Patriarcat œcuménique de Constantinople

contenant les principaux articles de Foi d'une Eglise. Dans les premiers siècles, la Foi de l'Eglise a été formulée dans les symboles apostoliques de Nicée, d'Athanase, généralement désignés sous le nom de symboles oecuméniques. Lorsque la Réforme eut scindé l'Église et qu'il se forma des Eglises séparées de Rome, celles-ci se virent dans la nécessité de faire connaître et de justifier leurs doctrines par des confessions de foi officielles

d'higoumène. Ses rapides progrès dans les études faisaient l'admiration de ses proches et, à peine parvenu à l'âge adolescent, il fut remarqué par un haut fonctionnaire impérial en mission dans la ville, qui le prit en affection et l'emmena avec lui à Constantinople. Accueilli dans la maison du stratège Zéphinézer , il poursuivit ses études sous la direction d'un maître remarquable, Athanase, et fut même bientôt promu professeur adjoint, malgré son jeune âge. Son application aux Lettres ne lui faisait cependant

persécutions et reconnaissance officielle du christianisme par l’édit de Milan de 313 (liberté de culte), baptême de l’empereur sur son lit de mort (=> 1e empereur chrétien) => Dieu chrétien placé au-dessus de l'Empereur 324 : Fondation de Constantinople (sur le site de la ville antique de Byzance)  Transfert du coeur de l’Empire sur un autre site = dicté par nécessités du moment => rapprocher pouvoir central de ses frontières menacées (sur Danube et Perses à l’est).  Remplace les capitales

Rome depuis 1054, mais restées fidèles à la doctrine définie par le concile de Chalcédoine (451). Rassemblées sous la primauté d'honneur du patriarche œcuménique de Constantinople, les Églises orthodoxes (env. 180 millions de fidèles) comprennent notamment les trois anciens patriarcats d'Alexandrie, d'Antioche et de Jérusalem, les patriarcats plus récents de Géorgie, de Bulgarie, de Serbie, de Russie et de Roumanie, ainsi que les Églises autocéphales de Chypre, de Grèce, de Pologne, d'Albanie,

l’établissement | |VIIIe siècle: la crise iconoclaste. La querelle autour de la vénération des icônes divise l’Eglise |d’Israël en Egypte | |byzantine. Rome, attachée au culte des images, rompt sa dépendance juridique à l’égard de Constantinople et |Josué: l’entrée en Canaan | |fait alliance avec la monarchie franque, seule capable de la défendre contre les invasions des Lombards. |Judas Maccabée: Israël sous| |IXe siècle: l’âge carolingien. Grâce à l’action de Charlemagne, l’étude

en Occident le 30 mai, et la mémoire de Ste Emmélie a récemment été placée en ce jour par le Patriarcat Œcuménique. rapidement dans la connaissance des lettres profanes, qu’il avait soin d’associer à l’avancement dans la vertu. Après la mort de celui-ci, il poursuivit ses études, en quête des meilleurs maîtres, dans les plus grands centres de la culture d’alors : Césarée de Palestine, Constantinople et finalement Athènes, l’antique capitale de la science et de l’éloquence, où sa réputation l’avait

est la capitale de l’émigration russe entre 21 et 24. A partir de 24, la crise se fait sentir, l’inflation est très forte et le nombre de réfugiés passe de 200 000 à 30 000 en 1925. La situation est identique dans les premiers points d’accueil : Constantinople, la Finlande ou encore la Bulgarie. La Yougoslavie accueille les émigrés les bras ouverts, mais cela reste un pays encore pauvre et la situation matérielle et sanitaire des russes y est dramatique. Côté est, le Japon accueille de nombreux russes

désigne l'ensemble des œuvres des Pères de l'Eglise. Ainsi distingue-t-on traditionnellement, d'une part, la patrologie latine et d'autre part la patrologie grecque. * Autorité des Pères Définition de la foi Le credo des apôtres Le credo Constantinople Unité, apportent la transmission de la tradition (revoir Père ) * Lire les pères (bibliographie en patrologie en annexe n°2) * On désigne sous l'expression de Pères apostoliques, des hommes ou des écrits anonymes de la période qui

première importance. En chaque province, l’évêque de la cité principale a prééminence sur ses collègues et quelques Églises d’Orient, plus anciennes et plus importantes, comme celles d'Alexandrie, d'Antioche, de Jérusalem et de Constantinople se constituent en patriarcats et étendent leur autorité à plusieurs provinces. En occident, seule l'Église de Rome tient un rôle semblable[33]. Ce n'est qu'au cours des siècles suivants, jusqu'au VIIe siècle que la primauté de l'évêque de Rome s'imposera

3% de musulmans, 0,4% de catholiques, 0,1% de protestants, 0,08% de juifs, 0,6% de diverses religions. L’Église grecque orthodoxe est autocéphale et a ses propres statuts, mais sa doctrine est indissolublement rattachée à celle du Patriarcat Oecuménique de Constantinople. Le très fameux Mont-Athos, situé au sud-est de la Macédoine, sur la péninsule de Chalcidique, est un territoire auto-administré. Ses nombreux monastères forment depuis un millénaire un centre monastique orthodoxe. Langue : La langue