Patriarcat œcuménique de Constantinople

TRABELSI ATTIKA * COMMENTAIRE DE TEXTE * Sujet : « Sur les évêques, les moines et les clercs » * Texte : Extrait du Concile de 861 (Constantinople) * BIBLIOGRAPHIE * L. BREHIER, Les institutions de l’Empire Byzantin, 1970 * J.C CHEYNET, Byzance, l’Empire romain d’Orient, Armand Colin, 2001 * A. DUCELLIER, Byzance IV-XVe, Hachette, 1998 * G. JEHEL, B. BOJOVIC, V. CONTICELLO, Le monde Byzantin du milieu du VIIIe à 1204, Edition du Temps, Juin 2006 * M.

sérieusement reconsidérée ; - à l'inverse, les Eglises copte orthodoxe, orthodoxe éthiopienne, orthodoxe syriaque et apostolique arménienne ont en commun une approche christologique alexandrine, la réception des trois conciles œcuméniques de Nicée (325), de Constantinople (381) et d’Ephèse (431), ainsi que la non-réception du concile de Chalcédoine (451), ce qui suffit à leurs détracteurs pour les considérer comme hétérodoxes, voire hérétiques, et les qualifier en groupe de « monophysites ». Ces

apparentée aux Isauriens, il prend-alors que tout le prédestinait aux plus hautes fonctions- l’habit monastique et se retire en Cyzique. Ses vertus et sa sagesse surprennent d’autant plus qu’elles sont promptes à se manifester. Il assiste au 7ème concile œcuménique de Nicée II, réuni à l’initiative d’Irène afin que soit rétablie l’iconodoulie. Dès 810, il entreprend la rédaction d’une chronique relatant l’histoire de l’empire de Dioclétien à Michel 1er. L’avènement de Léon V l’Arménien marque la reprise de

l'identité catholique et de la pratique dominicale se sont complètement disjointes. Avec 4,5 %, la France est aujourd'hui le pays catholique où la pratique dominicale est la plus basse. Grand schisme en 1054 En 1054, Le pape Léon IX envoie à Constantinople les légats Humbert de Moyenmoûtier, Frédéric de Lorraine et Pierre d'Amalfi. Humbert et Michel Cérulaire sont tout aussi susceptibles l'un que l'autre. Michel Cérulaire émet des doutes sur la validité du mandat des légats. Humbert soulève le problème

autour du Pape à Constantinople mais celui-ci a perdu l’essentiel de ses églises quand Constantinople est devenue Istanbul. Il n’a plus un rôle aussi important, central, essentiel depuis la chute de Byzance et la montée de la Russie qui supplante le patriarcat historique. L’Eglise orthodoxe est autocéphale, c’est-à-dire qu’elle est à sa propre tête. Ainsi l’Ukraine est séparée en deux entre ceux restés fidèles au patriarcat de Moscou et ceux qui veulent créer le patriarcat ukrainien. L’organisation

plus d'aides de l'Etat, l'Etat finance les grandes basiliques à Rome, Constantinople (ancienne Byzance), en Terre Sainte, Constantin offre le Palais du Latran au Pape Miltiade (ce fut la résidence pontificale jusqu'au Xvème. La doctrine chrétienne commence à influencer le droit romain (effets sur les lois du mariage et de la famille, sur la protection des pauvres et des esclaves) 325 : Constantin convoque le 1er concile oecuménique de Nicée c) Le christianisme, religion d'Etat Cette politique impériale

christianisme orthodoxe, signifiant en grec « la foi droite », descend en droite ligne des premières communautés chrétiennes fondées par les apôtres de Jésus dans les provinces orientales de l’Empire romain. Elle est fidèle à la théologie des sept conciles œcuméniques (cf.définition dans parapgraphe suivant) du 1er millénaire chrétien et au droit canon (ensemble des lois et des règlements adoptés ou acceptés par les autorités catholiques pour le gouvernement de l'Église et de ses fidèles) qui en découle. Elle

réalité locale et multinationale, n'a pas encore trouvé son expression ecclésiale. f) La transformation de l'exarchat russe de Constantinople en archevêché multinational provisoirement intégré, en 1971, dans un vicariat exceptionnel du Trône Œcuménique, le sacre épiscopal d'un Français de souche dans le patriarcat de Moscou, la constitution, surtout pour les relations œcuméniques, d'un Comité interépiscopal orthodoxe, la préparation d'un Concile de toute l'Orthodoxie, autant de possibilités cependant

la Nouvelle Rome, elle fut ensuite connue sous le nom de Constantinople, la ville de Constantin. Etabli en maître dans cette région, contrôlant la route maritime Nord-Sud de la Mer Noire à la Mer Méditerranée, Constantin entend faire de sa capitale une autre Rome. Ainsi sous sa direction, des architectes entreprennent la construction de palais, de théâtres, de villas et surtout de majestueuses églises. Contrairement à Rome, Constantinople est une ville chrétienne. Les successeurs de Constantin

chrétientés va pouvoir être observée. Cela est dû en majeure partie à certains conflits historiques tels que les guerres à répétition contre la Pologne ou encore l’invasion de croisés germano-lithuaniens au 13e siècle au nord de la Russie. Le siège du patriarcat est transféré à Moscou en 1329 et une langue spécifique au culte est créée. Bien que les doctrines des deux chrétientés se ressemblent sensiblement au départ, l’Eglise orthodoxe va petit à petit s’émanciper jusqu’à créer et revendiquer une doctrine