Patriotisme

sculpture sur bois, sur obus. III. Tenir au front 1/. Les liens avec l’arrière : - correspondance avec les familles, - permissions accordées aux poilus à partir de 1915. 2/. La camaraderie : - les soldats sont des frères d’armes : idée de patriotisme et de revanche par rapport à la défaite de 1871 et la perte de l’Alsace-Moselle qui les unit, - expérience commune des conditions de vie insoutenables et de la souffrance collective engendrant la naissance de forts liens de solidarité. 3/.

camarades de classe et lui-même s'engagent volontairement dans l'armée allemande. Après dix semaines d’entraînement, la rencontre du fameux caporal Himmelstoss et la brutalité de la vie au front font découvrir à Paul et à ses amis que leur idéal de patriotisme et de nationalisme se résume à des clichés inadaptés au monde réel. Sous le révélateur de la guerre, le jeune soldat se sent trahi par ses maîtres : « Ils auraient dû être pour nos dix-huit ans des médiateurs et des guides nous conduisant à la

Deuxièmement, le personnage principal fait preuve de lâcheté jusque dans ses relations amoureuses. Afin de ne pas décevoir sa compagne, une infirmière américaine pour l’armée qui a développé une forme de respect pour la France, il tait son peu de patriotisme envers la France. Pour Bardamu, la France évoque plutôt le danger de mort : «Moi, quand on me parlait de la France, je pensais irrésistiblement à mes trippes […] (Céline, 2004, p.52) Ainsi, il ment à Lola sur son point de vue face à la guerre :

Cette division est surtout menée par la différence qui prédomine entre les lignes directrices : elles sont droites pour les hommes, courbées pour les femmes. Si les hommes, droits, aux bras tendus, sont empreints de détermination, de force et de patriotisme, les femmes éplorées par le départ à la guerre de leurs frères, de leurs maris ou de leurs fils semblent ainsi faibles, molles, anéanties. Au-delà de l’utilisation des lignes pour exprimer ces états « passagers », elles représentent aussi les particularités

vivants à la vie normale. Dans ces tranchées où ils ont vécus la faim, la soif, la peur, dans la crasse, la boue, les rats, la maladie , leur humanité y est restée. Ces hommes ont vécu en enfer. Et pourtant, ils ont tenu, ils se sont battus par patriotisme, par désespoir, par survie. Ces millions d'hommes ont donné leurs vies pour leur patrie, pour un meilleur avenir. Ils sont tombés sous les balles pour les futures générations, pour nous. Ce sont des héros. Grâce à eux, nous vivons dans un pays libre

« immigration africaine ». Avec le débat sur l’identité nationale, ce sont les immigrés qui sont mis en accusation, stigmatisés. Le ministère est obsédé par la chasse aux clandestins. Le « bon immigré » doit être « surconforme » : exagérer son patriotisme, insister sur la laïcité, manger du fromage, boire du vin et toujours éprouver de la gratitude envers la « bonne France » qui l’a accueilli… On affiche les « bons » immigrés, qui eux sont parvenus à l’élite, avec des dïners avec l’intelligencia

jours de l’arrivée, ça se compliquait. Pour traverser un couloir, il fallait le vouloir, hein ! Foutu Français. Mais le capitaine m’a offert une chance de me « racheter ». Et c’est ainsi que je sautai sur l’occasion, en invoquant entre autre le patriotisme qui anime ces couillons de Français et le temps passé avec eux lors du glorieux temps où j’étais soldat. Comme quoi, tout ce que je te disais à propos des Français n’était pas faux, hein ! Bref, j’ai finalement débarqué à Bombola-Fort-Gono, puis

un radical, même s’il n’est pas officiellement membre du parti du même nom. Acteur de premier plan dans l’affaire Dreyfus (il a publié dans son journal L’Aurore, le « J’accuse » de Zola en 1898), il est réputé pour sa fermeté de caractère, son patriotisme, son esprit combatif et son redoutable talent oratoire qui en fait « le tombeur de ministères ». Nommé président du Conseil en novembre 1917 par le président de la République Raymond Poincaré, avec lequel il n’a pourtant que peu d’affinités, il

Bohème par nationalité et d'une union douanière avec l'Allemagne. Il s'agissait clairement d'une volonté de créer une unité du peuple allemand, ce qui avait probablement des raisons d'en allerter certains à cette époque. En réaction, une vague de patriotisme s'est diffusée chez les tchèques. Le remplacement du maire allemand de Prague par un « patriote » tchèque en est une bonne illustration. Plus largement, c'est tous les Slaves de la Monarchie qui se sont unis face à ce qui a été ressenti comme

LA POLITIQUE, la PATRIE CHEZ LES ECRIVAINS DU 19E ►Le patriotisme chez Flaubert : Flaubert n'a qu'une hâte en 1870 : c'est de s'engager, il s'engage ainsi comme Lieutenant, et n'a qu'une hâte, d'aller percer un prussien. Ça montre le sentiment patriotique. Pegy : était un dreyfusard : il fait des déclarations très patriotique. L'amour de la terre natale, la notion de sacrifice, c'est à dire mourir pour défendre sa partie, et l'idée démocratique : Que se passe-t-il en 1792 ? La France, entrée