 Z-score = 0,07( patho < -1,65) Rappel total 2 = 16 C >50 ( patho = C5 ) Rappel libre 3 = 14 Z-score = 0,85 ( patho < - 1,65 ) Rappel total 3 = 16 C >50 ( patho = C5 ) Reconnaissance = 16

quelqu’un ou quelque chose Epique : L’hyperbole est souvent utilisé . Tragique : Combat de l’individu contre son destin ou le destin est toujours victorieux . registre soutenue . Comédie : « … » mais l’homme est victorieux . Pathétique : Pathos : souffrance . Destiné a la compation . Réaliste : réel, longue description , champs lexicaux précis, technique phrase longue ponctuée . Ancrage dans le réel date et lieu . Fantastique : C. lexical, peur , nuit … Lyrique : Lyre, poésie

noble. (Centre Nationale de ressource textuelle et lexicales = attaque de la créature =v.1499-1500 chef de guerre dans son char prêt a combattre = apparition du monstre mais fuite des gardes => tout seul = courage = exploit 3) Fin pathétique/ pathos = pitié = pathétique : Hippolyte est trainé par ses chevaux qu’il a nourris et élevés = interruption de Théramène pour exprimer sa douleur v.1545-1546 C- Tragique de la scène 1) Terreur et pitié selon Aristote 2) Malédiction ordonnée par Thésée

comme abri. Ce qu’ils vont lui donner va les rapprocher et briser leur carapace de détresse et de solitude. Le style du roman est vif et enlevé. Les mots précis, les phrases courtes et incisives donnent au roman une tonalité claire dénuée de pathos mais où la sensibilité n’est pas absente. Avec cette écriture concrète, l’auteur navigue avec bonheur parmi ses jeunes personnages dont manifestement elle doit se sentir très proche. C’est un livre que l’on commence et que l’on n’a