Patrocle

lâches, qui, ayant mangé une pomme d’un des arbres, partageaient une passion irrésistible avec celui qui en avait mangé de l’autre. Cette histoire est prétexte { l’arbre pour raconter l’histoire d’amours particulières. Hercules et Thésée, Achille et Patrocle, Nisus et Eurayle, tous sont présentés comme des amants ayant consommé les fruits de cet arbre ; de même, la Bande Sacrée, compagnie publique de soldats amants15 de la Grèce antique, en est la conséquence. Les arbres parlants content aussi l’obscénité

Bryséis. La colère d’Achille est le thème central = Achille se retire sous sa tante en pleine bataille et les Grecs sont mis en difficulté, ils perdent une bataille et sont en danger de perdre la guerre. Achille consent alors à donner ses armes à Patrocle, lequel est tué par Hector. Achille est alors partagé par sa colère entre Hector et sa haine des Troyens. Achille tue Hector et se fait tué lui-mm. Bernard Shaw prétend que cette œuvre a été écrite par un inconnu du nom d’Homère.   A-  Les exemples

pour des étudiants avancés, en lien avec la civilisation, j'aimerais mentionner le plan détaillé d'un mémoire de maîtrise F.L.E. rédigé par Solène Brunet et figurant "en ligne" sur le site de la maîtrise F.L.E. de Nantes (http://home.worldnet.fr/~patrocle/dossiers/brunet.htm). [edit 02/10/2008 : depuis 2005, ce lien est devenu http://patrocle44.free.fr/dossiers/brunet.htm] Ce mémoire traite de l'autostéréotype et de l'hétérostéréotype dans les "Lettres Persanes", à savoir l'image collective que

roi-guerrier a son compagnon (Achille/Patrocle), sa captive (Agamemnon/Chryséis, Achille/Briséis) qui amènent des complications au sein du camp grec. Ainsi, Chryséis, protégée par Apollon doit être rendue aux troyens (sinon insolation, peste). Agamemnon, furieux, réclame alors Briséis. Achille la donne mais, fâché, se retire sous sa tente… et les Grecs perdent leur guerrier vedette. Celui des Troyens : Hector (fils du vieux roi Priam et mari d’Andromaque) tue Patrocle. Achille reprend le combat et tue

humilié par Agamemnon le chef de l’expédition, refuse désormais de combattre. L’armée grecque essuie alors de nombreux revers, jusqu’à ce que Patrocle, le compagnon le plus cher d’Achille, 1. Achéens : nom donné aux Grecs dans les poèmes homériques. 4 Séquence 6 – FR10 © Cned – Académie en ligne supplie celui-ci de le laisser revenir au combat. Patrocle, revêtu des armes d’Achille, va alors être tué par Hector, le valeureux fils du roi de Troie, Priam. Achille, fou de douleur, repart à la

humilié par Agamemnon le chef de l’expédition, refuse désormais de combattre. L’armée grecque essuie alors de nombreux revers, jusqu’à ce que Patrocle, le compagnon le plus cher d’Achille, 1. Achéens : nom donné aux Grecs dans les poèmes homériques. 4 Séquence 6 – FR10 © Cned – Académie en ligne supplie celui-ci de le laisser revenir au combat. Patrocle, revêtu des armes d’Achille, va alors être tué par Hector, le valeureux fils du roi de Troie, Priam. Achille, fou de douleur, repart à la bataille

sage-femme. Il est toutefois possible que le nom de sa mère (qui signifie « qui fait apparaître la vertu ») et son métier ne soit qu'une invention destinée à souligner les propos de Socrate sur la maïeutiqueNote 5,8. Socrate avait un demi-frère, Patroclès, fils de Chérédème, premier mari de sa mèreNote 6. Les renseignements sur sa vie privée sont peu sûrs, voire contradictoires. La tradition la plus connue, qui vient de Platon et Xénophon, le donne pour marié à Xanthippe, peut-être tardivement, vers

désaltérer, attirée par les cris des nouveau-nés, s’approcha d’eux et leur offrit ses mamelles. »]. p. 182 • OBJECTIF 2 – DÉCOUVRIR LES QUALITÉS DU HÉROS P. 183 – LIRE LE TEXTE Les valeurs du héros 1 Achille est poussé par le désir de venger son ami Patrocle, tué par Hector. 2 Les sentiments d’Achille sont la « rage » et la « violence » [l. 4] ainsi que la « colère » [l. 6]. 3 « À la vue de cette lâcheté » [l. 6] : complément circonstanciel de temps ; « à la poursuite d’Hector » [l. 7] : complément circonstanciel

ni ve rs ita ire s de F ra nc e | T él éc ha rg é le 1 3/ 06 /2 02 3 su r w w w .c ai rn .in fo ( IP : 8 8. 12 7. 17 0. 18 0) © P resses U niversitaires de F rance | T éléchargé le 13/06/2023 sur w w w .cairn.info (IP : 88.127.170.180)et Patrocle, Oreste et Pylade n’ont pas d’équivalents romanes- ques. Ainsi que le suggère Thomas Pavel dans La Pensée du roman3, c’est le couple amoureux qui constitue l’association par excellence des mondes élaborés par les romanciers. La passion amoureuse

notamment le fils de Thétis, qui compta pour si peu le danger en présence du déshonneur. Le voyant impatient de tuer Hector, sa mère, qui était déesse, lui parla à peu près en ces termes, si j’ai bonne mémoire : « Mon enfant, si tu venges la mort de Patrocle et si tu fais périr Hector, tu mourras, toi aussi ; car immédiatement après Hector, dit-elle, c’est la destinée qui t’attend. » Cette prophétie ne l’empêcha pas de mépriser la mort et le danger ; il craignait bien plus de vivre en lâche sans venger