Pensée Peur Kant

l'entour s'installer dans son esprit. Prenons l'exemple d'un sujet qui, lisant un texte, pense immédiatement, sans réfléchir : "ce que dit ce texte est vrai". Cet homme s'est laissé emporter par le flux de ses impressions sensibles : il se trompe lui-même, et se dirige par conséquent vers "de mauvais sentiers" (cf. Le Poème de Parménide). Il croit en effet que c'est parce qu'il aime ce texte qu'il est vrai; il a pensé par images, et non rationnellement, c'est-à-dire qu'il n'a nullement cherché en lui-même

Ils désignent, dans le vocabulaire de Kant, l'état de ceux qui, leur vie durant, sont soumis à une direction étrangère, la situation de celui qui est dans « l'incapacité de se servir de son entendement sans la direction d'autrui ».Or cet état peut se rencontrer à tout âge et il ne provient pas de l'incapacité où sont les hommes de juger par eux-mêmes et de comprendre (« entendre »), mais par manque de courage de se servir de cette faculté, sans la direction d'autrui.« Aie le courage de te servir

Capacité à faire un retour sur soi-même pour se juger « La conscience est la manière dont un homme perçoit ce qui se passe dans son propre esprit »  John Locke Descartes : Le cogito, la conscience se découvre elle-même à partir d’un doute radical. « Je pense donc je suis » Sartre : Autrui est le médiateur indispensable entre moi et moi-même. Inconscient : Ensemble des désirs et des souvenirs douloureux de la petite enfance qui a été refoulé et qui nous manipule sans même s’en rendre compte. Moi : Personne

Kant A les idées « a priori » La philosophie de Kant a une perspective morale, ce n’est pas seulement une théorie de la connaissance. La question la plus importante n’est pas : Qu’est-ce qui permet à l’homme de penser, mais Comment vivre ? Parle de la religion en 1787 dans la partie Que peut-on connaître ? de la Critique de la raison pure 1 l’empirisme Les empiristes et Hume donnent une explication simpliste, en réponse à Platon, pour qui le monde des idées et différent

Kant : 1ere et 2eme section Emmanuel Kant (Immanuel en allemand) est un philosophe allemand. Né le 22 avril 1724 à Königsberg, capitale de la Prusse-Orientale, il y est mort le 12 février 1804. Fondements de la métaphysique des mœurs est une œuvre d'Emmanuel Kant parue en 1785. Les Fondements de la métaphysique des mœurs est la recherche et l'établissement du principe suprême de la moralité. • Première section : Dégage le principe moral dans sa pureté. • Deuxième section : Montre le principe

utilisée comme modèle. Ce fut Kant qui apporta une réponse, un autre modèle pour combler cette absence de concept. La morale que Kant suggérait continuait là où celle de Rousseau s’arrêtait : L’être humain, définit comme « l’être anti-nature » par Rousseau (p. 142), devait selon Kant s’éloigner de son côté animal, résister à une nature qu’il jugeait égoïste et centrée sur elle-même pour pouvoir s’ouvrir aux autres et ainsi permettre à la collectivité de s’épanouir. Selon Kant, l’être vertueux était celui

optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale (on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche du bonheur). Nietzsche lui, la critique comme

- Dans quelles mesures peut-on désirer sa propre aliénation ? Texte de Kant, E. De La Boétie, Discours de la servitude volontaire, Lévinas, Liberté et commandement. D'après Kant, l'homme reste mineur car il le désire. Il désir être aliéné seulement par paresse et lâcheté, en effet l'homme estime qu'il "n'est pas nécessaire de penser [...] d'autres se chargeront bien pour moi de cette ennuyeuse besogne." En effet, Kant dit clairement qu'il existe des "tuteurs" qui se chargent de faire ce que les

oRÉVISION PHILO – MOYA Avoir en main les feuilles concernant les thèmes optionnels (voir Moya) Ces questions proviennent des épreuves 1, section B Questions politiques Question 1 2002 * peur d’un dommage grave : ce que l’état autorise et n’autorise pas (philosophie politique) * qu’est-ce que c’est un dommage grave? * Pour Hobbes, la disparition de l’état ou son affaiblissement. Une société saine possède un état fort. * Pour Locke, l’affaiblissement de l’État n’est pas grave

où il paraît nécessaire de définir la différence de ces deux entités que sont le Sujet et le Moi. D’une part, le Moi change dans le temps, ce que démontre Hegel avec cette idée que le moi n’est que l’apanage du passé. A l’inverse, comme nous le dit Kant dans Anthropologie d’un point de vue pragmatique , le sujet s’affirme par rapport au Monde et aux Autres. C’est l’individu Hic et Nunk qui affirme son identité au travers de sa volonté : le « Je en représentation ». Ainsi le