Pensée économique

qui, donnant naissance au cours du XVIIIe siècle au calcul des probabilités, influencera fortement les théories économiques modernes et les sciences sociales. Après une expérience mystique qu'il éprouva à la suite d'un accident de carrosse en octobre 1654,[6],[7] il se consacre à la réflexion philosophique et religieuse. Il écrit pendant cette période les Provinciales et les Pensées, ces dernières n’étant publiées qu’après sa mort qui survient deux mois après son 39e anniversaire, alors qu’il

d’échange est quasi anonyme. La monnaie devient une finalité. Rationalisat° et intérêt individuel dans ts les domaines d’activité. Dissolut° des vieilles solidarités par objectivat°, individualisat° et marchandisat° des relat° sociales. SIMMEL ne pense pas q le socialisme permettrait d’éviter cette dépersonnalisat°. La critique de V. ZELIZER : Elle critique la thèse Simmelienne de l’objectivisat° et l’homogénéisat° sociale opérée par la monnaie. Subjectivisat° de la monnaie : les individus attribuent

PREMIERE PARTIE : LA PENSEE ECONOMIQUE SUBORDONNEE I- La question de l’émergence de la conscience économique : l’économie des sociétés primitives : misère ou abondance ? A- Question de méthode : des sociétés préhistoriques aux « sociétés primitives » * Les « sociétés primitives » sont des sociétés sans Etat, sans institution politique distincte et séparée du reste de la société. * Cette institution politique apparaît tardivement (≈ 5000 ans) au Moyen-Orient, Asie du SE, Amérique

l’intolérance du contradictoire. Corrélativement les affairistes, les prodiges de l'exercice du pouvoir par la force et par la violence, les illuminés messianiques sont à leurs apogées. Les émules du “nullius habens “ ont occupé l'espace politique, économique et culturel délaissé par ceux dont la nation, hélas, attendait beaucoup. Convaincus que les intellectuels et les acteurs de la société civile en Afrique, en général et, en Centrafrique notamment, disposent des attributs nécessaires pour apporter

La grande mutation des sociétés 2. La sociologie, héritière et critique de l’utilitarisme 3. La médiation symbolique entre les hommes Intérêt d’étudier les classiques aujourd’hui : -montrer que la pensée des auteurs classiques est toujours vivante. -pensée classique : riche en idées. - pensée classique : permet de penser le monde moderne. -les classiques : indémodables aux œuvres inépuisables. -les œuvres classiques : protéiformes. -Italo Calvino: «on lit les classiques parce qu’on n’a jamais

plus intéressante; celle de Copernic (soleil centre de la terre) ? Ils se posent déjà la question de la relation de l’homme et du monde (invention de la perspective) cette invention viens et a une relation avec le pouvoir économique (LE politique) besoin d’un pouvoir économique pour mettre en place les lois votée pour le politique. L'Europe est a bout de souffle au moyen âge parce que les théories misent en place a l’époque ne marchent plus. les grecs pensaient

autres n’ont pas (comme utiliser son cellulaire au cinéma); 2) il pense que cela correspond à son dû et qu’il est tout à fait dans son droit; 3) ce sentiment l’immunise contre les critiques de ses victimes. Ainsi, le voleur, le tricheur ou le menteur vont eux aussi se moquer des règles de la coopération sociale et en tirer des avantages. Mais ce qui distingue le trou d’cul, c’est qu’il se sent dans son droit. L’asshole pense, au fond, qu’il est spécial. C’est pourquoi la question qui pend

à l’Ecole de Chicago et préférant l’observation participative aux méthodes quantitatives. L’étude présentée ci-après se focalisera sur la notion d’identité développée par ces deux auteurs. L’essence du travail de Pierre Bourdieu repose sur la pensée de l’individu identifié par les capitaux qu’il possède, ainsi que par l’habitus dans lequel il évolue. Ervin Goffman, quant à lui, définit ce concept différemment et fonde l’identité sur l’interaction entre les individus. L’étude du concept d’identité

l’idée que le psychisme travaille et qu’il a une tâche à accomplir. Cette tâche consiste à transformer l’énergie psychique que l’on appelle aussi libido. Ainsi Freud conceptualise les phénomènes psychiques selon un triple point de vue = topique, économique, dynamique. Point de vue TOPIQUE : Freud considère que l’appareil psychique est composé par différents systèmes qui coexistent et assurent chacun une fonction particulière. Freud décrit l’inconscient comme un lieu séparé de la conscience qui constitue

Il est vrai que l’univers de la consommation exerce un fort pouvoir sur chaque individu. Nous ne pouvons guère renoncer à s’intégrer dans cet univers car la politique économique actuelle considère l’argent comme étant le meilleur moyen d’échange. En effet, nous sommes contraints de participer activement à la vie économique de notre état en apportant une main d’œuvre sur le marché, et ce contre rémunération. Le salaire perçu permet ensuite à satisfaire tout d’abord ses besoins vitaux tels que