Pays d'états

communistes, alors qu'ils sont arrivés en tête, et ne leur accorde que cinq ministères (même si Maurice Thorez, secrétaire général du PCF, obtient le poste de vice-président du Conseil et ministre d'État). On retrouve dans le gouvernement de De Gaulle des personnalités politiques telles que Vincent Auriol (ministre d'État), Edmond Michelet (ministre des armées) ou André Malraux (ministre de l'information). Six portefeuilles sont attribués à des fidèles du Général qui n'appartiennent à aucun des trois partis

le 22 juin 1940. Le président du Conseil, Paul Reynaud, démissionne le 16 juin. L’opinion publique française, affaiblis par sa défaite contre l’Allemagne, rend responsable la république parlementaire et cherche un homme fort qui pourra redresser le pays. Selon G. Hervé la souveraineté nationale devait s’incarner en « un chef national désigné par la voie du plébiscite, à qui le peuple souverain délègue tous ses pouvoirs ». Le Chef national voulut par le peuple, est le Maréchal Pétain, qui remplace

prépondérant de chacune de ces institutions aux rôles bien spécifiques. De plus cette analyse nous permet une meilleure compréhension de la politique des Etats-Unis mais aussi de la géopolitique dans le monde actuel étant donné la superpuissance de ce pays se posant lui-même comme « gendarme du monde ». La cohabitation de ces deux pouvoirs est donc nécessaire et apparaît comme la simple conséquence de la séparation des pouvoirs. Séparation organisée par les articles de la première et unique Constitution

et effets INTRODUCTION: La constitution, en ses articles 20, 34 et 64, institue la séparation des pouvoirs, principe qui ne souffre d'aucune contestation dans un pays démocratique. Il ne doit y avoir aucune interférence et aucune pression entre l'exécutif, le législatif et le pouvoir judiciaire. Cependant, la raison d'état, la sauvegarde de la paix sociale et le respect de la personne humaine, nécessitent parfois que le pardon et la possibilité de réinsertion des délinquants soient légalisés

l’Assemblée nationale. Le pouvoir judiciaire, quant à lui, est séparé des deux autres, bien que le Président de la République dispose d’un droit de grâce. Il est lui même subdivisé entre un ordre administratif, dont la plus haute juridiction est le Conseil d’État, et un ordre judiciaire, dont la plus haute juridiction est la Cour de Cassation. Organisation générale : La France est un État décentralisé, non fédéral, comprenant 4 niveaux de collectivités territoriales : • l'État (ou niveau national) •

l’Etat ne soit attaché a aucun parti politique et que son rôle soit celui d’un arbitre entre le gouvernement et le parlement. Dans le discours de Gaulle ont voit qu’il est pour que le chef de l’Etat soit perçu comme un arbitre de la politique du pays. De gaulle veut que celui-ci soit le gardien du pouvoir exécutif. Il veut aussi la création d’une deuxième chambre qui soit élu au niveau locale afin que celle-ci puisse contre balancer avec le pouvoir de la première chambre où siège les députés.

très simple le président de la république gouverne et le premier ministre l’aide a mettre en œuvre son projet et assure la responsabilité devant le parlement. » Fillon Dans son pamphlet et dans son œuvre littéraire très célèbre s’intitulant le coup d’état permanent même si François Mitterrand avait souligné avec ironie qu’ « on murmure même qu’ il y a encore un premier ministre. Mais il n’y a plus de gouvernement. Seul le président de la république gouverne et décide » Sous la 5 eme république en cas

pouvoir centralisé; à partir du XI ème siècle, on a une volonté de former un état unitaire. (= un seul pouvoir à un seul endroit) Selon Karl Marx, la centralisation est ''comme un boa constrictor qui entoure et étouffe la société civile. Cet appareil d'état centralisé s'est forgé aux temps de la Monarchie Absolue'' Alexis de Tocqueville, dans son ouvrage de 1856 intitulé ''L'ancien Régime et la Révolution'' précise que ''la centralisation est une oeuvre de l'ancien Régime''. De ce fait, la construction

régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'Etat. Il est le garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités ». En dehors de ses pouvoirs propres, le Président conserve, à l'image d'un Chef d'État de régime parlementaire classique, des pouvoirs dits "partagés". Ces pouvoirs sont partagés avec le Gouvernement. En d'autres termes, le Président doit les utiliser avec l'accord des ministres concernés. Cela suppose en principe une négociation et

traité instituant la cour pénale internationale. Il s’agit d’une cour ayant compétence pour connaître des crimes les plus graves comme les crimes de guerre ou les crimes contre l’humanité commis par les personnes physiques qu’elle soit ou non chef d’État et menaçant par nature la paix, la sécurité et le bien être du monde. Cet article permet dans l’hypothèse où un président français se rendait coupable de l’un de ces crimes que sa responsabilité pénale soit recherché et qu’il soit jugé par une juridiction