Patois

biographique rejoint et dépasse l’intrigue policière. B- Un roman polyphonique : de la réécriture à la variété des registres. Cette question est présente, dans le passage de l’oral à l’écrit, lors du récit de Gaston, à l’origine prononcé en patois picard. Il ne s’agit pas de « réécriture » au sens strict, mais de passage de l’oral à l’écrit, d’une parole à une autre( « L’exact de ses mots, ses barbarismes, j’ai presque oublié. J’ai réécrit. […] » (p.26)). Le texte pose donc le problème de la

- Incarnation du monde paysan : Ligne 89 : Elle dit elle même qu’elle est une pauvre paysanne. Ligne 56, 61 et 62 : elle a les mains sales à cause du travail de la terre et n’a pas eu le temps de se laver. Ligne 66, 83-84 et 132 : langage patois (Piarrot, toujou, enjoleux, je soyons marié) en contraste avec le langage de Dom Juan. Produit un effet comique Elle doit se marier avec un paysan, fils de sa voisine. Elle a une éducation religieuse et est très pieuse ce qui représente la majorité

délation, qui ce transforme en diffamation en aggravant les chose avec l'insistance du terme « et soutint » de « qu'il l'avait vu rire » marque d'humour employer par la fontaine avec la métaphore du monde des courtisans avec: «  Rugir en leurs patois », «  la cour un pays » Critique de la monarchie une cérémonie pré régler marquant le manque de liberté du régime monarchique avec le lexique de la préparation: « Un tel jour, en tel lieu », « régler », « placer la compagnie », « Jugez

d'enfer, non pas que ce soit agréable d'être à sa place par contre. Un autre point positif de cette bande dessinée c'est qu'on entre dans l'intimité des soldats. On voit leur détresse, autant psychologique que physique, on vient à apprendre leur patois, parfois teinté d'une certaine note d'humour, malgré qu'il n'y ait pas grand chose de drôle dans ce qu'il vivent et on voit aussi que ce ne sont pas des brutes sans sentiments tirant sur tout ce qui bouge comme ils sont souvent caricaturés, mais bien

Étretat - que Laure sur les conseils de son frère, Alfred Le Poittevin, a acquise avant son mariage4 - où, entre mer et campagne, il grandit dans l’amour de la nature et des sports en plein air ; il va pêcher avec les pêcheurs de la côte et parle patois avec les paysans. Il est profondément attaché à sa mère. À treize ans, il est pensionnaire de l'Institution ecclésiastique d'Yvetot, selon le souhait de sa mère. C’est en ces lieux qu’il commence à versifier. De sa première éducation catholique

qu'il projette de séduire une jeune fiancée. Survient Done Elvire qui lui reproche son départ. Dom Juan la rejette avec mépris. ------------------------------------------------- Acte II À la campagne près de la mer. Pierrot, un paysan raconte en patois comment il a sauvé Dom Juan et Sganarelle d'un naufrage. Dom Juan réussit à séduire successivement deux paysannes, Mathurine et Charlotte, la fiancée de Pierrot, en leur promettant le mariage. Il roue de coup Pierrot qui tente de s'interposer. ll

et vient par les didascalies, on l'imagine virevoltant de femme en femme → On imagine les deux femmes immobiles avec Don Juan effectuant des aller retour entre elles C/ Comique de mots → Le langage populaire « le v’la » ; « Quement donc » : patois d’Ile de France. → Répétition : Sganarelle sur son maître ; Don Juan avec les deux femmes ; les deux femmes à Don Juan. → Insultes : « que monsieur vous montre votre bec jaune » ; « que monsieur vous rende un peu camuse ». III°) Le contraste socialA/

jusqu'à ce que le récit de Gaston n’intervienne. L’énigme du titre s’y ajoute, ensuite, auquel la résonnance avec le poème d’Apollinaire donne son sens à la lecture du souvenir, de la mémoire de l’auteur. Le récit de Gaston, à l’origine prononcé en patois, est une réécriture de l’oral à l’écrit, d’une parole à une autre: «L’exact de ses barbarismes, j’ai presque oublié. J’ai réécrit […]» (p.32) Un problème de mémoire se pose donc. Le narrateur peut très bien être piégé par son imagination et ne pas

verbal (ou comique de mots) : il s’agit d’une utilisation particulière du langage ; le jeu des comédiens accentuera ce comique par le ton, le rythme, les effets vocaux, etc. («mise en musique» du texte parlé). En voici quelques exemples : - les patois, les accents, les incorrections - les répétitions, les symétries, les accumulations, les hésitations - les jeux de mots, les expressions imagées à double-sens (et les confusions qui peuvent s’en suivre lorsque tel jeu de mots ou telle image

outils, monnaie, instruments de musique, manuscrits, armes…) –patrimoine culturel immobilier (ex monuments, sites archéologiques…) -patrimoine culturel subaquatique (navires, ruines, citées engloutis…) -patrimoine immatériel (tradition oral : patois, basques…) (art du spectacle : rituels, savoir-faire ….) -patrimoine naturel : sites naturels qui ont des aspects culturels comme les paysages, les formations physiques et géologiques, biologiques (calcicole œuvres conjugués de l’homme et de la nature)