Pérégrin

de l'Italie. Il accélère le processus d'intégration des provinces à l'Empire. Il intègre le statut de municipe (l'un des statuts possibles pour une cité du monde romain antique, inférieur à celui de colonie (colonia). Il succède à une communauté pérégrine. La caractéristique principale de ces villes était de se diriger elle-même. En règle générale, les municipes peuvent disposer du droit latin ou bien du droit romain, leurs habitants libres jouissent donc de la citoyenneté romaine partielle ou complète)

d'un citoyen Romain, service millitaire, l'idée de la majorité, question d'age) il recoit les droi politiques, et légionaire. AU delà du citoyn Romain on trouve le Latin, il partage la culuture Romaine mais est en dehors du territoire Romain. Le pérégrin, ou méthèque, il s'agit d'un étranger toléré pour ses qualité comerciales par exemples, pas de droit civils et de participation religieuse. Enfin l'escave (20à 30%) de la pop, sans personnalité juridque propre, c'est un chose qui est la propriété

droit privé dériverait d’une vente administrative passée par les censeurs. Enfin selon une troisième et dernière thèse, la vente romaine aurait comme origine des pratiques propres au droit international c'est-à-dire le contrat passé entre romain et pérégrins. L’apparition du consensualisme s’est donc crée dans le fait qu’aucune forme du droit civil romain n’était applicable aux étrangers. En outre d’après ces différentes hypothèses, on peut conclure que la vente dès la période classique est consensuelle

d’évolution notable, ni sur le plan quantitatif ni sur le plan qualitatif. La permanence l’emporte, dans l’ensemble, sur les évolutions. Pour Finley, il n’existe pas de réelle unité méditerranéenne. Cette école primitiviste a récemment reçu l’appui de Peregrine Horden et de Nicolas Purcell (Anglais) qui ont écrit en 1999 The corrupting sea. La mer est corruptrice parce qu’elle est porteuse d’influence étrangère. Horden et Purcell reprennent le modèle de Finley et l’appuie sur des travaux archéologiques

Massalia, une cité grecque, de sa fondation à Jules CésarIntroduction “Les Marseillais, sur l’ordre qui leur en est donné, nous remettent les armes et les machines de guerre, font sortir les vaisseaux du port et des chantiers, livrent l’argent du trésor. Ces choses faites, César laissa subsister la ville, considérant plutôt son nom et son antiquité que sa conduite envers lui”. C’est ainsi que Jules César évoque, dans De bello civili , le siège de Marseille

repérer sur une carte 2. La cité : cadre de vie idéal Cité, Forum, Assemblée, Sénat local, magistrats, statut juridique, Cité romaine, latine, pérégrine Prise d’informations sur le cours 3. Citoyens et non-citoyens B. Vers le chemin de l’intégration Droits, devoirs, naturalisation, promotion à la citoyenneté, duumvir, édile, questeur pérégrin Sélection d’informations sur des textes 1. En Gaule au 1er siècle après J.-C. Tables claudiennes, institution municipale, décurion, monuments

présence d'étrangers : les PEREGRINS. Ce sont des étrangers de l'intérieur, vivant dans le territoire de Rome mais qui n'ont pas la citoyenneté romaine car ce sont des peuples conquis. Ils n'ont donc pas de droits civils. Ainsi, pour des raison commerciales, afin de pouvoir commercer avec ces étrangers, Rome va bouleverser son droit pour l'ouvrir aux étrangers et garantir la sécurité du commerce. Le premier préteur en 367 av JC est citoyen mais le deuxième sera donc Pérégrin et sera institué à partir

adoptera le système du code civil article 62, 63 a l’interdiction du mariage entre nièces. 2. Qu’en est-il de la condition sociale ? Entre les êtres humains -> les inégalités dominent les latins, les pérégrins et les esclaves ne peuvent pas avoir le connubium. La sanction quand on n’a pas le connubium pour des raisons de parenté ou social le mariage est nul. III. l’élément sociologique Conobium : le droit de mariage entre

tard tant qu’ils en ont qu'une seule, la polygamie étant interdite dans l'empire. Cela est expliquer de la ligne 6 à la ligne 8 du document : " le droit de mariage légitime ... qu'une». Ce droit permet aussi de rendre légitime les mariages de pérégrins. En effet, ils pouvaient selon les lois propres à leur région se marier avec un non citoyen romain mais ce mariage n'était pas pris en compte par l'administration romaine. Avec cette loi les mariages seront donc légaux devant la loi romaine. Ces

appelle : les PEREGRINS. Ils sont des étrangers de l'intérieur. Les étrangers de l'extérieur sont les barbares (ceux qui ne parlent pas la même langue). Ils ne sont pas concernés par les droits romains. La cité romaine va être obligée de faire évoluer son droit, et ce en deux étapes : • En 242, Rome va instituer un nouveau préteur, réservé aux Pérégrins. Celui-ci sera appelé le préteur Pérégrin. Ce dernier va créer un nouveau droit, qui va être commun aux citoyens et aux pérégrins, on appelle