Pensée Sauvage

explications métaphysiques sont immédiatement rejetées. Le recours à l’idée de Dieu est écarté pour deux raisons: 1) l’existence de Dieu serait incompatible avec l’existence du Mal, 2)Dieu serait impensable et ses attributs contradictoires. L’idéal des “Pensées philosophiques” est le libre épanouissement de l’homme libéré de la crainte de Dieu. Pas de métaphysique alors mais une morale. Pour la fonder, il faut savoir ce qu’est l’homme et s’il est libre. Dans cette perspective l’attitude de Diderot est

dans les sociétés modernes, mythes = thème ou personnage qui exerce un pouvoir irrationnel ou acquiert une dimension symbolique pour une collectivité, participent à notre fond culturel (ex mythe du Bon Sauvage, Che Guevara, Marilyn Monroe,…) ⇒ = tout phénomène qui exerce une fascination sur la pensée collective (éternelles jeunesse, origine du Mal, postmodernisme) ⇒ mythes cristallisent les espoirs et craintes, orientent les désirs et sentiments. Rôle essentiel : organisent les masses autour d’objectifs

toutes les caractéristiques de l’homme originel, conforme à l’idéal de « l’âge d’or » perdu auquel rêvent Platon et Lycurgue selon Montaigne, et sont « comme l’image du paradis avant la faute » selon Las Casas. Ainsi, c’est bien le mythe du bon sauvage qui se trouve exploité à travers ces quatre textes. Ce mythe, issu du siècle des Lumières a donc trouvé certains de ses fondements dès le XVIème siècle et n’a rien perdu de son intérêt puisque Jean-Claude Carrière le réactive encore à notre époque

où l'on se place. En "retard" dans le sens où il rejette les avancées de son temps, prône un retour à un état plus proche de la nature, dénonce une société artificielle par opposition aux indiens d'Amérique, et établit une sorte de mythe du bon sauvage Mais en avance, dans le sens où il est plus portée sur le coeur que sur la raison, sur l'expression de son Moi intérieur, et qu'il fait office de précurseur du mouvement romantique. (cf, les rêveries du promeneur solitaire, ou Les Confessions.)

il se consacre à une nouvelle version des essais qui eux paraitrons un an après sa mort. Les essais. Ce sont le livre d'un grand lecteur et d'une méditation intellectuelle. C'est grâce à ses lectures et ses commentaires qu'il se forme sa propre pensée. Idée principale → l'homme porte en lui la «forme entière de l'humaine condition». Sa démarche repose sur le «connais toi toi même». Des Cannibales. → comparaison entre le monde et le nouveau monde ( indiens , d'Amérique ). Situation

suite connaissance avec les Kerkabon, qui le logent et en quelque sorte, l’adoptent. En effet, l’abbé de Kerkabon découvre qu’il est son oncle. L’Ingénu est un Huron ayant de nombreuses qualités malgré une éducation limitée (en écho au mythe du bon sauvage) et surprend par son charisme, lequel fera succomber Mlle de Saint-Yves. Mais l’amour entre ces deux protagonistes est impossible. En effet, Mlle de Saint-Yves, doit être la marraine de l’Ingénu quand il sera baptisé, ce qui, selon les préceptes catholiques

Kerkabon, prieur de Notre-Dame de la Montagne, y vit avec sa sœur Melle KERKABON, elle a 45 ans. Le 15 / 07 / 1689, ils rencontrent un Huron et décident de l’héberger. Il se nomme L’ INGENU parce que, confie-t-il ” je dis toujours naïvement ce que je pense.” Chapitre 2 : Le Huron, nommé l’Ingénu, reconnu de ses parents Il s’avère que le Huron est le neveu de St Dunstan (son frère était parti avec sa femme au Canada où ils ont péri.) Chapitre 3 : Le Huron, nommé l’Ingénu, converti L’Ingénu apprend

préromantique (il utilise même l’adjectif « romantiques »), développe une image du bonheur, terrestre aussi, mais radicalement opposée à celle de Voltaire : en contraste avec la vie trépidante du « Mondain », c’est la solitude dans une nature « sauvage », faite de « rochers », de « bois » et d’« eau », de « verdure naturelle », de « torrents », de violents contrastes qui ravit le « contemplatif solitaire ». Bonheur sur terre, mais loin de la civilisation, qui donne une idée de « l’éternité »,

Relevés : I.1) -prise de position claire de l’auteur : pronom personnel « je » et présent gnomique. « il n’y a rien de barbare » (l.1) = jugement, aphorisme, réflexion personnelle. -texte construit sur l’opp. prétendu barbare/prétendu civilisé : l.5 « sauvages » (répété) -progression de l’argumentation : Thèse sous forme d’assertion (l .1) construite sur paradoxe pour choquer le lecteur Argument n° 1 : on juge que de par les usages de son pays (l. 3 « parfaite religion, parfaite police.

généralement du lexique des arts et de la pensée. 4. EXEMPLES D’ACTIVITÉS Les activités de la classe de seconde et de la classe de première se poursuivent et se complexifient. Celles qui sont mises en œuvre en classe terminale concourent, en plus, à préparer l’épreuve du baccalauréat. Elles devront permettre de développer toutes les compétences mentionnées dans le programme, d’enrichir les connaissances des élèves et de les aider à construire leur pensée. Si la lecture de textes, d’images fixes ou