Patois

occupaient tout le pays » le reste du récit est consacré à l'histoire de ce héros anonyme qui a payé son patriotisme par la mort. En faisant parler le vieil homme au discours direct Maupassant restitue le parler authentique de cet homme simple : c'est la patois normand qui abrège les mots ou qui les déformes « c'est mé » dit-il au soldat qui l'interroge. Par ailleurs Le Père Millon décrit avec précision et sans aucune retenue la manière dont il a exécuté les soldats avec ruse et détermination en leur coupant

touché des individus de façon terre à terre, sans filtre ou artifice. Le feu d’Henri Barbusse nous plonge dans la vie des soldats de la Première guerre mondiale, nous sommes réellement inclus dans ce milieu, nous entendons et essayons de comprendre le patois qu’usent ces hommes. L’auteur retranscrit aussi toute la violence du conflit : “une atmosphère écœurante rôde avec le vent autour de ces morts et de l’amoncellement de dépouilles qui les avoisine : toiles de tentes ou vêtements en espèce d’étoffe

Les Méropes (1), ayant le décorum pour loi, Et montant à Versaille (2) aux carrosses du roi ; 5 Les autres, tas de gueux, drôles patibulaires (3), Habitant les patois ; quelques-uns aux galères Dans l’argot ; dévoués à tous les genres bas, Déchirés en haillons dans les halles ; sans bas, Sans perruque ; créés pour la prose

> Le lion s'abandonne aux cris de la douleur devant tout le monde: c'est un acteur > satire
"Et tout son antre en résonna" (v.13) > retour au monde animalier car la satire allait trop loin
"Rugir en leur patois messieurs les courtisans" (v.16) > vers très ironique le "patois" montre le manque d'éducation et fait référence aux hommes alors que "rugir" est le propre des animaux. 


II) Intervention du narrateur 7 vers qui coupent complètement le récit. La Fontaine a besoin de s'expliquer

Cap-Vert (kriolu, kriol) ▪ fá d’Ambô ▪ papiamento (classification non consensuelle) Le Créole Réunionnais - Une adaptation orale régionale de la langue française Le besoin d'adaptation locale du français, l'utilisation fréquente de patois régionaux et leur diffusion orale, s'ajoutant à l'isolement causé par l'insularité et  l'éloignement de la métropole, expliquent à la fois la distance prise avec la langue française, telle qu'elle à évolué en métropole depuis le XVIIe siècle, et la variété

procure de l'amusement et du plaisir. L'œuvre Dom Juan, qui d'après sa fin malheureuse (mort de Dom Juan), nous laisse à croire que c'est une tragédie, a tout de même beaucoup de caractéristiques de la comédie. Il y a tout d'abord le dialogue en langage patois entre Pierrot et Charlotte, puis la course poursuite entre Pierrot et Dom Juan autour de Charlotte, et enfin les déguisements de Sganarelle et Dom Juan. De plus, on peut retenir que la comédie permet d'aborder toutes sortes de sujet sans pour autant

d’auteur, trop de mots tout court…. !! De fait, Victor Hugo dans L’Homme qui rit semble avoir voulu tout dire : l’auteur a recours à une richesse lexicale aussi foisonnante et proliférante que celle de Rabelais (termes de marine, de botanique, de patois normand ou biscaïen, déclinaison de toutes les variétés de marbre, liste de tous les instruments de musique de la création qui obligent le lecteur curieux à une lecture discontinue : les notes en bas de page ou le recours à un dictionnaire introduisent

l’acte I, scène 4 ou à l’acte III, scène 4, avec des mimiques suggérées par les apartés, ou le rire forcé. On retrouve les personnages comiques chers à Molière : le valet, ici doublé du paysan. Ces rôles lui permettent de jouer sur les accents, le patois, les fautes de langue, tels « les biaux messieurs » que parle Georgette. Mais la pièce comporte les principales caractéristiques du comique de mots, à commencer par  le « bon mot » d’Agnès (acte I, scène 4), par Arnolphe : « si les enfants qu’on fait

Dunkerque mais aussi quelques villes au tour de Dunkerque, comme par exemple Saint-Pol-sur-Mer, Grande-Synthe, Coudekerque et Bergues. Et puis encore une langue, le picard, avec ses variantes locales : le Ch’ti, le rouchi et tout simplement le patois. C’est avec cette langue que les habitants du Nord-Pas-de-Calais sont parfois appelés les Ch’tis. 8. Les beffrois. Les beffrois sont en quelques sortes un symbole de la région. Un beffroi est une tour qui est souvent au-dessus d’une

strutture fra cui una mansio ed un tempio per i pellegrini. L'ospizio, abbandonato dopo l'ultima guerra mondiale, è stato recentemente ristrutturato e aperto al pubblico. La strada è aperta abitualmente da fine maggio a fine ottobre. Cultura: Il Patois: c’è un dialetto proprio al Val d’Aosta, sembra molto al francese in realtà. E una vera lingua e qualche autore hanno scelto di scrivere in dialetto, per esempio Jean-Baptiste Cerlogne. Quindi leggo un passaggio di poema: La lenga de ma mére Quan