Pérégrin

citoyen romain. Seul ces individus ont des droits civils. L'étranger est qualifié de peregrin. Il n'a pas de personnalité juridique. Il ne peut pas bénéficier de tout les droits civils. Un étranger qui vient librement à Rome et ne pas risquer d'être réduit en esclavage. Pour avoir des droits, il faut qu'il est la protection d'un citoyen romain qui l'accueille (hôte). Cette situation juridique fait aux pérégrins commence à être difficile lors de l'expansion de Rome (développement, conquête, commerce)

Il dit suivre un sénatus-consulte pris à l'initiative d'Hadrien sur le cas d'un enfant né du mariage d'un Latin et d'une citoyenne romaine, qui décida donc que l'enfant était citoyen romain. L'auteur prend ensuite d’autres exemples (latin/pérégrine, pérégrin/latine, servante/homme libre, femme libre/esclave) pour lesquels l’enfant suit la condition de la mère. Il cite enfin l’exemple du «sénatus-consulte de Clause» qui permet l’exception après arrangement dans le cas mère libre/père esclave, et

affranchissement, si le maître de l’esclave est citoyen (+ de 30 ans. Le fils devient citoyen) • Service militaire L’Armée romaine: • L’armée fonctionne comme une machine à diffuser cette citoyenneté et la romanité (monnaie, langue, droit, mœurs) • les pérégrins la reçoivent avant mais surtout après l’entrer dans les légions et dans les unités auxiliaires • implantations systématiques de vétérans (colonies) bénéficiant de cette citoyenneté • L’armée comprend 250 000 et 300 000 hommes, installé aux frontières

milieu du Ier siècle. 5 travail en autonomie par groupes sur dossier documentaire Citoyenneté romaine Honneur / dignité Pérégrin Citoyenneté ouverte Maîtrise du latin Port de la toge Tria nomina Statues et inscriptions Privilèges : Droit d’intermariage (conubium) Exemptions fiscales/tribut Protection juridique accès aux honneurs (cursus honorum) Commercium Les pérégrins, les étrangers libres vivants dans l’empire, doivent se montrer dignes de la citoyenneté : les mérites personnels doivent être

Fiche de lecture : JACQUES FR., Les cités de l’Occident romain. Documents traduits et commentés, Paris, 1990Première partie : Les statues des cités Les cités Pérégrines Communauté vivant sur leur propre droit et donc étrangère au droit romainEn opposition aux municipes et aux colonies avec des institutions proche de RomeMajorité des cités des provinces occidentalesLes cités stipendiaires dont la sujétion se traduit par un tribus (stipendium)Acte unilatéral avec Rome

en dehors de l'Italie) bénéficient seulement du droit latin. Cela donne les mêmes droits que ceux du citoyen, sauf le droit de vote. -Les pérégrins sont des hommes libres de l'Empire, mais ils ne sont pas citoyen. 2: Une diffusion d'abord individuelle de la citoyenneté Pour les autorités romaines, être citoyen était un privilège auquel tous les pérégrins aurait dû aspirer, mais Auguste ne voulait pas brader ce privilège. Il ne l'accordait que s'il elle était justifiée par des mérites personnels

L'empereur a cependant le pouvoir de donner une citoyenneté romaine complète à un étranger et à sa famille (les hommes libres des provinces récemment conquises par Rome ne disposant ni de la citoyenneté romaine, ni du statut juridique des Latins, les pérégrins=étrangers libres). • Les étrangers libres, les esclaves, les femmes… ne sont pas citoyens. .Un étranger peut obtenir la naturalisation sur décision impériale. - Esclaves affranchis (+ ses enfants) peuvent devenir citoyen si leur maître l’était

romaines. On peut être citoyen ou pérégrin (homme libre sans citoyenneté romaine). Certaines personnes peuvent se voir donner à titre exceptionnel la citoyenneté. Ces derniers sont : le soldat qui a servit dans les légions, l’esclave affranchi ayant rendu des services à l’empire et le pérégrin qui a exercé une magistrature. La citoyenneté dépend aussi de la ville ou de la province. Si la ville ou la province est reconnu comme pérégrine tous ses habitants sont des pérégrins. En -89 le droit de cité est

italiennes). Ils ne payent pas d’impôt  Les cités de droit latin : la citoyenneté romaine est incomplète (pas tous les droits) et seuls les magistrats de ces cités sont citoyens romains. Les autres habitants ne sont pas citoyens romains. Les cités pérégrines (étrangères) : elles se trouvent à l’intérieur de l’Empire mais les habitants n’ont pas la citoyenneté romaine. Dans tous les cas, la cité garde son propre gouvernement. Le pouvoir exécutif appartient aux magistrats, le pouvoir législatif est

jouissance de certains droits privés - A Rome le pérégrin, jouit de certains droits quand il a des relations avec des romains, c’est un habitant des régions conquises par les romains.On admet qu’entre pérégrins d’autres règles s’appliquent, droits applicables distincts entre romains et entre pérégrins ; or rapports mixtes romains/pérégrins : question du droit applicable On a imaginé que ce soit des règles particulières par un préteur pérégrin qui établit des édits qui forment un droit pour ces