Patois

l'isolement des campagnes car celui-ci dure deux ans et que la caserne se trouvent en ville. Tous les hommes doivent accomplir leur service militaire pendant deux ans, et donc vivre en ville, ce qui leur oblige à s'exprimer en français, et plus en patois. Il permet de rompre l'isolement, car en rentrant dans leur campagne ils apportent à leur famille et aux villageois les nouvelles choses qu'ils ont appris, en loccurence la langue francais, mais également l'utilisation des montres, la consomation

s'inspire du jeu des compagnies italiennes, concurrentes, la Commedia dell'arte, à Lyon pour écrire la Jalousie du Barbouillé et le Médecin volant. Il fréquente tous les milieux : les grands seigneurs, les villageois, les marchands, les paysans et leur patois si pittoresque. Il joue devant un public bigarré et est bien obligé d'admettre que se sont ses comédies qui remportent le plus de succès. De fait, il se spécialise dans la farce et oublie, un peu, la tragédie.   Les affaires marchent à merveille

doux yeux. Vlà justement, Charlotte, comme tout ça s'est fait. Dans cet extrait, nous avons à faire à un dialecte patois du XIIème siècle. Ce qui nous montre le statut social de l’individu : paysan. Molière cherche à introduire un côté « paysan » au début de l’acte pour rendre cette scène comique. La scène décrite parle d’un naufrage (rien de réjouissant) mais avec le dialecte patois cela passe pour une plaisanterie. De plus, Pierrot et Lucas jouait avec de la boue. Ce qui prouve que leur niveau

qu'il a également tué un commandeur et qu'il projette de séduire une jeune fiancée. Survient Done Elvire qui lui reproche son départ. Dom Juan la rejette avec mépris. Acte II[modifier] A la campagne près de la mer. Pierrot, un paysan raconte en patois comment il a sauvé Dom Juan et Sganarelle d'un naufrage. Dom Juan réussit à séduire successivement deux paysannes, Mathurine et Charlotte, la fiancée de Pierrot, en leur promettant le mariage. Il roue de coup Pierrot qui tente de s'interposer. ll

son jeune frère Henri avec sa mère à Étretat. Celle-ci, dotée d'une grande culture littéraire, est l'amie de Gustave Flaubert, un célèbre romancier de l'époque, qui jouera un rôle important dans la vie de Maupassant. L'enfance de Guy est baignée de patois normand, de paysages campagnards, des odeurs salées du port, souvenirs qui se retrouveront dans ses différents écrits. Il est placé en pension au collège catholique d'Yvetot à l'âge de 12 ans, d'où il sera renvoyé. Cette période sera à l'origine

clairement. Une cour particulière Certaines désignation renvoi au XVII ème siècle « Prévost » Les mots « messieurs les coutissés, « monarque » roi, reine, et prince sont tjrs utilisé mais s’applique à la cour du XIV. L’allusion au « province » et au « patois des courtisans » fait référence au fait que Louis 14 cherché à concilier les seigneurs des provinces pour éviter tte nouvelle fronde des nobles. Enfin les vocations de la royauté de droit divin est également présente à travers le comportement despotique

précieuse proie, aucun n'en voulant sans doute sacrifier la moitié pour son frère. Le premier, exaspéré, empoigna le second par les cheveux; celui-ci lui saisit l'oreille avec les dents, et en cracha un petit morceau sanglant avec un superbe juron patois. Le légitime propriétaire du gâteau essaya d'enfoncer ses petites griffes dans les yeux de l'usurpateur; à son tour celui-ci appliqua toutes ses forces à étrangler son adversaire d'une main, pendant que de l'autre il tâchait de glisser dans sa poche

détournant momentanément de leur condition en les faisant rire, pleurer ou en les émerveillant. Molière avec Dom Juan utilise avec adresse le comique de langage et rend ainsi les personnages ridicules. Le spectateur rit face à la parodie du patois paysan mais aussi face au côté comique de Sganarelle invitant sans cesse à la dérision et à la détente en étant représenté comme superstitieux croyant connaître un spectre et tenant des répliques décalées. Les metteurs en scènes accentuent les défauts

le suggère le vers 11 : « chacun s'y trouva ». Les lamentations elles-mêmes sont sans surprise et suivent le protocole de la hiérarchie sociale. D'abord, « Le Prince aux cris s'abandonna » (v.12), puis « On entendit à son exemple / Rugir en leurs patois Messieurs les Courtisans » (vers 15 et 16). On remarque dans ces vers la présence du registre pathétique installé par le champ lexical de la souffrance : « consolation »(v.4), « affliction » (v.5) – on note que ces noms sont mis en valeur par les

Cette explication permet de comprendre combien la séduction de Dom Juan apporte d'horizons nouveaux à son existence, au moment où elle se croit désespérément vouée à une vie sentimentale médiocre. Charlotte et Mathurine parlent toutes deux dans leur patois, et cette idée est nouvelle, car aucune autre version de Don Juan qui fait intervenir des femmes du petit peuple ou non nobles, ne les a présentées avec le langage de leur province. Ce détail est d'autant plus intéressant qu'il est exactement à l'opposé