Pensées Pascal Injustice

Je ne pense jamais au futur. Il vient bien assez tôt. Albert EINSTEIN L'imagination est plus importante que le savoir. Albert EINSTEIN Certaines questions ne sont difficiles que parce qu'on les pose. André FROSSARD Le sage poursuit l'absence de douleur et non le plaisir. ARISTOTE Quand la prudence est partout, le courage n'est nulle part. Cardinal Désiré Joseph MERCIER L'interminable est la spécialité des indécis. Emil Michel CIORAN Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer

La scène 2 est celle où apparaît DJ. Sganarelle vient de lui apprendre qu'il a rencontré Gusman, le valet de Done Elvire, qui est en ville. Don Juan a amené Sganarelle à lui dire ce qu'il pense de sa conduite : « je vous dirai franchement que je n 'approuve point votre méthode et que je trouve fort vilain d'aimer de tous côtés comme vous le faites ». Il a donc donné la parole à son valet, ce qui n'est pas fréquent au théâtre mais cette libéralité apparente n'est là que pour permettre au maître d'écraser

représenter la valeur morale de nos actes. La conscience suppose l’usage du « je » par lequel l’homme se découvre lui-même et agit volontairement sur le monde. L’homme pense et sait qu’il pense. Le « cogito ergo sum » (« je pense donc je suis ») de Descartes est une certitude indubitable. La conscience surgit lorsque l’enfant dit et pense « je » pour la première fois, c’est un changement radical. Ce surgissement le sépare à jamais du monde mais cette rupture va permettre l’émergence de la réflexion.

qu’il devrait être indépendant des 2 autres pouvoirs ; c’est le monde du tribunal et le domaine du juge. La notion peut aussi renvoyer à une norme supérieure censée fonder le droit positif, et au nom de laquelle on peut s’insurger contre les injustices et actes illégitimes (cf. droit naturel). Enfin , la justice peut être une vertu morale individuelle (disposition acquise à agir de manière juste , bonne , raisonnable ) , telle que Platon cherche à la définir dans la République , qui est l’incarnation

sensiblement les mêmes caractéristiques, sauf qu’il est mû par un profond sentiment d’injustice sociale, injustice qu’il tente de redresser. C’est le héros des grands romans historiques : Quasimodo, Jean Valjean. Ces héros correspondent à l’idéal de la seconde vague du romantisme, celle où l’on cherchait, après avoir libéré l’art, à libérer le peuple. Le romantisme est aussi un courant de pensée qui a compris que c'était la fin des héros, d'une certaine manière: fin du héros aristocratique tel qu'il

présente, ce qui n’est pas le cas à l’arrivé des colons qui font subir leur image au Tahitien qu’ils violentent. D’autre part, on retrouve cette idéologie selon laquelle l’humanité n’est pas un état à subir à travers les pensées de Pascal (1623-1662). Pascal aurait organisé ses pensées d’une manière assez particulière (fragment) et parmi ces « bout » de fragment qu’il avait accroché le long d’un fil, pour mettre sur pied des enchainements logiques de ses idées, on retrouve le fragment 186 qui est caractéristique

cette notion est relative à un individu, une société… on pourrait penser que le juste pour les uns, correspondrait à l’injuste pour d’autres. Concevoir la justice dans ces conditions semble quelque peu difficile et il semble d’ailleurs impossible à Pascal de pouvoir « fortifier » cette notion trop abstraite. Dans Les Lettres Persanes, Montesquieu, critique, à travers des personnages fictifs, les mœurs, les institutions de la société

anonyme, imprimés à l'étranger et introduits clandestinement en France. En 1759, Voltaire publie "Candide", une de ses œuvres romanesques les plus célèbres et les plus achevées. S'indignant l'intolérance, les guerres et les injustices qui pèsent sur l'humanité, il y dénonce la pensée providentialiste et la métaphysique oiseuse. Avec ses pamphlets mordants, Voltaire est un brillant polémiste. Il combat inlassablement pour la liberté, la justice et le triomphe de la raison (affaires Calas, Sirven, chevalier

Biographie. 11 B. Première étape de la lecture du texte12 C. Deuxième étape de la lecture du texte12 D. Troisième étape de la lecture du texte12 E. Quatrième étape de la lecture du texte13 Une synthèse à travers des questions 13 3. Réponse de Pascal 13 A. Deux rappels13 B. Première étape de la lecture du texte 13 C. Deuxième étape de la lecture du texte14 D. Une synthèse à recopier dans vos notes14 4. Justice et équité14 A. Présentation14 a) Rappel14 b) Objectif général14 c) Objectif

viennent. Ils deviennent un personnage collectif, une masse anonyme et unie par la solidarité dans le malheur : tous s'entraident sans hésiter, confirmant ainsi une forme d'universalité de la justice, qui existerait indépendamment de la loi. En revanche, Pascal déplore le manque d'universalité de la justice, qui est un signe de son inconséquence et de sa pure relativité. B) L'indépendance vis-à-vis du contrat ou du pacte social La notion de juste, indépendante de la loi, semble aussi exister indépendamment