Pérégrin

Cela nécessite la création de nouvelles règles moins contraignantes, moins formalistes. Le pater familias n’est plus seul détenteur du pouvoir de décision (les fils veulent partir, se marier à leur guise). Les rapports entre les romains et les pérégrins changes et les rapports entre les romains eux-mêmes changent. L’ancienne procédure n’est plus acceptée et donc plus légitime. Nouvelle procédure (≈-150) Au milieu du IIème siècle avant notre aire la procédure judiciaire romaine est modifiée par

premières lignes du roman : « Voilà l’objet ! » Nous ne savons que peu de choses de sa vie quotidienne : va-t-elle à l’école, a-t-elle des amis ?… On imagine… Queneau est un écrivain du présent, du sien et de celui de ses personnages. On ne peut que pérégriner avec des personnages loufoques, au fil d’une construction romanesque pourtant classique où l’unité de temps, de lieu et d’action fait face à la fantaisie des dialogues et de la confusion identitaire. Nous n’entendons et ne voyons qu’au travers des

l’intérêt de la plèbe. Ce sont donc des rois à titre temporaire. A coté des Consuls, il y a les Préteurs, qui eux dont chargés d’exercer la justice. Il y a à Rome 2 types de Préteurs, celui qui est urbain (conflit entre citoyens romains) et celui qui est pérégrin (conflit entre habitants de Rome qui ne sont pas citoyens romains). > Les Consuls et les Préteurs sont dit Magistrats supérieurs. Il y a aussi d’autre magistrats supérieurs qui sont les Senseurs et ils répartissent les citoyens romains en tribus

distinction. Une distinction entre ceux qui sont libre et ceux qui ne le sont pas, les esclaves. Parmi les hommes libres, il y a les citoyens et les peregrins ( un homme libre qui vit en territoire romain et qui n’est pas citoyen ). L’affranchi est un ancien esclave qui a été libéré et qui peut soit devenir un peregrin s’il a été affranchi par un maître peregrin, soit un citoyen s’il a été affranchi par un maître citoyen. Les citoyens se distinguent par l’exercice de certains droits et devoirs (

contexte d’une cité élitiste qui distingue les nobles et les pérégrins qui ne jouissent pas de la citoyenneté romaine mais qui sont libres. Ils ont leur droit mais ce n’est pas le droit romain. Les romains sont la catégorie privilégiée et eux seuls peuvent s’unir en mariage légitime qui donne naissance a un citoyen romain. Le conubium est un droit d’intermariage qui doit exister chez les 2 époux. Il existe des situations ou un pérégrin est remercié en recevant le conubium. L’intérêt est que sa descendance

juge mais il a la haute main sur l'organisation des procès. Il y a une différence entre les prêteurs urbains et les prêteurs pérégrins (se sont les étrangers). Les prêteurs pérégrins ont pour objet d'organiser et de veiller les procès entre les citoyens romains et les étrangers. Ils vont être assez sensibles aux innovations des droits étrangers. Ces prêteurs pérégrins vont s'inspirer des enquêtes de ces droits étrangers pour en faire du droit romain. Mais il y a aussi du droit interne privée

officielle, et s'est largement diffusée. II. LA RÉALITÉ POLITIQUE : LA CITÉ L'horizon politique du Gaulois est la cité dont il dépend, c'est sa patrie en dehors de Rome. La province ? Une notion lointaine ! Trois catégories de statut 1. La cité pérégrine : concerne les peuples maintenus à l'écart du droit romain ou latin. Soumis à fiscalité impériale et loi provinciale. Ne possède que la citoyenneté locale. Ne peuvent épouser que des personnes de même statut et faire commerce uniquement par intermédiaire

L’administrateur : il est chargé du bon fonctionnement des provinces. Le prête : il est chargé de diffuser la religion romaine. b) Le rôle des cités dans la romanisation Les cités n’ont pas toutes le même statut. Il existe 3 statuts de cités. Les cités pérégrines : les habitants n’ont aucuns droits politiques, civils et ils paient des impôts. Les cités de droits latin : les habitants ont certains droits civils (mariage, porter une affaire en justice…). Ils n’ont pas de droits politiques et ils payent des

H. (1951). "In Memoriam: Marcel Mauss." Année sociologique (3e série): 1-4. Lévy-Bruhl, L. (1922). La Mentalité primitive. Paris, Alcan. Lukes, S. (1988). Émile Durkheim: His Life and Work: A Historical and Critical Study. London, Penguin Books (Peregrine Edition). Lukes, S. M. (1971). "Prolegomena to the Interpretation of Durkheim." European Journal of Sociology: 183-209. 7 Durkheim et le lien social Malinowski, B. (1913). "Review of Durkheim 1912a." Folklore 24: 525-31. Mauss, M. (1925)

nombreux problèmes qui n’avaient pas été prévu par la loi des 12 tables. Pour résoudre ces nouveaux problème on va mettre en place 2 nouveaux magistrat se sont les prêteurs, le 1er le preteur urbain s’occupe des litiges entre citoyens et le preteur pérégrin qui s’occupe des problèmes entre étranger ou etranger et romain. Ces 2 préteurs vont créer avec des juristes une formule c’est-à-dire un programme dans lequel le péteur indique comment trancher les litige lorsqu’il ne sont pas prévus par la loi.