Pensée Sauvage

son incapacité lorsqu’il n’arrive pas à discerner le vrai du faux = il est humble, raisonné, « il sait demeurer indéterminé ». - Lorsqu’il s’aperçoit qu’il est dans l’erreur > change d’avis ou reste dans l’incapacité de définir clairement sa pensée. Ce culte de la vérité apparaît d’ailleurs dans la définition, (L16 et suivantes) qu’il donne.  L’esprit philosophique est donc un esprit d’observation et de justesse. Cette formule clôt la démonstration de Dumarsais, une démonstration rationnelle

détiennent pas le pouvoir. 3) Mise en perspective du travail de Pierre Clastres Ethnocentrisme : tendance à privilégier les normes/valeurs de sa propre société pour la comparer à d’autres sociétés. On prend sa société comme référence. Sortir de la pensée que le modèle de société européen est le bon. Pouvoir rapproché de la domination et de la contrainte. différent chez les indiens d’Amérique du Sud car pas de coercition Etat : société politique limitée par des frontières, reposant sur un groupe

précurseur de la pathologie mentale infantile (enfant dit «arriéré») : il fut le premier à décrire la maladie de Gilles de la Tourette (60 ans avant Tourette). Recueille «l’enfant sauvage de l’Aveyron» qu’il nomme Victor et se consacre à son éducation (de 1801 à 1806). Sa méthode éducative : Contrairement au courant de pensée de cette époque (l’éducation est innée), Jean ITARD dit «L’Homme est ce que l’on lui fait être» ce qui signifie que : · L’Homme sans la civilisation n’est rien ou presque

devenir plus heureux. Le mythe du bon sauvage  Le point de départ de ce mythe, c’est l'existence de récits de voyage qui s’extasient sur le milieu, non dégradé, dans lequel vivent certaines sociétés primitives. De là va se rependre l’idée que l’état de nature est un état d’innocence et de naïveté. Les écrivains se servent de ce mythe pour développer une forme de critique sociale, dans des récits dont la trame est souvent la suivante : un « sauvage » découvre le monde civilisé et les étonnements

l'opposition entre nature et culture. Ce chapitre est très important pour la pensée critique occidentale, il analyse la sauvagerie des habitants du Nouveau monde et la montre plus enviable que la cruauté des civilisés : les barbares ne sont pas ceux qu'on pense. En s'appuyant sur une relation de voyage de Léry (qui a servi aussi pour la récente rédaction de Rouge Brésil, le roman de Ruffin), Montaigne inaugure le mythe du bon sauvage, qu'exploiteront les philosophes des siècles ultérieurs (surtout Diderot

éducation réflexion sur la nature 4 Les thème essentiels des lumières la tolérance et la raison => nature nourricière + tolérance de l'homme et la femme étude des civilisation lointaine (égalité judiciaire) bonheur naturel ( mythe du bon sauvage) conclusion raison savoir => transmet l'encyclopédie valorisation Denis Diderot et l'encyclopédie Denis Diderot, le chahuteur de Langres il refuse la carrière ecclésiastique ( à être prête) Manque d'argent mène une vie de Bohème => presque

est l'expression d'un sujet qui utilise sa faculté de langage en utilisant une langue particulière. I Le langage est le propre de l'homme. Pas d'humanité sans communication linguistique. Muré dans le silence, Victor de l'Aveyron, l'enfant sauvage, ne peut pas développer des facultés proprement humaines. La parole échangée crée un "tissu commun" (Merleau-Ponty). Elle est le lieu de l'intersubjectivité. Grégoire, dans La Métamorphose de Kafka, meurt, non pas de s'être transformé en cloporte

Pour quelles raisons nous communiquons? – besoin physique : cas d'hospitalisme – besoin d'identité : enfant sauvage – besoin sociaux : inclusion, autorité, affection – besoins pratiques Vision linéaire – Shannnon 1949 Emetteur Récepteur Encode Message Décode Vision Transactionnelle Encode Décode Décode Message Encode Emetteur Récepteur envoie et reçoit envoie et reçoit Définition : la communication est un mécanisme continu

▪ « Macaniques victoires ! » ; indignation marquée par le point d’exclamation et d’une phrase nominale. ▪ Chiasme II. Un hômage aux civilisations détruites. a. Une civilisation enfant ➢ Origine (mythe du Bon Sauvage développé par Rousseau au 17ème siècle) ▪ Naïveté et possibilité de grandir ; « un monde enfant » ▪ Image reprise dans le 3ème paragraphe : « ignorance et inexpérience » b. Les qualités indiennes naturelles

l’enfant sont différentes de celles du groupe d’amis, par exemple, auquel il appartiendra par la suite. Etre soi-même, c’est donc bien sûr assumer son originalité. On peut alors penser que le groupe étouffe notre moi le plus authentique. C’est ce que pense Heidegger en analysant ce qu’il appelle « la dictature du On ». L’homme est sous l'emprise du "On" c'est à dire que le fait d'être ensemble crée une situation d'indifférence, d'indistinction où se perd ce que chaque être a d'authentique et de particulier